On perd pas les bonnes habitudes: mes lectures de 2020

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Sympathique mais le manque de traitement des personnages rend l'intrigue finalement un poil superficielle

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Pas fanna de ce genre de littérature type egotrip. J'ai lu un peu moins de la moitié ce qui est bien assez pour savoir que je n'adhère pas suffisamment au délire pour accepter de me taper 450 pages et quelques. Finalement je n'apprécie et n'apprécierait sans doute jamais Bret Easton, il part d'idées franchement bonnes mais il va les étaler pendant des centaines de pages là où on pourrait se contenter de la moitié...

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Un livre très intéressant bien qu'il parlera surtout aux historiens ainsi qu'à ceux qui ont de bonnes bases en histoire

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Toujours le même genre de nawak dans le bon sens du terme. Ce tome 5 fourmille de bonnes idées et ose enfin nous laisser nous attacher à de nouveaux personnages principaux

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Sympathique, bien qu'obscur et étrange
A voir ce que donnera la suite

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La vie de Staline disséquée de son enfance jusqu'à la prise du pouvoir des bolcheviks et la fin du tsarisme. Le livre est long et fourmille de détails sur la vie personnellement du futur dictateur. Si tout ne m'a pas semblé indispensable, j'en retiendrais surtout le fil rouge global qui constitue le nerf de tous les dictateurs: une foi aveugle en ses propres possibilités et convictions au point de piétiner toute résistance sur son passage

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J'ai un peu de mal avec Gaiman et Pratchett,. Je n'apprécie leurs bouquins à l'un et l'autre qu'à doses homéopathiques car si je leur reconnais un certain talent d'imagination, je trouve toujours leurs histoires longuettes et moyennement drôles...

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J'ai pas eu de gros fou rire en le lisant contrairement à ce qui disait la quatrième de couverture. Ça fait passer le temps en cas de disette littéraire

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Un classique de King absolument excellent.
Certains pourraient y voir un banal livre d'horreur, moi j'y vois un livre sur le deuil, la famille, l'héritage familial, le traumatisme, et la folie.

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En prenant le parti de nous offrir le portrait d'un tueur en série sans passé et sans attaches, Ellroy nous dépeint aussi un personnage à qui non seulement il est impossible de nous attacher ou de nous identifier mais aussi une longue série d’événements rébarbatifs

Si on comprend la démarche (décrire un tueur qui conserve son libre arbitraire comme dans la vision calviniste du bien et du mal) on se retrouve au final avec un ouvrage peu intéressant, avec peu de rebondissements, et pour ma part je n'ai même pas eu la curiosité de pousser jusqu'à la fin

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Finalement je n'en ai pas retenu grand chose. Stefan Zweig en tant que biographe m'a habitué à mieux

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Premier roman de King, pas le plus folichon mais on devine un certain potentiel chez l'auteur

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Pas le meilleur de la saga du Bourbon King mais sympathique tout de même

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King s'en sort pas mal en tant que conteur

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Un livre que je regrette de ne découvrir que maintenant car il m'aurait sans doute plus parlé durant mon adolescence. A découvrir toutefois.

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Voir ma critique
https://www.senscritique.com/livre/Azteca/critique/180087630

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Roman d'amour de bien-pensance et de commérages. Le genre de chienlies qu'on a dans nos programmes scolaires et que dans le cadre des études on se force plus à lire par persévérance que par curiosité

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Il me semble que je l'avais déjà lu. Histoire de vampires à la Stephen King

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Excellent roman sur le Moyen Age. Dommage que la frontière entre les "bons" et les "méchants" soit aussi marquée. Il est aussi impossible de se prendre d'empathie pour William que pour Geoffrey Barathéon de Game of Thrones

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S'il est facile de reconnaître une très jolie plume à Bernanos le livre n'est pas des plus simples à aborder

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Roman de science fiction plus porté sur l'intime, on y suit une humanité qui attend péniblement sa fin inéluctable cause à l'impossibilité des femmes d'enfanter. L'histoire du bouquin ne raconte pas la même chose que celle le film, je tiens à le préciser pour ceux qui seraient mal renseignés. A part le pitch de départ, les personnages ne se dirigent pas vers les mêmes buts et le fond y est différent

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Un roman complètement barré sur une familles de fous furieux. Cent Ans de solitude fait partie de ces bouquins un peu à part qui ne ressemblent à aucun autre

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Toujours aussi prenant mais toujours aussi long, Grange continue dans sa description d'une France assez dégueulasse (je soupçonne un peu d'inspiration Elroyienne à la française à force de lire cet auteur)

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Peut-être un poil trop bavard pour un dernier tome mais assez bon tout de même

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Hyper prenant au début mais un brin décevant vers le milieu

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Une histoire horrifique assez complexe à aborder (beaucoup de chansons, des digressions parfois assez longues, des histoires qui mettent du temps à se croiser) mais quand on se concentre sur l'intrigue pure et toutes ses thématiques ce livre est d'une richesse incontestable

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Du très bon Ellroy

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Barker nous entraine dans un univers incroyablement riche et cohérent teinté d'érotisme. Quelques longueurs toutefois pour un roman de 900 pages

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Littérature très vielle droite. La version Disney est clairement plus rythmée

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Captivant de bout en bout et finalement très instructif sur les modes de vie des Egyptiens. La période choisie (les périodes atoniennes) font de plus un contexte politique et historiques peu connus et passionnants