Qui vole un oeuf vole 2019

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L'adaptation d'une saga littéraire, qui au vu de ce film destinée à un public pré-adolescent plutôt féminin, ne requiert aucun effort de la part du spectateur. C'est un joyeux fantasme de "oh la la je suis l'élue" qu'on a pu voir maintes fois auparavant.
Mais ici on est dans le délire des pierres précieuses façon jeux pokémon et ça m'a vendu du rêve (les titres) (clairement, pas l'oeuvre en elle-même).

C'est rocambolesquement inintéressant.

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Comme Pokémon nous l'avait enseigné, après Saphir (premier dans le coeur tmtc 3ème gén) vient Rubis.
On continue cette saga pour adolescents avec une passion décroissante, sans véritable bouleversement. Comprendre, c'est toujours pas une révélation cinématographique, et très clairement on est dans une catégorie narrative très ciblée. Gidéon le side kick homme a fait tomber sa couette au profit d'une mèche de bogoss 2 la nuit dans sa figure. C'est à peu près tout ce que l'on va retenir ici.

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Et donc Emeraude pour compléter la trilogie. Rayquaza a beau être le plus badass des trois légendaires dans Pokémon, Emeraude dans cette saga est au contraire le plus mauvais des trois films - et le standard était déjà très très bas.

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#gothique

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La déception m'habite. Le film avait tout pour plaire a priori: Ewan Mcgregor, Eva Green, Glasgow, une histoire intéressante... Et finalement, c'est tellement mal présenté, pas surprenant pour un sou, qu'on finit sur un gros "meh" au lieu d'être envahi de sentiments.
Mention spéciale au génie qui a imposé les montages clipesques mélodramatiques de fin du monde. Quelle atrocité.

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J'ai posé mon cerveau à côté du lit et le film est passé crème.
"MATT DAMON"
Les explosions de visage sont sympa et les effets spéciaux vont bien. Le scénario... Bon on ne va pas s'étaler dessus étant donné que mon cerveau était absent, les twists et les "comme par hasard" sont abondants et la fin dégouline de bon sentiments. Maybon. C'était un film parfait pour se réveiller le matin.

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Plein de têtes connues. Le film est très politique et les "tiré d'une histoire vraie" me fatiguent toujours autant. Il y a des scènes très dures et on ne revient pas trop dessus. CEPENDANT malgré tout le schmilblick un peu déjà vu, le film fait son boulot. Ma vie n'est pas changée et mes souvenirs une semaine après sont toujours vagues.

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C'est bien mignon The Miseducation of Cameron Post mais je l'ai vu juste après Boy Erased, et ça le met bien dans sa case 'mignon'. Effectivement ici le camp de rééducation douteux fait office de camp de vacances, on a plus un aspect onirique que dénonciateur. C'est assez léger malgré les quelques événements mentionnés qui auraient pu rendre l'histoire plus sombre (cf la tentative de suicide). En fait, c'est un peu dommage de traiter un sujet pareil de cette manière. boy Erased n'était pas une oeuvre parfaite mais elle maîtrisait mieux son sujet. Ici c'est un peu les camps de concentration sont des centres aérés des Etats Unis, et c'est un peu dégueulasse. C'est mignon mais franchement avoir enchaîné ces deux films était au détriment de celui ci.

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Bon. J'attendais ce film depuis plus d'un an, ayant eu l'opportunité et la chance surtout de pouvoir me balader dans les studios lors de la production. J'ai pu ainsi y voir le festival du malaise dans le musée avec ces statues de minions qu'on nous présente au début du film comme des divinités du passé (nous sommes tombés bien bas). Et bien bas c'est là qu'on tombe nez à nez avec ce film et surtout son scénario abracadabrant et navrant, sorte de version longue d'un épisode de Doctor Who (bonjour les villes mouvantes? Déjà vu much?). Les décors et l'environnement, l'univers sont satisfaisants visuellement. Mais quelle histoire si peu intéressante, avec un plot twist incroyablement ennuyeux et pas surprenant pour un sou.

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WELL THAT ESCALATED QUICKLY

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En vrai la note va probablement baisser. C'était un film durant lequel j'ai bien ri, pas vraiment par consternation ni du fait d'une certaine médiocrité (inattendue n'est ce pas) du scénario, mais plus pour l'absurdité du tout narratif. Le fil narratif des pirates est COMPLETEMENT inutile. Le vilain est vilain, parce que...? Pourquoi attaquer la poiscaille? Que t'ont fait les crustacés? À la limite tu vois l'argument écologique tenait la route pour justifier la haine contre les gens du dehors, mais c'est expédié en quelques secondes et on n'en reparle plus. Honnêtement, Aquaman part dans tous les sens. C'est Aquaman dans Jurassic Park, Aquaman dans James Bond, Aquaman dans Iron Sky 2, et Aquaman dans ta comédie romantique lambda dans le sud de l'Italie, trop indie et quirky tiavu.
J'ai bien ri, me suis un petit peu frappé le front avec ma paume de main, et au final heureusement les pecs de Jason Momoa ont sauvé le film.

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Quelque chose me chiffonne dans Lords of Chaos. Vraiment. C'est asceptisé, américanisé, cherche le sensationnel et on hume ce relent de rebellion adolescente que le cinéma aime tant. En tant que fiction, rien à redire. Il y a beaucoup de bons points. C'est esthétique et clipesque, merci Jonas Akerlund. Euronymous est convaincant. Dead aussi. Mais le propos rebellou, même si légitime, est formulé de façon abrutissante. C'en devient gênant pour une "biographie". Ne parlons même pas de Varg Vikernes qui est ici un acteur qui fait de son mieux mais qui a été très mal choisi, hello, où est passé l'odiniste blond au regard perçant et qui est ce gars flasquounet brun qu'on a envoyé à sa place ? Et puis où est le black metal ? Entre Iron Maiden et Sigur Ros (LOL) on nage dans un de ces délires. ET DU FAIT QUE C'EST UNE PROD AMÉRICAINE AVEC DES ACTEURS RICAINS DONC UN FILM CLAIREMENT DANS LE LANGAGE COMMUN DU BLACK METAL NORVÉGIEN... L'ANGLAIS D'OUTRE ATLANTIQUE doux jésus ça m'a pourri le film. Une production Vice, qui est surpris ?

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Y'a un côté beaucoup trop nostalgique pour que cette adaptation ne soit pas agréable. J'avais lu The Dirt au lycée. On est ici dans une version light, vraiment, épurée et écourtée, du bouquin qui reste un petit pavé, avec des anecdotes abracadabrantesques et franchement pas super glamour. C'est très succint mais on y représente plutôt bien la camaraderie qui s'entre-déchire et ce, sans pointer du doigt une victime et un perpétrateur. Ce catalogue des vices est rythmé par la musique de Mötley Crüe puisque contrairement à Lords of Chaos, ici nos braves Nikki, Tommy, Mick et Vince ont donné leur bénédiction à la prod. Ça fait plaisir.

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Après Juan of the Dead, voici Superlopez. L'incroyable épopée de Juan Lopez le moustachu. Ton espagnol campagnard lambda croisé avec un film de super héros, dont le comique repose sur le décalage de l'environnement habituel des films de super héros.

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C'est un "meh" royal pour Sauvage.

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Le respect doit se perdre, je me suis endormie.

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Comédie sympathique mais oubliable qui tourne les tensions entre Iran et Israël à la farce. Avec des blagounettes incroyablement inattendues envers le protagoniste allemand en territoire juif. Tu ris dans ta gêne.

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Il faut arrêter la déconnade, certes Captain Marvel n'est pas une oeuvre renversante mais la vague de haine n'est pas méritée? On nous propose une "origin story" tout à fait décente, à la Marvel ni plus ni moins. On nous rajoute des éléments du puzzle qui mènera au Avengers: Endgame.

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Un trip onirique avec des licornes, des paillettes et une explosion de couleurs. Une petite bulle de rêverie et d'évasion qui flotte dans les nuages bien loin de la réalité.

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Invasion extra terrestre, contamination, found footage, teen drama. Une production modeste qui a atterri sur Netflix. Il y a de l'idée.

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La suite de Hungerford (2014).
Le nouveau personnage principal (détestable) y retrouve la bande du film précédent, qui par une suite d'événements et de gros deus ex machina se retrouve au complet.
A Darkest Dawn fait un gros doigt d'honneur à son prédécesseur et aux règles qu'il avait pu établir pour cet univers. Fini le spray de déodorant qui déloge les insectes, maintenant impossible de les retirer, impossible de soigner réellement. Fuck la logique, les méchants sont partout, on tue les humains aussi.
Une bonne bousasse.

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Mouais.

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Une orgie de n'importe quoi fabuleux. On entre en matière avec Poutine et ses pecs en acier qui dansent. On retrouve ces braves nazillons, avec des références christiques et un monde préhistorique. Un bordel incommensurable de références du monde occidental. Merci Timo Vuorensola, merci la Finlande, et youhou pour Sasha le russe.