Mon voyage dans la forêt otakunienne

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➤ Année de visionnage : 2016
➤ Studio : Bones

Littéralement la perfection pour moi en matière d’animé. Il m'a donné tout ce que je recherche dans un animé et même plus. Personnages, ambiance, animation, musique tout est là à un niveau d’excellence pour nous raconter une histoire palpitante de bout en bout dans les meilleures conditions. La meilleure expérience en terme d’animé que j’ai eu de ma vie.

https://www.youtube.com/watch?v=l2kwie-gs2o

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➤ Année de visionnage : 2017
➤ Studio : Gainax (Trigger)

La quintessence de la badassitude. L'animé ou j'ai le plus vibré.
Une leçon de vie que je n'oublierais jamais.
"Si tu ne crois pas en toi, crois en moi qui croit en toi !"

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➤ Année de visionnage : 2018
➤ Studio : Shaft

March Come in Like a Lion est l’animé qui m’a le plus touché en tant qu’humain. Je me suis énormément reconnue en Kiriyama (le protagoniste) notamment dans sa manière de voir le monde et d’appréhender ses émotions. C’est un adolescent vivant dans sa bulle plus ou moins confortable, renfermé sur lui-même dans sa solitude et son évolution est ultra bien ficelée. Pour lui, tout passe par sa passion : le shogi. Cette passion va très vite s’avérer être le moteur de son évolution, elle lui fait prendre conscience du bonheur que contient son quotidien et le fait s’ouvrir aux autres.

Les personnages secondaires ne sont pas en reste, leurs sentiments et leurs émotions sont retranscrits à merveille, une véritable déclaration d’amour à l’humain. C'est extrêmement beau et touchant, certains épisodes frôlent même la perfection tant ils arrivent à te transmettre les épreuves psychologiques que subissent les personnages.

L’animé aborde nombre de thèmes durs comme la dépression, l’acceptation et l'estime de soi ou encore le harcèlement scolaire, tous merveilleusement bien traités. Sans oublier le travail artistique titanesque de Shaft qui donne là le meilleur de lui-même avec une réalisation toujours aussi originale, une animation excellente, de magnifiques musiques et des décors à couper le souffle.

« Pour moi, les humains sont le chaos incarné » - Rei Kiriyama

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➤ Années de visionnage : 2016
➤ Studio : Madhouse

148 épisodes et pas un seul avec une qualité négligée, pas un seul temps mort dans cette aventure extrêmement prenante et si bien écrite de bout en bout. Les arcs s'enchainent avec une fluidité déconcertante et les possibilités de l'univers n'ont comme limite que le génie de l'auteur pour leurs données forme.

Classement personnel des arcs :
1. Fourmis-Chimères (Meruem/10)
2. Greed Island
3. York Shin City
5. Examen Hunter
4. Les Élections
6. Tour Céleste
7. Kukuru Mountain

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➤ Année de visionnage : 2016 - 2019
➤ Studio : Wit Studio

Sans nul doute l’animé qui m’a le plus bluffé par son scénario et ces twists incroyables. C’est sensationnel l’aisance avec laquelle l’animé te largue des révélations qui chamboulent toute la vision de son univers si bien réfléchie. Il te montre l’horreur de la stupidité humaine et surtout te fait douter, en même temps que les personnages, sur la raison même de tout ce bordel.

Tout ça avec une animation et une direction artistique au petit oignon et un Hiroyuki Sawano qui donne le meilleur de lui-même.

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➤ Année de visionnage : 2019
➤ Studio : Kyoto Animation

Une claque, une vraie. La première partie de saison est au même niveau que la première, c’est-à-dire pas mauvaise, mais pas transcendante non plus, les personnages sont toujours aussi attachants, la musique toujours aussi marquante et l’animation extraordinaire de KyoAni sublime une ambiance chaleureuse mais les intrigues commencent à perdre leurs intérêts.

La seconde partie en revanche, c’est un véritable chef-d’œuvre à mes yeux. La prévisibilité du « bouleversement » est évidente - c'est totalement voulu selon moi - mais cela ne nuit absolument pas à son impact, ça le rend même plus impactant car on n’a pas envie qu’il arrive, mais on sait qu’il ne peut pas ne pas venir.

L'animé n'arrête pas de nous le rappeler, on est comme impuissant face à cette ignoble réalité. On ne s’attend évidemment pas à voir/encaisser passivement les réactions si humaines des personnages dans les épisodes suivants et à tomber à chaudes larmes avec eux, nous transmettant habilement leurs sentiments. C’est effrayant de réalisme. Les torrents de larmes sur ma joue auront été ma seule échappatoire.

Moi aussi, je veux partir en voyage.

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➤ Année de visionnage : 2017
➤ Studio : Sunrise

La fin la plus réussie de la japoniaiserie.
Quoi ? Un film ? Mais de quoi parlez-vous ?

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➤ Année de visionnage : 2018
➤ Studio : Trigger

C'est frais, c'est doux, LWA m'a séduit par son animation spectaculaire, sa brillante simplicité et sa bonne humeur générale. Magique, c'est le mot.

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➤ Année de visionnage : 2016 - 2018 (Simulcast)
➤ Studio : Bones

Le shonen, vous connaissez ?
Il y a des préférences qu'on n'explique pas trop, My Hero Academia est de loin l'animé qui m'a fait le plus ressentir "L'esprit shonen" à coup de frissons d'épic en veut-tu en voilà.

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➤ Année de visionnage : 2020
➤ Studio : Production I.G

Cet animé m’a fait beaucoup penser à du Miyazaki dans sa façon prodigieuse de mêler l’imaginaire au réel dans un univers extrêmement bien ficelé. Le développement d’Erin est tout simplement brillant. On la voit évoluée de l’enfance à l’âge adulte en construisant peu à peu sa forte personnalité au travers des épreuves qu’elle subit, on ressent l’intérêt qu’elle porte au monde et son immense curiosité envers la vie. Tout cela la rend rapidement diablement attachante.

Les personnages secondaires sont également très bons et globalement, mis à part deux clowns dont on se serait parfois bien passé, tous les personnages sont très attachants. J’ai également été époustouflé par la direction artistique. L’animation est loin d’être exceptionnelle mais le côté aquarelle des décors rend le tout très épuré et beau, les paysages sont juste magnifiques.

Mais c’est dans ses thèmes que l’animé s’en sort le mieux selon moi. L’animé parle de notre rapport avec les animaux au travers d’un contexte politique très bien construit. Tout au long de l’animé, Erin est tiraillée entre son amour pour les animaux et la terreur que peut engendrer leur colère. La fin est extrêmement bien réussite, répondant à bon nombre de questions que se pose Erin avec brio et poussant le tragique et l’émotionnel à son paroxysme. C’est très difficile d’en parler plus sans spoiler mais si vous devez retenir un animé de cette longue liste, je pense que c'est bien celui-ci. Il est très peu connu et ne mérite vraiment pas cela.

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➤ Année de visionnage : 2018
➤ Studio : Shaft

Un modèle d'écriture. Je l'ai revu plusieurs fois et j'en découvre encore à chaque visionnage. PMMM regorge de messages, de concept et d'analyse sur l'humain. Critiquant et sublimant habilement ce dernier, il parvient à faire réfléchir le spectateur sans pour autant passer pour de la masturbation intellectuelle. C'est également un animé qui a une réalisation absolument unique, aussi théâtral qu'expérimental elle use les talents des animateurs de Shaft pour livrer des scènes psychédéliques surréelles.

https://www.youtube.com/watch?v=wT0lWL_TU7w

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➤ Année de visionnage : 2023
➤ Studio : Hal Film Maker

Note et place pour l'ensemble des saisons.

L'ambiance générale d'Aria est vraiment excellentissime. La place est ici à la contemplation, l'émerveillement, la musique douce et calme. Tous les personnages sont excellents, leurs relations sont d'un naturel aussi palpable que le talent du réalisateur pour le mettre subtilement en scène. Mais dans tout cela, Akari brille bien plus que les autres. Tous les personnages gravitent autour d'elle tant sa naïveté et son côté fleur bleu sont attachants.

Aria c'est une oeuvre qui marche sur la durée. C'est un rendez-vous régulier apaisant. Mais comme tous les rendez-vous réguliers, celui-ci s'arrêtera un jour. C'est aussi une chose qu'il rappelle à merveille.

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➤ Année de visionnage : 2017
➤ Studio : White Fox

"I am mad scientist, it's so cooool !! Sunuvabich."

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➤ Année de visionnage : 2018
➤ Studio : Shaft

- Annotation & place de l'ensemble de la saga -

La première chose qui frappe dans la saga des Monogatari, c’est l’originalité et l'inventivité de la mise en scène. Les pensées en messages subliminaux, les clignements d’yeux, les mouvements de caméras, l'exagération des scènes de combats… Tout cela ne trompe pas : on suit l’histoire à travers le point de vue du protagoniste jusqu’à ses pensées et ce qu’il s’imagine voir dans sa tête. Cette mise en scène qui m'a paru lourde au premier abord est en fait l’essence même de la saga, ce qui la rend si vivante et crédible.

Ensuite, viennent les personnages et leur développement prodigieux. L’humanité des personnages se reflète dans leurs défauts, eux-mêmes reflétés dans des « aberrations » qui, au même titre que leurs défauts, viennent les hanter et gâcher leurs vies. Dans monogatari, pour les personnages il ne s’agit pas de vaincre un méchant, mais son pire ennemi : sois même. Tous les personnages ont leurs peurs, leurs faces cachées, leurs phobies ou encore leurs différences qu’ils doivent combattre et accepter.

Enfin, la réalisation de Shaft qui gère de main de maitre l’ensemble sous une animation immensément inventive et une flopée de musiques d’ambiance excellente (https://www.youtube.com/watch?v=4dIwWS-pmus). Lorsqu'on fait fi de ses quelques défauts, comme un fan service un peu trop insistant par moments ou la monstruosité qu'est l'agencement de sa chronologie, cette grande saga cache en fait un tout très cohérant et unique en son genre.

"Et c'est ainsi que commence l'histoire de personnes abîmées. Une histoire de sang dégoulinant, teintée de sang séché de blessures éternelles. C'est l'histoire de nos précieuses blessures, que je ne raconterai à quiconque."

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➤ Année de visionnage : 2017
➤ Studio : Trigger

Plus je le regarde, plus je l'aime. Imaishi est un génie comme on en fait peu.
Un animé à la fois complètement barré et bourré de bonnes intentions.
Un véritable régale d'animation et de réalisation couplé à la musique si entraînant d'Hiroyuki Sawano.

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➤ Année de visionnage : 2017
➤ Studio : Sunrise

Si Watanabe n'a pas réussi à me conquérir avec Samurai champloo, il l'a totalement fait avec Cowboy bebop. Ce Star Wars à la sauce Cowboy est un véritable régal : des aventures passionnantes, des musiques entraînantes le tout avec des personnages attachants et bien construits.
Un incontournable à ne pas manquer.

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➤ Année de visionnage : 2021
➤ Studio : Pierrot

Cet animé commence assez mal. Le pitch de départ est trompeur, il serait facile de le juger via ses à priori sur le genre Isekai. Seulement, au fur et à mesure des épisodes, l’univers nous apprend sa richesse.
Les créatures mythologiques et les décors majestueux laissent place à un contexte politique d’une crédibilité en béton armé, assurément le meilleur que j’ai vu dans un animé. Les personnages ne se retrouvent pas au milieu d’un univers où tout leur est dû, c’est à eux de trouver la raison de leurs venus et de se confronter à leur destin pour en tirer des leçons de vie qui les marqueront autant que le spectateur. De quoi faire ravaler tous les détracteurs d’isekai si tenté qu’ils aient l’ouverture d’esprit de ne pas partir sur les premiers épisodes.

Malgré tout cela, je regrette un peu que l’animé ne face l’adaptation que de la moitié des romans. Beaucoup d'intrigues amorcées restent sans réponse et il faudra lire les romans pour les connaitre. Heureusement miraculeusement traduit chez nous, c’est déjà ça.

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➤ Année de visionnage : 2020 (Simulcast)
➤ Studio : Production I.G

Eizouken est à l’image de son réalisateur, c'est-à-dire bourré de passion pour la création, l’imagination et bien évidemment l’animation et cela rend l’animé incroyablement agréable à regarder. À travers 3 personnages personnifiant le réalisateur, le producteur et l’animateur, on suit tout le schéma artistique de la conception et de la création d’un animé. Alors, on admire la réalisatrice créer ses univers via son vécu, ses expériences et son immense imagination. On est ébloui face à la passion de l’animatrice qui gagne en expérience tout en répétant à quel point son métier est génial. Puis, on revient sur terre avec la productrice qui gueule abondamment à ces deux passionnés dégénérés que le planning ne leur permet pas de se tourner les pouces. Ces trois personnages deviennent très vite extrêmement attachantes et voir leurs péripéties artistiques est un vrai plaisir.

Encore une fois, Masaaki Yuasa tape très fort. La fin le laisse plus ou moins penser et le manga est toujours en cours, donc j’espère vraiment voir une suite un jour.

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➤ Année de visionnage : 2019
➤ Studio : Madhouse

Narration originale d’une histoire très bien écrite et pertinente dans ses thématiques couplées à la réalisation de Masaaki Yuasa très créative visuellement avec une animation limitée mais très bien gérée.
Concernant la narration, si j’ai pu la trouver redondante, elle n’en est tout de même pas agaçante et contribue à un final extrêmement réussi qui sublimes tous les thèmes abordés dans l'animé.

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➤ Année de visionnage : 2019
➤ Studio : Ufotable

Ayant eu le malheur de commencer la saga Fate avec l'adaptation foireuse du Visual Novel de Deen, je ne peux que vous conseiller de commencer plutôt par Fate/zero. Le début est audacieux, essayant tant bien que mal d’expliquer un univers déjà largement établi. Malgré cela l'univers est assez simple à comprendre et les maigres explications suffisent à ne pas être perdu. C’est là qu’on découvre la force des personnages de Fate/Zero, le parti pris n’est pas le combat, mais les épreuves psychologiques que procure ce dernier. Chaque personnage et servant a une motivation qui lui est propre. Qu’elle vienne de leurs passés ou de leurs rêves, cette motivation représentera humainement les personnages jusqu'à l'inévitable fin bien trop dure à encaisser. Pas de combats à rallonges (même un peu trop court parfois) et beaucoup de débats très pertinents sur la chevalerie et la royauté.

C’était génialissime, Ufotable n’a pas volé sa réputation, les musiques sont parfaites et le background de Kiritsugu aura même réussi à me faire lâcher une larme.

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➤ Année de visionnage : 2024
➤ Studio : Studio M2 \ Tezuka Productions \ MAPPA

Premier contacte de ma part sur l'œuvre d'Urasawa, auteur qui n'a pas manqué d'attirer mon attention des quelques critiques et artwork que j'ai vu passer sur ses oeuvres. Je dois dire qu'au-delà de l'art, qui est assez modeste compte tenu du temps de production faramineux qu'a demandé cette adaptation, le scénario de Pluto est vraiment excellent. Maitrisant son sujet comme personne, Urasawa joue avec les codes moraux dans un mystère subtilement dilué.

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➤ Année de visionnage : 2018
➤ Studio : Madhouse

Un animé très étrange qui m'a donné de beau frissons. Une fin extrêmement bien réussie également, ça fait plaisir.

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➤ Année de visionnage : 2015
➤ Studio : Madhouse

Le grand classique que tout le monde a vu et aussi l'adaptation du 1er manga que j'ai lu. Toujours aussi bien, toujours aussi horrible, toujours aussi malsain, mérite amplement son succès.

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➤ Année de visionnage : 2018 (ONA NETFLIX)
➤ Studio : Science Saru

Brillant. Particulièrement sur l'animation qui est absolument époustouflante. Très sobre, tantôt réaliste tantôt difforme et psychédélique, elle sert avec brio un scénario des plus admirables traitant de sujet dur et compliqué à évoquer. Le tout sur une réalisation de Masaaki Yuasa absolument irréprochable et une BO mémorable.

En bref, c'est du très bon.

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➤ Année de visionnage : 2017 (S1), 2019 (S2 - Simulcast)
➤ Studio : Bones

Clairement l'animé avec l'animation la plus pousser que j'ai vu : à la fois d'une fluidité exceptionnelle et originale dans sa mise en scène. C'est juste un plaisir visuel sans nom tel le film Redline, du SakugaPorn dans toute sa splendeur. Le chara design peut rebuter par sa simplicité, mais il a pour moi un vrai charme qui fait toute la personnalité de l’animé.

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➤ Année de visionnage : 2023 (Simulcast)
➤ Studio : Madhouse

Doux voyage apaisant. Frieren brille comme personne dans sa manière si naturelle de mettre en scène le calme et la découverte, la bienveillance et l'innocence. Véritable bonbon de contemplation, les premiers épisodes défilent aussi vite que le temps qui passe, absorbé que l'on est de l'histoire et du quotidien de cet elfe millénaire qui ne voit pas les années filées à toute vitesse.

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➤ Année de visionnage : 2016
➤ Studio : Production I.G

Un univers extrêmement bien écrit. Cet animé à monde dystopique traite merveilleusement bien son sujet. Doté d'un développement de personnages principaux très pertinents (parfois malheureusement au détriment des secondaires), une animation, des musiques et une réalisation de très grande qualité servant un univers très riche et intrigant. Tout ça avec de beaux retournements de situation imprévisible.

De la très bonne came.

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➤ Année de visionnage : 2018
➤ Studio : Brain's Base

Une première saison fantastique. Un univers diablement bien ficelé et des retournements de situation véritablement imprévisible. Le seul point négatif étant les personnages qui auraient mérité un peu moins de clichés dans leurs développements.
C'est à voir après l'animé "Baccano" pour comprendre certaines références.

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➤ Année de visionnage : 2017
➤ Studio : A-1 Pictures

Une histoire très triste excellemment bien écrite que je me suis bouffé en une soirée avec une animation et une réalisation qui rendes gloire à cette histoire.

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➤ Année de visionnage : 2019 (Simulcast)
➤ Studio : ufotable

Malgré ces défauts, kimetsu est arrivé à ce démarqué par son ambiance vraiment unique. Aussi bien au niveau de la musique que visuellement, cet animé est une vraie claque.

Le personnage principal se distingue beaucoup des classiques du genre en étant plus calme, réfléchi ce qui siée bien à l'ambiance plutôt sombre de l'animé. Tangiro a conscience que les démons sont tous ce qu’il y a de plus humain, qu’ils ne sont pas mauvais dans le fond, mais juste piéger par une malédiction qui les oblige à être mauvais. Il ne les tue pas car il en a envie, mais par contrainte dans l’espoir de sauver sa sœur.

Alors oui, ça reste un shonen, avec tous les codes qui vont avec, mais je trouve qu’il s’en sort vraiment bien dans l’exécution de ses propres thèmes et arrive brillamment à tirer son épingle du jeu.