SPARKS (aka "ma découverte du premier confinement") - top personnel

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Du rock/glam ultra inventif mélodiquement et en avance sur son temps. Excitant de A à Z. Pas grand chose d'autre à dire.

(Pochette : n°1)

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Dans la continuité du précédent avec des compositions toujours aussi incroyables et une production au poil. Le "doublé ultime" des Sparks.

(Pochette : n°2)

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Le plus grand Sparks des années 2000, et un de leurs plus grands tout court. Basé sur des boucles répétitives, des cordes synthétiques, et des mélodies aussi inquiétantes qu'inventives, Lil' Beethoven est le meilleur exemple de la capacité du groupe à pondre un chef d'oeuvre par époque.

(Pochette : n°14)

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Produit par Moroder, No. 1 in Heaven est un album de synthpop exigeant, excitant. Le seul album sur lequel le style de composition du duo se mariera aussi bien au "tout synthétique".

(Pochette : n°4)

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Le son des Sparks s'affirme plus que dans Halfnelson. Ce second opus annonce l'explosion que sera Kimono My House mais reste une petite pépite pop !

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Un très bon retour du duo avec des compositions qui font presque toutes mouche et un son new-cave bien maîtrisé. Une candeur adolescente rafraichissante souffle sur tout l'album.

(Pochette : n°7)

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Sans doute l'album le plus "Queenesque" et "cabaret" des Sparks. Il m'a fallu plusieurs écoutes pour vraiment entrer dans Indiscreet que je trouvais largement en deçà de Kimono My House et Propaganda. Un peu plus lourd que ses prédécesseurs, il possède son lot de mélodies imparables et marquantes. Finalement un grand Sparks.

(Pochette : n°9)

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Sans doute l'oeuvre la plus baroque des frangins. Avec la lourde tâche de succéder à Lil' Beethoven, il emprunte à son grand frère ses cordes et les morceaux basés sur la répétition et l'ajout de couches successives (ici les guitares électriques sont aussi de sortie). Si j'ai tout de suite reconnu ses qualités, j'ai d'abord trouvé Hello Young Lovers indigeste. La réécoute m'oblige à reconnaître que nous sommes face à un vrai travail d'orfèvre.

(Pochette : n°8)

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Un réjouissant album new-wave aux mélodies particulièrement catchy. Pas du Sparks très subtil mais une efficacité implacable.

(Pochette : n°5)

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Un très bon cru des années 2000. De la pop/rock bien composée, toujours dans la continuité de Lil' Beethoven, faisant la part belle aux claviers de Ron et aux synthés électro plus acides.

(Pochette : n°6)

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Un premier album qui donne l'étrange impression que la new wave a été inventée en 1971. Pas aussi exubérant que ses successeurs, Halfnelson est une compilation de petites pépites pop/rock subtilement aromatisée aux Kinks.

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Le dernier Sparks en date (hors Annette) est un très bon cru ! A la fois accessible et exigeant, il mélange rock, sons électroniques, mélodies pop et offre un bon panorama de ce que les frangins sont encore capables de produire.

(Pochette : n°10)

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Ce live revisite la carrière du duo avec leurs grands morceaux dépouillés de leur enrobage instrumental. Ne reste ici que le clavier de Ron et la voix de Russel...qui n'a quasiment pas vieilli en 40 ans. Si les derniers titres (issus de N°1 in heaven) ne se prêtent pas vraiment à l'exercice, on ne peut qu'être admiratifs devant la pureté mélodique des grands morceaux des Sparks qui gagnent une nouvelle profondeur dans la sobriété.

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Derrière un son assez dépassé pour 1994, se cachent de très bonnes compositions et un retour à la "folie originelle" du duo. A noter les prémices de Lil' Beethoven...

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Finalement pas si improbable que ça au regard des univers musicaux décalés des deux groupes, cette collaboration s'avère fructueuse, notamment quand on connait la fadeur qui rime souvent avec l'exercice du "supergroupe". Tout n'est pas incroyable dans ce FFS mais on ressort revigoré de l'écoute avec quelques mélodies accrocheuses en tête.

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Déçu par la BO durant le visionnaire du film (notamment du fait des paroles qui sur-explicitent l'action), ma seconde écoute sans images m'a été bénéfique. Adam Driver n'est pas un grand chanteur et certaines chansons sont seulement illustratives mais une flopée de belles mélodies se dégage tout de même de l'ensemble. Les Sparks n'ont pas bâclé le travail.

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Un bon cru récent qui compile un peu tout le savoir faire pop-rock des Sparks sans jamais atteindre de véritables sommets. Un poil long mais très appréciable.

(Pochette : n°4)

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Album complètement oublié de la discographie des frères. Il a le malheur de précéder l'immense Lil' Beethoven et l'annonce en faisant un usage important des boucles musicales répétées. Tantôt dance/big beat (avec une production kitsch), tantôt plus intimiste, Balls ne convainc pas totalement mais reste un album solide et plaisant.

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Ce concept album vaut déjà pour son pitch : Et si Ingmar Bergman s'était laissé séduire par l'industrie Hollywoodienne ?
Le tout se déroule bien et certaines mélodies sortent bien du lot, mais on ne peut s'empêcher de penser que tout ça reste un peu générique pour un "opéra rock".

(Pochette : n°15)

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Pas un grand Sparks mais un album disco/new-wave plus qu'honnête, plus homogène et mieux composé que ses successeurs dans la même veine.

(Pochette : n°12)

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Des titres vraiment bons et d'autres vraiment nazes. Pas le pire essai des Sparks dans le "tout électronique".

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Celui-ci est à ranger un peu à part. Il s'agit d'une sorte de compilation des meilleurs titres (ou des plus marquants) du groupe, ré-enregistrés avec une production 1990's et des cordes et choeurs sur certains titres. L'écoute est agréable et certains rares morceaux sont vraiment rehaussés par cette relecture (Pulling rabbins out of a Hat, par exemple) mais globalement, l'intérêt de toute l'entreprise m'échappe un peu. Les Sparks ne font rien comme tout le monde, pas même leur best of...

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Un album eighties assez consensuel qui ne manque pourtant pas de bonnes mélodies et de titres sympathiques. La production très uniforme a tendance à rendre le tout assez ennuyeux.

(Pochette : n°11)

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C'est toujours pas terrible à l'échelle du groupe mais je me suis surpris à trouver pas mal de titres entêtants. Un "off" assez attachant.

(Pochette : n°13)

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L'album "rock qui tâche" du groupe. L'ensemble est assez faible mais tout de même sympathique. La production est si étrangement hideuse que l'album en deviendrait presque une curiosité expérimentale.

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Comment peut-on sonner aussi daté en 1988 ? La production est si lourde (cordes, synthès, guitares) que certaines vraies bonnes mélodies se retrouvent coincées au sol et ne décollent jamais vraiment.

Annotation :

Du rock tout ce qu'il y a de plus générique. Les quelques titres "Beachboysiens" font sourire mais l'ensemble est quand même médiocre.