Quelques scènes inoubliables de 2021

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SPOILER Le face à face final avec la petite Annette, en prison, et cette chanson qui file le frisson et pourquoi pas les larmes aussi. Le film regorge de moments sublimes mais ce climax en est l'aboutissement fracassant.

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"America" et sa chorégraphie fabuleuse, mais également "I'm so pretty".

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Quand le visage de Léa Seydoux se transforme sous les larmes incontrôlables, et l'accident de voiture interminable et halluciné.

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La scène du bar, avec la bagarre hors champ, où l'enjeu principal est de garder un bambin. La beauté minimaliste du cinéma de Kelly Reichardt résumée en une scène.

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Le monologue final de Anders Danielsen Lie qui bouleverse durablement.

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Le monologue de John David Washington où il balance toute sa frustration autour des critiques et de tout un tas de choses qui résument parfaitement le monde moderne, avec Zendaya qui écoute imperturbable et légèrement amusée.

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Lorsque le personnage de l'aborigène est invité à la table d'un couple et pleure sur le sort de son peuple martyrisé, mais également lorsque le personnage féminin principal confronte son bourreau face aux "collègues" de ce dernier.

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La chanson Zanka contact qui file le grand frisson.

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SPOILER Le meurtre de Cassey qui pétrifie car jusqu'au bout on ne peut y croire.

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Lorsque le personnage de Viggo confronte enfin son père face à sa haine, le seul moment où il hausse le ton tout en restant empathique, un moment douloureux et nécessaire et les premières grosses larmes ciné de l'année pour ma part (le jour de la réouverture soit dit en passant).

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SPOILER L'engrossement du personnage central par la Cadillac, parce que je n'aurais jamais imaginé voir un truc pareil au cinéma un jour. Et la réanimation au rythme de la Macarena, casse gueule sur le papier, mais excellente à l'écran.

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SPOILER La scène entre le ministre et le psychopathe, totalement impensable et mélange de rire et de malaise comme on en a rarement vu ces derniers temps.

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La rupture. Tellement juste dans la réaction du personnage masculin qui semble se prendre la foudre sur la tête.

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Le carnage dans le commissariat, gros moment de délire gore. Au diable tous ceux qui parlent de nanar, ce film est la quintessence du bis comme j'aime, nous ramenant au joyeux temps des vidéo clubs. Merci James Wan.

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Attention aux âmes sensibles, ce que je vais écrire risque de les heurter. La scène de double anal, recelant une tendresse inattendue.

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Le climax dans les flammes, moment intense et libérateur.

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Le climax aérien, d'une audace formelle folle.

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Les scènes de concert, assourdissantes. On s'y croirait littéralement.

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La scène de danse qui marque la rupture dans le récit. Un moment où l'Absolu romantique de l'adolescence se fige dans l'éternité. Et une musique sublime.

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SPOILER La course poursuite d'ouverture, et les pendaisons du climax. Impossible d'être pour la peine de mort après voir vu ce film.

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SPOILER Le suicide des enfants découvert par le père qui se retrouve dans un état de sidération et retourne se coucher (en plan séquence si je me rappelle bien), pendant que la mère hurle en hors champ.

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Les réminiscences du passé traumatique du personnage campé par Oscar Isaac, en fish eye. Et la parenthèse romantique entre ce dernier et Tiffany Haddish, où l'on se prend à espérer une rédemption.

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Le duel final, off course, d'une intensité barbare montant crescendo.