Ne crois pas la moyenne SC (ou tes préjugés), cette série est une bonne série.

Annotation :

Faut juste passer la saison 1.
Je vous laisse savourer la suite.

Annotation :

La série qui m'a donné l'idée de cette liste. J'étais le premier à ne pas y croire, je vous assure, mais "Teen Wolf" est une vraie bonne surprise. Pas un monument, certainement pas même, mais en tout cas un guilty pleasure fun, bien foutu, pas mal scénarisé, et parfois même assez intelligent, en plus d'être drôle et rythmé. Dommage que le début de saison 3 ne soit pas à la hauteur des deux très bonnes premières saisons. Et aussi très déçu du départ de Colton Haynes, qui participait à la réussite de la série. Amateurs de teen movies bien construits, cette série est calibrée pour vous (et aussi pour les curieux). J'oubliais : regardez juste cette série pour la relation entre Stiles Stilinski et son père, petit coup de maître.

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Un magical girl. Oui. Pour les plus incultes d'entre vous, un magical girl c'est une série où une gamine (et généralement ses copines aux cheveux de toutes les couleurs) reçoit des pouvoirs magiques de la part de quelconque artefact / animal rose / source maléfique des confins de la galaxie. Des exemples qui rappelleront des souvenirs terrifiants à beaucoup : Gigi, Creamy, Sailor Moon, Emi magique, entre autres. Et "Puella Magi Madoka Magica" est aussi un magical girl... mais pas comme les autres. Véritable réflexion sur le passage à l'âge adulte, sur la violence de notre monde, et même sur le sens de la vie, une réussite indéniable d'une noirceur à peine croyable et d'une intelligence vertigineuse. 12 petits épisodes qui ont fait entrer la série dans la légende (et dans le Top 111).

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Alors ouais, ils ont vraiment rien fait pour rendre la série accessible. Mais l'ambiance hyper-anxiogène, la narration lente, les réflexions à la "The Wire" et le casting hyper-badass font que "Low Winter Sun", même si la série est imparfaite, est indéniablement une série mésestimée que le temps nous permettra sans doute de la réapprécier dans quelques années. J'étais vraiment triste à l'annulation du show... Pour spectateurs avertis seulement. Si le pilote ne vous plait pas, ne continuez pas, c'est la même tout le long de la saison.

Annotation :

Un pilote. C'est tout. Juste vingt minutes de votre temps à perdre. Si le casting n'arrive pas à la cheville de celui du film, il suffit d'oublier le matériau d'origine un instant et on passe un bon moment. Une raison de plus de trouver l'annulation de la série bien triste. Car si il est évident que commander une saison entière était risqué, niveau qualité, "Zombieland" aurait pu s'avérer par la suite ou une curiosité, ou une vraie bonne surprise.

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Oui, la note SC est plus qu'honorable. Mais pour ceux qui craignaient un énième remake foireux, vous vous êtes trompez : si la version US de "Forbrydelsen" met du temps à prendre ses marques, l'ambiance pluvieuse, la qualité du casting et SURTOUT l'incroyable saison 3, finirons par vous convaincre. Quelques tares scénaristiques et des rebondissements parfois lourdingues entachent cependant très souvent le show. Après avoir été annulé une deuxième fois par AMC, une saison 4 produite par Netflix (site nécrophile en puissance) viendra boucler la boucle à travers six ultimes épisodes.

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Allez, la deuxième comédie HBO de la rentrée 2013/2014 (c'est frais dans mon esprit). Impressionné de la note très base (6.4 à l'heure actuelle) qui ne reflète pas les qualités d'une comédie qui allie tragique (l'épisode 2 est une bombe) et humour noir tordant. Les quelques acteurs et actrices qui s'agitent dans ce service gériatrique d'un hôpital comme il en existe des centaines sont tout simplement excellents. Une excellente surprise, qui en plus disposera d'une saison 2. Et bout à bout, ça ne dure que 3h. Il vous faut quoi d'autre ?

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Et ouais, y a encore des gens qui croient encore que "Skins" c'est une série pour gamines. Vu la popularité de la série, sa place ici n'est presque qu'illustratrice, mais sa note est (étonnement) assez base. Pour ceux qui auraient des préjugés dessus, n'ayez pas peur : "Skins" c'est l'un des rares teen movie à ne pas prendre ses spectateurs pour des puceaux beaufs en mal de blagues sur la crotte (je schématise, mais c'est l'image que me donne "American Pie"). "Skins" c'est plus que ça : un véritable portrait générationnel, véritablement marquant, mais pour lequel il est presque nécessaire de s'arrêter à la fin de la saison 2, ou à la rigueur de la saison 4 (juste pour Kaya Scodelario). L'ambition et l'intelligence de la première génération s'estompe peu à peu au fil des saisons qui suivront.

Annotation :

Les animés de sport, on a tous ou presque déjà eu notre dose... et pourtant, en adaptant l'oeuvre du génial Taiyō Matsumoto, la fameuse case noitaminA (celle des animés différents) se voit dotée d'une nouvelle claque : une oeuvre forte, dense, mature, épique et intelligente - de l'animation qui rappelle "Mind Game" et une narration complètement anti-climatique et anti-manichéenne au possible. Du génie, et même si la série est toujours en cours de diffusion à l'heure où j'écris ces lignes (épisode 3), on peut déjà parler de chef d'oeuvre.