Disques de 2017

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Je découvre Perfume Genius avec ce disque complexe et fou, la meilleure pop de l'année et un concert sublime en prime.
fav tracks : Wreath, Sides

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Sublime et fou. Toujours les rois de la danse en pleurant

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Sur la densité de chaque son, et les beats qui commencent au loin. Ambient techno is the real deal et Gas en est le roi.

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Pas notable, "barely music", trop brut, trop complexe, trop difficile, trop

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Plus proche de la période Paw Tracks que Pom pom, mais tout aussi fiévreux. Pas un morceau à jeter.

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Best indie 2017, la douceur et de sacrés compos.

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Ma guitare préférée, aquatique et bizarre, is back in business. Le bonheur d'être dans la chambre californienne de Dave pendant 15 chansons aussi delicites qu'étranges.

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Bon disque à saigner l'été, comme Blonde l'année dernière, même si c'est moins bien et que c'est pas pareil en vrai.
Vraie identité dans la prod et dans les mélodies.

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King Basinski. Beau à en pleurer, comme pour la couverture, impossible de faire le point.

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Synergie incroyable de ces cinq types, meilleur voyage de l'année.

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Engravings c'était l'essai Compassion c'est la confirmation et la réussite, l'album est beaucoup moins informe ça passe tout seul d'un morceau à l'autre c'est le bonheur. Beaucoup plus de sentiments.

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Forcément décevant quand le premier single sorti est la meilleure chanson de l'album : tellement de générosité et de génie mélodique dans Three Rings, une de mes chansons préférées de l'année. Tellement précise et ravageuse.
Moins fantasque que Shields mais plus attentif aux petites choses (les effets par exemple), Painted Ruins mérite 8 en vrai

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Inégal mais traversé par quelques moments de vraie folie fuckbuttonsienne, donc disque indispensable.

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Formidable

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Superbe pop expérimentale, avec des fulgurances mélodiques folles. Très beau, même si finalement je préfère les chansons les moins expérimentales de l'album.
fav tracks : Sun to Solar, Moontalk

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Suber beau mais ils se perdent en route sur certaines chansons

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Plus beau piano de l'année.

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Un bon disque, bien produit, que je vais sûrement saigner ce mois-ci mais pas un disque important, notamment à l'échelle de sa discographie (il y a aucun morceau sur les 14 qui arrive à la cheville de GKMC et on est à des kilomètres de la force politique de TPAB).

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S'épuise au fil des écoutes mais très chouette, vraie force mélodique.

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Dans cette année pauvre en pop, vous pouvez pas savoir ce que ça fait du bien un disque de b-sides et de raretés de Beach House. Même les trucs dont je pensais me foutre, comme la version de 2008 de Used to Be ou le remix de 10 Mile Stereo sont super.

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À écouter pour se relever, très beau.

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Il faut dire qu'ils sont doués, les versions live des morceaux de Cardinal (càd ceux que je connaissais) sont tout ce que des versions live peuvent être de mieux : la voix est plus fragile, comme plus sincère, mais jamais fausse ; les arrangements sont plus directs, plus fous. Chouette disque-radiateur en hiver.

Annotation :

Falling Ashes, morceau de mauvais post-rock à la God is an Astronaut qui me gâche la fin de ce retour. Folie de Slomo pour compenser à l'ouverture.