Séances sur pauses d'un serveur cinéphile

Serveur, ce métier qui fait bien manger gratuitement, finir à l'heure ou certains dorment depuis un moment, et avoir des pauses de trois heures la majorité des jours travaillés.

Je ne compte pas y faire des vieux os, même si ça fait déjà deux ans que je me le dit, et connais désormais ...

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25 films

créee il y a presque 4 ans · modifiée il y a 11 mois

Les Enfants de la mer
6.6

Les Enfants de la mer (2019)

Kaijū no Kodomo

1 h 50 min. Sortie : 10 juillet 2019 (France). Animation, Aventure, Fantastique

Long-métrage d'animation de Ayumu Watanabe

ZayeBandini a mis 8/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Annotation :

Cette fois là c'est même une avant première que j'avais réussi à caller sur une pause !
Aussi perché que le manga d'origine, respectant le trait de son dessinateur. Esthétiquement magnifique, mais il me faudra d'autres visionnages pour le comprendre un tant soit peu.

Lucky Strike
6.6

Lucky Strike (2020)

Jipuragirado Jabgo Sipeun Jimseungdeul

1 h 48 min. Sortie : 8 juillet 2020 (France). Thriller, Drame

Film de Kim Yong-hoon

ZayeBandini a mis 6/10.

Annotation :

Plus ou moins tous les éléments des grands thrillers coréens (photographie, scénario alambiqué, personnages bien écrits, début de critique sociétale) mais il manque un truc, comme si le film n'avais au fond pas grand chose à dire...
Un bon divertissement tout de même, bien ficelé.

Felicità
6.9

Felicità (2020)

1 h 22 min. Sortie : 15 juillet 2020. Comédie dramatique

Film de Bruno Merle

ZayeBandini a mis 8/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Annotation :

Une douce giffle, j'y allai en aillant à peine lu le synopsis, et ai adoré, du très bon cinéma indé français !

The Climb
6.5

The Climb (2019)

1 h 38 min. Sortie : 29 juillet 2020 (France). Comédie, Drame

Film de Michael Angelo Covino

ZayeBandini a mis 7/10.

Annotation :

Plus dense et réfléchi que ce a quoi je m'attendais, à la fois beau et drôle, empathique et énervant. Surprenant en tout cas.

L'Infirmière
6.1

L'Infirmière (2019)

Yokogao

1 h 44 min. Sortie : 5 août 2020 (France). Drame

Film de Kōji Fukada

ZayeBandini a mis 6/10.

Annotation :

Plutôt décevant, mais peut-être est-ce biaisé par les six ou sept visionnages de la bande-annonce (oui vu le nombre restreint de sortie on en voit certaines en boucle) Je m'attendais à quelque chose avec plus de tensions, à revoir dans quelque temps pour pouvoir en juger.

Pluie noire
7.7

Pluie noire (1989)

Kuroi ame

2 h 03 min. Sortie : 30 octobre 1989 (France). Drame, Historique, Guerre

Film de Shôhei Imamura

ZayeBandini a mis 8/10.

Annotation :

Première rencontre avec le cinéma d'Imamura, je ne suis pas déçu ! Ce film est aussi beau visuellement qu'il n'est humaniste, portant un regard pessimiste sur ce que l'humanité est capable de se faire subir. Un tableau de "ceux qui s'en sont sortis" rappellant sobrement tout l'ampleur de l'horreur d'Hiroshima.

Effacer l'historique
5.7

Effacer l'historique (2020)

1 h 50 min. Sortie : 26 août 2020. Comédie

Film de Benoît Delépine et Gustave Kervern

ZayeBandini a mis 4/10.

Annotation :

Un mauvais Kervern et Delépine, peu être un poil au dessus de la comédie française lambda actuelle. Ça enfonce des portes ouvertes sur notre rapport au monde, au virtuel et aux réseaux sociaux, les qualités de leur humour si particulier s'y font rares, malgré quelques tirs justes. Et toujours quelques petits moments de poésie, qui sauvent de justesse d'un naufrage complet.

Les Révoltés de l'an 2000
7.2

Les Révoltés de l'an 2000 (1976)

¿Quién puede matar a un niño?

1 h 47 min. Sortie : 2 février 1977 (France). Fantastique, Épouvante-Horreur

Film de Narciso Ibáñez Serrador

ZayeBandini a mis 7/10 et a écrit une critique.

Annotation :

Curieux film, si l'on souhaite simplifier c'est un peu la rencontre entre Massacre à la tronçonneuse et Sa Majesté des mouches.
Parfois très border, mais sans que ce soit gratuit pour autant, avec un discours un peu vague sur le sort des enfants dans les horreurs du monde.
Une phrase risque à un moment de tout faire basculer côté manif pour tous mais heureusement cette direction est bien vite abandonnée.
Un film qui en a probablement influencé plus d'un mais dont le scénario parvient encore à surprendre aujourd'hui.

Histoire d'une prostituée
7.7

Histoire d'une prostituée (1965)

Shunpu Den

1 h 36 min. Sortie : 28 mars 2018 (France). Drame, Guerre

Film de Seijun Suzuki

ZayeBandini a mis 6/10.

Annotation :

Un peu trop "sage" pour un Suzuki, la première partie, plutôt convenue, m'a presque ennuyé, mais la seconde possède quand même quelques scènes très fortes, émotionnellement mais surtout esthétiquement.

La Marque du tueur
7.3

La Marque du tueur (1967)

Koroshi no rakuin

1 h 38 min. Sortie : 15 juin 1967 (Japon). Action, Gangster, Drame

Film de Seijun Suzuki

ZayeBandini a mis 9/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

De loin mon préféré de ceux que jai vus de Suzuki.
Esthétique superbe, mis en scène sans se soucier des convenances narratives, se moquant de lui même et de ses propres incohérences. C'est de la liberté créative brute, très pulp et accessible.

La Jeune fille à l'écho
7.1

La Jeune fille à l'écho (1964)

Paskutine atostogu diena

1 h 07 min. Sortie : 2 septembre 2020 (France). Drame, Romance

Film de Arunas Žebriunas

ZayeBandini a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Une douceur incroyable, la photo est magnifique, le rythme vous porte gentiment. Une ode à l'amour de la nature, au fait d'être soi-même plutôt que se laisser guider par l'effet de groupe. J'y allai en n'en connaissant que l'affiche et la nationalité, et en suis une nouvelle fois sorti enchanté !

Les 2 Alfred
6.2

Les 2 Alfred (2020)

1 h 32 min. Sortie : 16 juin 2021. Comédie

Film de Bruno Podalydès

ZayeBandini a mis 6/10.

Mark Dixon, détective
7.5

Mark Dixon, détective (1950)

Where the Sidewalk Ends

1 h 35 min. Sortie : 22 août 1951 (France). Film noir, Policier, Drame

Film de Otto Preminger

ZayeBandini a mis 8/10.

Annotation :

23/06 16h La filmo

Un film noir de premier ordre, n'ayant aucunement besoin de se perdre en alambic vu l'ampleur de son sujet : la frontière séparant le bien du mal chez un individu. L'interprétation de Dana Andrews est pour beaucoup dans la qualité de traitement dudit sujet, son visage valant bien des discours sur la torture psychologique que son personnage subit.

Un petite faiblesse tout de même quand au rôle du personnage féminin, le coup de la femme tombant dans les bras de celui qui enquête sur la mort de son mec est aussi attendu qu'il ne manque d'un peu de subtilité.

Dans la ville blanche
7.4

Dans la ville blanche (1983)

1 h 48 min. Sortie : 20 avril 1983 (France). Drame

Film de Alain Tanner

ZayeBandini a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Bien au delà des histoires d'amour qui le jalonnent, Dans la ville blanche nous parle d'errance, de fuite, de perte volontaire, ou partiellement volontaire, de soi même, d'une manière de voyager qui me touche tout particulièrement. Celle consistant à chercher à parcourir les chemins de traverse des lieux que l'on explore, sans pour autant prétendre les comprendre, les lieux, se perdre tout à fait, et ainsi se sentir en quelque sorte à sa place, puisque de toute façon on en a pas, de place à soi.

Dans la ville blanche c'est aussi bien évidement la musique de Jean-Luc Barbier, qui participe en grande partie à la transcendance de l'ensemble (jetez une oreille à cette version alternative du générique de fin, personnellement j'en tremble encore:
https://www.swiss-jazz.ch/LP-Ville-Blanche/Cartagena.mp3) du Super 8 comme des lettres d'amour, une blouse, une poésie parfois cassée par trois doigt de grivoiserie, bref, ça m'a touché en plein cœur.

The Deep House
4.8

The Deep House (2021)

1 h 25 min. Sortie : 30 juin 2021. Épouvante-Horreur

Film de Alexandre Bustillo et Julien Maury

ZayeBandini a mis 4/10.

Annotation :

06/07 16h45 UGC Cité-Ciné les Halles

Bon alors déjà précisons une chose : le cinéma d'horreur actuel dans sa globalité m'emmerde tellement que je ne le croise la plupart du temps que par accident. Je suis donc allé voir The Deep House pour des raisons on ne peut plus simples, la séance coïncidait avec mes horaires de pause, et tant qu'à aller au cinéma en étant épuisé, autant compter sur les jump scare pour soutenir l'effet du café.

Lesdits jump scare et autres artifices du genre ont donc particulièrement bien fonctionné sur moi, m'empêchant de piquer du nez à la mi-temps de ma journée de taf, et franchement les deux premiers tiers du film m'auraient presque convaincu, mettant en scène tout ce qui m'énerve avec la mode liée à l'urbex : ces gens qui pratiquent plus pour se mettre en scène que pour vivre une expérience personnelle, qui se prennent pour des chasseurs de fantômes, ou au moins de buzz, là où j'ai toujours évité de prendre plus de trois ou quatre photos, leur préférant la poésie de l'instant, parfaitement impalpable.

Et en fait je trouve que le film aurait pu être véritablement plus fort si on en était resté là, à montrer de grands gosses qui se prennent pour de grands adultes se prendre les pieds dans leur propre jeux, perdre les pédales jusqu'à se foutre dans une merde noire, tout seuls, en jouant sur la paranoïa et un fantastique n'affirmant jamais qu'il y a véritablement quelque chose de surnaturel.

Mais non ! L'horreur est ici parfaitement balisée, et c'est le scénario qui se prend les pieds dans sa démonstrativité, sombrant sur la toute fin dans un grand guignol horrifique qui ravira peut-être les consommateurs de "contenu" mais pas ceux à la recherche d'un minimum de cinéma. Soyons tout de même honnête : en allant le voir, m'attendant à une purge dans les grandes longueurs, je me suis quand même bien marrer par moment.

Charade
7.6

Charade (1963)

1 h 53 min. Sortie : 8 janvier 1964 (France). Comédie romantique, Policier

Film de Stanley Donen

ZayeBandini a mis 8/10.

Annotation :

15/07 15h20 La filmo

L'humour, aussi irrésistible que son duo d'acteurs, de Charade ne fonctionnerait pas aussi bien sans cette intrigue au rocambolesque à la fois caricatural et diablement efficace.

Tout dans ce film tient autant de la classe nonchalante que de l'humour salvateur, qu'il s'agisse des mimiques d'Audrey Hepburn, de la douche de Cary Grant, de leur manière purement cinématographique de se tourner autour ou encore des chacun des seconds rôles, tous de haute volée.

Et puis voir ça, en salle, sur une pause, quelle bonne idée !!

Loulou
6.9

Loulou (1980)

1 h 50 min. Sortie : 3 septembre 1980. Drame, Romance

Film de Maurice Pialat

ZayeBandini a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

20/07 16h30 Reflet Médicis

Première rencontre avec le cinéma de Maurice Pialat, Loulou fait partie de ces découvertes qui, sans me bouleverser tout à fait, me donnent clairement envie de poursuivre mes explorations dans cette voie.

Nelly semble paumée, son mari est un connard faisant pourtant de maigres efforts, Loulou est loin d'être facile à vivre, et le spectateur se retrouve aussi bringuebalé qu'elle au milieu de tout ça, sans pour autant sombrer dans un manichéisme qui serait hors de propos. C'est la vie, c'est jamais franchement simple, souvent c'est même difficile de savoir où on en est, et parfois c'est même beau, alors viens, on va boire une bière pour pouvoir se dire que c'est pas si terrible !

Fantozzi
6.2

Fantozzi (1975)

1 h 48 min. Sortie : 21 juillet 2021 (France). Comédie

Film de Luciano Salce

ZayeBandini a mis 4/10.

Annotation :

27/07 16h10 Reflet Médicis

Après un début augurant du très bon en terme de satire sociale au vitriol tout s'essouffle très très vite, pour tomber dans à peu près tous les écueils possibles, de la surenchère constante au racisme tout à fait assumé, tout ça sans réel scénario.

Heureusement que quelques instants vraiment drôles viennent parfois ponctuer ce bordel foutraque, mais une fois passée la première demi-heure mieux vaut cesser d'espérer, pour se concentrer sur la vraie question importante : pourquoi donc restaurer et ressortir ça ?!?

Stromboli
7.1

Stromboli (1950)

Stromboli (Terra di Dio)

1 h 43 min. Sortie : 18 octobre 1950 (France). Drame

Film de Roberto Rossellini

ZayeBandini a mis 8/10.

Annotation :

28/07 16h15 L'archipel

Croisant les sujets du replis sur soi face à un nouvel environnement, de l'incompréhension de l'autre, des rapports hommes/femme et de la xénophobie face au nouvel arrivant, Stromboli offre également un élément très intéressant au sein du cinéma néo-réaliste de Rossellini : l'utilisation d'images documentaires, voir d'archives, particulièrement bien intégrées au montage d'ensemble.

Je ne dévoilerai pas ici les thématiques de ces moments mais ils sont à mon sens les moments les plus émouvants du film de part le sens qu'ils portent, et la manière dont ils font partie intégrante du récit, des scène pareilles, aussi réalistes à l'époque, me bluffent littéralement.

Tout en condamnant certains aspects de ses personnages, le film n'en déteste aucun, les comprenant, respectant chacune de leurs souffrances, ce qui rend l'horreur de l’étau se refermant autour d'une Ingrid Bergman aussi éblouissante que déchirante, si horrible et si étouffante.

Le Soupir des vagues
5.9

Le Soupir des vagues (2018)

Umi wo kakeru

1 h 30 min. Sortie : 4 août 2021 (France). Fantastique, Romance

Film de Kōji Fukada

ZayeBandini a mis 7/10.

Annotation :

04/08 16h40 UGC Cité-Ciné Les Halles

Peut-être que depuis notre première rencontre, le cinéma de Koji Fukuda et moi nous sommes apprivoisés, ou bien que commencer cette exploration par L'infirmière était une espèce d'erreur de parcours.

Le fait est que Le soupir des vagues, tout comme Hospitalité, m'a suffisamment parler pour que j'en oubli même les défauts les plus flagrants, c'est beau, ça aborde beaucoup, peut-être même trop, de sujets avec finesse, et cette volonté de naturalisme n'oubliant ni d'être belle ni d'être drôle ou touchante rend l'exercice aussi agréable qu'il n'est mélancolique, évitant ainsi d'être plombant.

Pour l'éternité
6.1

Pour l'éternité (2019)

Om det oändliga

1 h 16 min. Sortie : 4 août 2021 (France). Drame, Fantastique

Film de Roy Andersson

ZayeBandini a mis 3/10.

Annotation :

11/08 16h50 MK2 Beaubourg

Lenteur, staticité, absurdité et picturalisme... Tout ça m'attire très clairement, mais en poussant à ce point l'absence d'action Roy Anderson confond contemplation et ennui crasse, la poésie est certes bien présente dans certains plans, mais semble très esseulée au milieu de tout ce rien.

Et puis l'absurdité humoristique que promet la bande-annonce est le plus souvent inexistante, pire, les quelques sourires que le film pourrait nous arracher sont ainsi désamorcés.

Ride Your Wave
6.7

Ride Your Wave (2019)

Kimi to, nami ni noretara

1 h 35 min. Sortie : 1 septembre 2021 (France). Animation, Comédie, Drame

Long-métrage d'animation de Masaaki Yuasa

ZayeBandini a mis 5/10.

Annotation :

Je sais plus quand, je dirai un mercredi, vers 16h au Luminor Hotel de Ville

Tellement anodin que j'avais tout à fait oublié d'écrire dessus.

Comme l'écrivait récemment un de mes éclaireurs, on peut penser que Yuasa pose son nom sur tout ce qui sort de chez Science Saru afin d'attirer le manant, on peut même carrément l'espérer, car si Eizouken est une petite bombe (tient, ça aussi j'ai oublié d'écrire dessus, c'est vraiment bon pourtant) que ce soit Japan Sinks ou Ride your wave c'est la chute libre, animation, on ne peut plus lambda malgré quelques transcendances sous des airs un peu arty, et surtout ce qui est raconté...

En gros plutôt que de vous dire que c'est larmoyant, niais, musicalement douteux et que les ficelles sont aussi grosses que la leash d'une planche de surf, il serait préférable de conseiller des œuvres ayant des thématiques proche et des qualité bien supérieures : sur le deuil amoureux et le rapport a la musique ce sera Solanin d'Inio Asano, et sur le couple de surfeur baignant dans la poésie A scene at the sea de Kitano bien évidement.

Maintenant il faut vraiment espérer que cette piètre performance n'empêche pas le gros morceau en approche, Inu-Oh, avec la participation de Taiyo Matsumoto, de se faire une place correcte dans nos salles.

Le Peuple Loup
7.8

Le Peuple Loup (2020)

Wolfwalkers

1 h 40 min. Sortie : 20 octobre 2021 (France). Fantastique, Aventure, Animation

Long-métrage d'animation de Tomm Moore et Ross Stewart

ZayeBandini a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

20/10 15h45 Le Lincoln

Visuellement magnifique, travaillant un esthétisme crayonné faisait presque oublier à quel point il est léché, Le peuple loup, si il est un peu prévisible, n'en creuse pas moins le sillon de ce qui peut se faire de mieux dans le livre jeunesse.

Qu'il s'agisse des trouvailles visuelles, bien loin des standards dominants des gros studios à gros sabots ou des valeurs écologiques, d'entraide et d'ouverture aux autres, cette première rencontre avec Cartoon Saloon me convainc tout à fait, parvenant à faire cohabiter simplicité, émotion et profondeur comme seul le médium animé sait le faire.

Un tel bonheur de pouvoir voir ça en salle, qui plus est sur une pause, un coup à oublier de retourner bosser en sortant de la séance.

Adieu Monsieur Haffmann
6.1

Adieu Monsieur Haffmann (2022)

1 h 55 min. Sortie : 12 janvier 2022. Drame

Film de Fred Cavayé

ZayeBandini a mis 6/10.

L'Ombre d'un mensonge
6.5

L'Ombre d'un mensonge (2020)

Nobody Has to Know

1 h 39 min. Sortie : 23 mars 2022 (France). Drame, Romance

Film de Bouli Lanners

ZayeBandini a mis 7/10 et a écrit une critique.

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