Petite histoire du cinéma italien (1945 - 1995)

Annotation :

Un des premiers films victime de la censure.

Annotation :

Film-phare du néo-réalisme, naissance avec ce film d'une recherche de la vérité.

Annotation :

Evocation à chaud de la guerre.

Annotation :

Premier volet de la trilogie de la guerre de Rosselini et illustration du néo-réalisme.

Annotation :

Deuxième volet de la trilogie de la guerre de Rosselini et illustration du néo-réalisme.

Annotation :

Utilisation de petits cireurs de chaussures comme acteurs principaux : Réalisme poussé à son paroxysme.

Annotation :

Popularité des films d'aventure.

Annotation :

Malgré la présence de De Santis à la réalisation, le film fait parti des quelques films à avoir subi un véritable désastre financier.

Annotation :

Popularité des films d'aventure.

Annotation :

Dénonciation sociale : Délinquance juvénile.

Annotation :

Plus gros succès de l'année 1949, montre l'importance des comédies juste après la SGM.

Annotation :

Troisième volet de la trilogie de la guerre de Rosselini et illustration du néo-réalisme.

Annotation :

Evocation à chaud de la guerre, vocation polémique.

Annotation :

Absence de scénario, volonté de calculer chaque détail, volonté poussée de réalisme : "résultat le plus expressif du néo-réalisme" selon Carlo Levi.

Annotation :

Un des films d'une longue liste avec Toto.

Annotation :

Dénonciation sociale : Compromissions avec la mafia italienne.

Annotation :

Un des rares succès commerciaux du néo-réalisme. Fascination autour d'un personnage féminin et attrait pour les trames mélodramatiques : cela se retrouvera dans les mélodrames des années 50.

Annotation :

Première collaboration entre Zavattini et De Sica : une des plus fécondes du néo-réalisme.

Annotation :

Le personnage du père est joué par un véritable ouvrier : La encore, volonté de réalisme. Ce film est un les plus reconnus de la période néo-réaliste. "Crescendo de désespoir" selon Laurence Schifano.

Annotation :

Modèle qui a mis en place les "histoires parallèles", en combinant histoire collective et individuelle et qui sera repris par la suite.

Annotation :

Premier long métrage de fiction d'Antonioni, qui se démarque alors du néo-réalisme et des constructions dramatiques convenues.

Annotation :

Thème longuement utilisé de l'Unité de l'Italie et du voyage à travers cette dernière.

Annotation :

Premier d'une longue série de mélodrames italiens.

Annotation :

Utilisation de schémas narratifs propre aux oeuvres américaines : influence d'Hollywood.

Annotation :

Rapport plus ou moins directs avec les films noirs américains : influence d'Hollywood.

Annotation :

Un des premiers "films à épisodes"

Annotation :

Mise en place de la thématique du rêve.

Annotation :

Marque le revirement de la critique, qui voit alors dans le néo-réalisme une tendance de plus en plus présente à l'usage commercial que ce dernier fait de son cinéma. ("néo-réalisme rose")
Vu comme un chef d'oeuvre mettant en scène "une des plus pures histoire d'amour du cinéma" par le célèbre critique André Bazin.

Annotation :

Volonté biographique chère à Fellini, qui transparait dans toute son oeuvre, apparait déjà dans "Les feux du music-hall", mais plus flagrant ici. Mise en place d'un certain onirisme. Cette parabole sarcastique (tout comme Il Bidone) provoque l'ire des critiques de gauche, qui voit un "anachronisme" de cet univers.

Annotation :

Film qui marque la fin du néo-réalisme.
"Le néo-réalisme n'est pas mort de mort naturelle. C'est un assassinat d'Etat" (De Santis) Il fait ici référence à la censure et à la mise en place de certains sujets tabous, notamment la Résistance, accusation de non-patriotisme pour certains. (Lettres d'un condamné à mort de la Résistance Italienne, 1953)