Secrets, anecdotes et légendes des séries télé

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► Certains ont peut-être été étonnés du fait que "The Wire" utilisait un format 4/3 jusqu'à son final en 2008 (soit 3 ans après "Six Feet Under" par exemple qui, sur la même chaîne, avait fini par adopter le format 16/9) - il faut savoir que les premières saisons étaient limitées financièrement et techniquement et que David Simon n'avait pas vraiment le choix à l'époque. Si bien que, lorsque HBO lui proposa lors de la troisième saison d'adopter un format 16/9, il refusa, prétextant que par cohérence artistique il préférait conserver le format original. Selon lui le-dit format avait même participé au succès de la série, soulignant son aspect "documentariste".

► Sur les bonus du DVD de la saison 4, juste avant la sortie de la saison 5, on pouvait visionner de nombreux bonus introuvables ailleurs, dont certains étaient intitulés "The Wire Prequels", montrant ainsi des petites scénettes antérieures à la série comme la rencontre de McNulty et Bunk, Omar White adolescent ou encore un Prop Joe collégien. Elles sont désormais disponibles sur le net.

► Nombre d'acteurs de la série avait initialement réalisé un casting pour un autre rôle. Par exemple, Seth Gilliam (le Sergent Ellis Carver dans la série) avait postulé pour le rôle de Stringer Bell, qui échoit finalement à Idris Elba.

► Beaucoup des personnages de la série sont inspirés de personnes ayant réellement existé. Omar Little ou encore Prop Joe, par exemple, sont issus de véritables criminels ayant sévi à Baltimore lorsque David Simon y était journaliste.

► Certaines de ces "personnes réelles" apparaissent d'ailleurs dans la série. La jeune Snoop interprète son propre rôle et Melvin Williams, qui a servi d'inspiration pour Avon Barksdale, fait aussi une apparition.
Merci à @USEFOOL

Quelques autres anecdotes en anglais que je traduirais quand je trouverai le temps : http://www.huffingtonpost.com/2015/03/24/the-wire-behind-scenes-isiah-whitlock-jr_n_6924154.html

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► Frank Darabont, créateur de la série et showrunner pendant les deux premières saisons, était notamment connu pour ses nombreux différents artistiques avec la chaîne AMC et l'auteur des comics, Robert Kirkman. Ainsi, après la diffusion de la saison 1, il vira l'ensemble de l'équipe scénaristique de The Walking Dead, chose extrêmement rare à la télévision.

► Anecdote amusante : il se trouve que la plupart du casting afro-américain de The Walking Dead a auparavant joué dans The Wire, notamment dans les saisons 3 et 4. Chad Coleman (Cutty dans The Wire, Tyreese dans The Walking Dead), Lawrence Gilliard, Jr. (D'Angelo Barksdale dans TW, Bob dans TWD) ainsi que Seth Gilliam (Carver dans TW), qui a été annoncé au casting de la saison 5.

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► Avant d'arriver sur Netflix qui voulait étendre sa programmation "originale", David Fincher et Kevin Spacey avaient d'abord abordé des chaînes comme HBO, AMC et Showtime pour leur projet.

► Même si Fincher n'est que le réalisateur des deux premiers épisodes, il a été extrêmement impliqué dans le projet. Si Beau Willimon est crédité comme créateur et showrunner de "House of Cards", il n'a été engagé que bien après. C'est Fincher qui fut le premier à porter cette idée de remake, alors qu'il venait de sortir "Benjamin Button" en 2008.

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► En 2000, David Chase engage un nouveau scénariste sur "Les Soprano". Impressionné par son travail, il venait effectivement de lire le script d'un pilote de série encore inexistant écrit par ce jeune nouveau dans le milieu - ce scénariste n'était autre que Matthew Weiner, et ce script n'était autre que... la première version du pilote de "Mad Men".

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► Ceux qui suivent "Battlestar Galactica", "The Walking Dead", "Black Sails" ou encore "Agents of SHIELD" doivent surement connaître le nom de Bear McCreary, l'un des plus célèbres compositeurs de séries télé à qui on doit bon nombre de génériques devenus cultes. On a cependant tendance à oublier, à cause de la piètre qualité du show, son travail sur Da Vinci's Demons - pourtant c'est sans doute l'un de ses faits d'armes les plus impressionnant. Effectivement, la musique du générique de la série qu'il a composé est conçue... comme pouvant s'écouter dans les deux sens.
Le générique original : https://www.youtube.com/watch?v=l1iucBZRceQ
Le générique inversé : https://www.youtube.com/watch?v=OrFj1SYfTvg

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► "Arrested Development" c'est l'un des sauvetages de série les plus impressionnants de ces dernières années, puisque Hurwitz a réussi a réunir l'ensemble du casting original sept ans après l'annulation du show par la FOX pour une quatrième saison sur Netflix. Ce que l'on ne sait pas forcément, c'est qu'à l'annulation de la série en 2006, Hurwitz avait été en négociations pendant de longs mois avec le réseau câblé Showtime (Dexter, Californication...) pour la reprise de la série. Hurwitz déclina finalement l'offre, avec pour motif qu'il préférait laisser son oeuvre comme elle était, sans baisse de régime, prétextant qu'il avait raconté l'histoire qu'il voulait raconter. Voilà un homme qui ne sait pas vraiment ce qu'il veut.

► À l'origine, les rôles de Tobias et George Sr. étaient secondaires, mais devant les performances hallucinantes des deux acteurs (David Cross et Jeffrey Tambor), Hurwitz décida d'en faire des personnages principaux.

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► Beaucoup ont peut-être été surpris de la durée réduite de la première saison de "Breaking Bad" : 7 épisodes à peine. Il ne s'agit pourtant pas d'un choix artistique ! Effectivement, la production de la série s'était déroulée lors de la fameuse grève de la WGA, aussi appelée la grève des scénaristes, qui eut lieu en 2007, obligeant la prod à réduire le nombre d'épisodes.

► Le fameux épisode "The Fly" qui se déroule dans un seul décor lors de la saison 3 n'est en fait pas du tout un choix narratif de Vince Gilligan. En raison de réductions budgétaires, il avait été effectivement contraint de concentrer son intrigue dans ce même décor, c'est ce que l'on appelle dans le jargon un "Bottle Show" ou un "épisode bouteille".

► Avant d'échoir à Bryan Cranston (qui était le premier choix de Gilligan), le rôle de Walter White avait été proposé par la production à des acteurs comme John Cusack ou Matthew Broderick. On l'a échappé belle, non ?

► Breaking Bad aurait bien pu être diffusé sur FX. La chaîne avait effectivement commandé un pilote pour la série, avant de faire marche arrière en raison du trop grand nombre de drames dans leur grille de programmation. J'en connais qui doivent s'en mordre les doigts.

► Un remake colombien, "Métastasis", a été réalisé et diffusé comme une telenovela (un épisode par jour) en 2014.

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► Il n'est pas rare qu'un épisode pilote soit "retourné" une fois la saison complète commandée. C'est le cas de "Game of Thrones" : il existe bel et bien deux versions du premier épisode de la série, dont la première n'a jamais été diffusée... mais ces deux versions comportent des changements majeurs : deux personnages recastés (Michelle Fairley remplace Jennifer Ehle dans le rôle de Catelyn Stark, Emilia Clarke remplace Tamzin Merchant dans le rôle de Daenerys Targaryen) mais aussi des lieux de tournages différents (Malte remplace le Maroc, l'Irlande du Nord remplace l'Islande).

► Lorsqu'ils ont rencontré George R.R. Martin (l'auteur des livres) pour le décider à adapter son livre en série, les deux showrunners de la série ont raconté qu'ils l'avaient finalement convaincu l'homme avec cette question : "Who is Jon Snow's mother?" ("Qui est la mère de Jon Snow ?").

► L'actrice qui interprète Lady Talisa Maegyr - connue pour son lien avec Robb Stark - s'appelle Oona Castilla Chaplin et n'est autre que la petite fille de Charlie Chaplin.

► La série connaîtra bientôt un remake indien, sous le titre de "Rani Mahal".

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► Certains se sont peut-être interrogés sur la signification du titre. "Penny Dreadful" se traduirait plus ou moins par "roman à deux sous", c'était un genre de roman très en vogue à la fin du XIXème siècle, vendus à un prix modique et destinés en grande partie aux adolescents et aux classes ouvrières désireuses de sensations fortes. C'est dans cette littérature qu'ont évolué les mythes des loups-garous et des vampires dans l'inconscient collectif, point central de la série.

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► "X-Files", antichambre de "Breaking Bad" ? Vince Gilligan, créateur et showrunner de cette dernière, était effectivement fan de "X-Files" et a envoyé plusieurs scripts écrits de sa main à Chris Carter, qui décida de l'engager. C'est sur le tournage d'un épisode qu'il rencontra d'ailleurs Bryan Cranston (06x02 - "Drive"), qu'il choisit quelques années plus tard pour interpréter le rôle principal de sa série culte.
Merci à @PFloyd

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► À l'heure où il est devenu presque routinier de ressusciter des séries arrêtées (Arrested Development, 24, Heroes...), certains parleront de nécrophilie. "The Comeback" avait été annulée en 2005 par HBO malgré des critiques excellentes - mais il se trouve que son titre semble lui tenir à la peau, puisque la série de Lisa Kudrow (une ex de "Friends") fera son comeback pour une deuxième saison en fin d'année 2014, soit presque dix ans après sa première vague d'épisodes.

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► Les fans me comprendront, mais la fin d'Evangelion c'est le gros bordel. Lors de la diffusion originale, Hideaki Anno et son équipe furent un peu pris de court par le succès de la série et réalisèrent en vitesse les derniers épisodes de la série, pourtant bien lointains de l'idée qu'Anno en avait à la base. Les deux épisodes finaux originaux sont ainsi constitués de plans fixes avec voix-off, d'images abstraites et de flashbacks incessants, qui nécessitèrent d'ailleurs une modification du reste de la série pour être cohérent avec elle. Cette fin fit grand bruit et beaucoup de fans se levèrent pour avoir droit à une autre fin. Quelques années plus tard sorti alors le film "Death & Rebirth" qui est composé d'une première partie sous forme de résumé des 24 premiers épisodes, et d'une deuxième qui constitue ce qui correspond au premier tiers du film "The End of Evangelion", qui sortira quelques mois plus tard, conçu comme une fin alternative à "Neon Genesis Evangelion" et qui divisa encore plus que la fin originale. Lorsque Anno se lance dans "Rebuild of Evangelion" en 2007, un "remake avec une meilleure animation" de la série originale, il décide à nouveau de changer la fin, qui sera dévoilée avec le quatrième film cette année en salles.

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► Avant d'être proposé à Mads Mikkelsen, le rôle d'Hannibal Lecter avait été proposé à... David Tennant, connu pour son Docteur Who ou encore sa participation au récent succès Broadchurch. Lee Pace, autre acteur éminent de la télévision, a lui auditionné pour le rôle de Will Graham. Fuller aurait été tellement impressionné par les interprétations des deux acteurs qu'il réfléchirait à leur offrir un rôle de serial killer plus tard dans la série.

► Au vu de la violence crue et esthétisée de "Hannibal" sur un network tel que NBC, la diffusion du show a été contrariée sur les antennes locales de la chaîne. De nombreuses plaintes ont entraîné son retrait de la grille de programmation dans plusieurs régions des Etats-Unis.

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► Dans la catégorie des "acteurs qui auditionnent pour un rôle mais qui en récupèrent un autre", je demande Peter Krause. L'acteur avait initialement participé au casting pour David Fischer, ce n'est qu'en remarquant son alchimie avec Rachel Griffiths (Brenda) que Alan Ball lui confia le rôle de son frère, Nate Fischer.

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► "Kenny Powers" c'est un autre miraculé de la chaîne HBO. Annulée une première fois après la seconde saison, la chaîne donnera cependant une seconde chance à la série pour une troisième saison, au terme de laquelle elle annulera une seconde fois la série, avant de lui offrir une quatrième et ultime salve d'épisodes quelques jours plus tard. À force de vouloir réaliser son comeback, Kenny Powers aura finalement réussi à le faire deux fois.

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► La version US de "The Killing" a elle aussi connue le même destin que "Kenny Powers". À la vue des audiences désastreuses, AMC décide d'annuler la série à la fin de la seconde saison. Pourtant, la série avait un certain succès sur la plateforme de VOD Netflix qui entre en pourparlers avec AMC - un accord de coproduction est finalement trouvé pour livrer une troisième saison, qui sera une nouvelle fois annulée par la chaîne. Mais c'était sans compter sur Netflix qui, cette fois, rachète carrément les droits d'exploitation de la série et lui donnera une quatrième et ultime saison de 6 épisodes en exclusivité sur la plateforme.

► Comme pour The Killing et Kenny Powers, on peut citer l'exemple de Unforgettable, annulée après saison 1 puis après saison 3, mais finalement récupérée par A&E.

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► On a souvent tendance à dire que "Rome" est le premier blockbuster télévisuel (avec plus de dix millions de budget par épisode), mais on a tendance à oublier "Band of Brothers". Avec un budget total de 125 millions de dollars (qui sera presque doublé pour sa suite "The Pacific"), le budget de chaque épisode était effectivement de 12.5 millions.

► Même si la production était majoritairement américaine, la BBC a elle aussi participé à remplir le budget du film. Comme intermédiaire entre la chaîne anglaise et le producteur Steven Spielberg, un nom insolite : Tony Blair, premier ministre du Royaume-Uni à l'époque, qui fut grandement impliqué dans les négociations.

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► Martin Sheen, l'interprète du président dans la série, devait initialement rester au casting pour les quatre premiers épisodes... il ne quitta finalement pas la série durant l'intégralité de ses sept saisons.

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► Lors de la première version du pilote de "Lost", le personnage de Jack, présenté comme le héros, devait mourir avant la fin de l'épisode. Rebondissement inattendu qui plu énormément à l'acteur Michael Keaton qui était à une époque fortement considéré pour le rôle, mais qui déplu à ABC, qui obligea J.J. à faire survivre Jack. Keaton refusa le rôle, ne voulant pas s'engager sur une série au long terme, et celui-ci fut confié à Matthew Fox.

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► Dans une scène de la saison 2, Andy (Chris Pratt) était censé arriver nu à la maison de Ann. Sauf que lors d'un tournage, les acteurs ne sont pas réellement nus dans ce genre de scène et portent des sous-vêtements. Chris Pratt, un peu casse-cou dans l'âme, juste avant de tourner la scène, retira ces sous-vêtements sans l'accord et la connaissance de l'équipe. La scène tournée fut finalement gardée dans le montage final. Puisqu'une vidéo vaut mieux qu'une explication compliquée, je vous laisse regarder cette interview où Pratt raconte l'anecdote : https://www.youtube.com/watch?v=WTP0pE-eTKM

► L'une des multiples inspirations des deux créateurs de la série a été, de façon assez étonnante... "The Wire". En effet, d'après Greg Daniels et Michael Schur, la peinture de l'échec du système politique faite par la série de HBO se retrouve en grande partie dans leur création.

► À l'origine, les personnages de Donna et de Jerry, interprétés respectivement par Retta et Jim O'Heir, n'étaient pas présents dans le script. Les créateurs de la série étaient cependant fans des deux acteurs et décidèrent de leur confier un rôle "qu'ils définiront plus tard". S'il sont en retrait en saison 1, ils finirent par prendre de l'importance en saison 2 et devinrent réguliers à partir de la saison 3.

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► Si les titres de tous les épisodes de "Better Call Saul" se terminent par la lettre "o", il est assez étonnant de remarquer que l'épisode 5 saison 1 se nomme "Alpine Shepherd Boy", alors qu'il ne présente rien de particulier. En réalité, au départ ce dernier devait s’appeler "Jello" mais la production fut obligée de changer de nom puisque celui-ci correspondait à une marque déposée.

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► Le film "Westworld" de Michael Crichton avait déjà été adapté en série télévisée sur CBS en 1980 sous le titre "Beyond Westworld". La série avait été retirée de l'antenne après seulement trois épisodes diffusés et cinq tournés.

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► "La diffusion de la 6ème saison ayant été repoussée aux Etats-Unis au mois d'avril 2007, les épisodes ont été programmés quasiment en simultanée aux USA et en France. Les abonnés de Canal + avaient au départ une semaine de retard par rapport à la diffusion américaine. Mais avec un rythme de deux épisodes par semaine, le public français a pu découvrir la suite de la saison en exclusivité mondiale... avant le public américain !" [à réécrire, extrait d'Allociné]
Merci à @To_hajiilee

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► Le pilote de la série fut tourné pour moins de 200 dollars de façon amateur et envoyé à FX, qui décida de donner une chance à la série.

► A l'origine, la série devait s'intituler "It's Always Sunny on TV" et devait suivre des acteurs se démenant à Hollywood. A cause du trop grand nombre de séries de ce type à l'époque (Entourage, Joey...), FX demanda à McElhenney de changer le cadre et l'occupation des personnages.

► "It's Always Sunny in Philadelphia" est une série culte pour beaucoup monde... dont les deux créateurs / showrunners de "Game of Thrones", David Benioff et D.B. Weiss, qui ont d'ailleurs écrit l'épisode 8 de la saison 9 de la série, "Flowers for Charlie". Ils ont aussi avoué avoir songé à inviter Rob McElhenney et Charlie Day à faire un caméo dans GoT, mais n'ont pas encore trouvé le rôle approprié. On attend en tout cas avec impatience le cross-over entre les deux shows, un Charlie Day à Westeros ça doit valoir son pesant de dragons d'or.