Oui, c'est vrai, je l'ai noté sur un souvenir vraiment ténu

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Mèche courte. La vie en flash-back.

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Rien du tout, juste l'affiche.

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Scène de sexe lyrique totalement ridicule. Marlon Brando dans l'ombre.

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Des filtres bleus et des cadrages de travers, sur un appartement vide je crois. Ennui "on se fout de moi".

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Lhermite en contre-jour. C'est tout.

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Des enfants cachés dans un fourré qui se parlent très vite en regardant dans la même direction. Sans doute qu'ils observent un de leurs coups échouer. Le divorce me semblait quelque chose de très exotique à l'époque.

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Les héros qui marchent sur une piste d'avion. Vague impression que c'était rigolo.

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Comme j'ai déjà eu l'occasion d'en discuter ailleurs: Attal qui observe sa femme de l'extérieur d'une maison située dans les bois; la lumière fait des stries sur Gainsbourg. Ce doit être à la fin.

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Des squelettes qui marchent vers un château. Cieux improbables.

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Poussière.

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Des gens qui fixent des lignes de code vertes avec angoisse. Je ne comprends rien mais je suis angoissé aussi.

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Un soldat court tandis que tout explose autour de lui. Tout ça en travelling latéral ET TOUT EST NET.

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Je ne comprends pas pourquoi Don Camillo parle tout seul, et ce qui l'oppose exactement au moustachu. Fallait pas être élevé par des mécréants.

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Des gens entassés sur un canapé. Je ne crois pas qu'ils soient particulièrement pâles. Il y a aussi une chute dans le vide/brouillard, mais je ne suis pas sûr que ce soit ce film.

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Il tombe, alors qu'il n'y a pas de filet. C'est tout: DeMille a bien réussi son coup.

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Jean Marais, mais pas bossu.

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La caméra tourne en s'éloignant du héros, à la fin. Ce doit être dans une ville maghrébine. Il doit y avoir une voix off, mais pas sûr.

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Une bagarre. Ce film est bien sûr là pour toute la série. Je viens tout juste de me rendre compte que j'aimais sans doute ces films parce que j'aimais Astérix.

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Ben, la torture de la chèvre... Sinon, ce doit être mon premier film en noir et blanc. Un noir et blanc très gris.

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Un moment qui doit être juste avant une grosse scène d'action: les personnages sont serrés les uns contre les autres et s'interrogent du regard du genre: on y va?
Note que je vais conserver précieusement en évitant de revoir le film maintenant que tous mes poils ont poussé.

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Une fille qui court et tombe.

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Des gens super harnachés pour aller tuer des monstres. Je les vois et espère qu'ils n'ont aucune chance. Bref, ma découverte du sadisme du spectateur.

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Ben... un type enturbanné aux yeux bleus qui scrute le désert.
Je le reverrais bien, celui-là.

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J'ai dormi au milieu (séance du matin, argl!) et j'ai adoré la fin à laquelle je n'ai rien compris, et puis j'ai oublié.

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Quand je vois des images, je me dis "ah ouais c'était super". C'est tout.

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Un laboratoire verdâtre. Une foule aux visages flous.
Mon premier Bergman. Je ne m'aurais pas conseillé ce début.

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Ben... un radeau qui avance calmement puis violemment, avec Monroe qui fait semblant de ramer.

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Il sort avec son pansement sur la tête, et il y a un petit jardin désolé. Que c'est beau, triste, et bête.

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Une rue boueuse.
Lui aussi, je le reverrais bien.

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Ya bien une chanson en karaoké, non?