Cover Séries vues en 2020

Liste de

21 séries

créee il y a plus de 4 ans · modifiée il y a 10 mois

Grey's Anatomy
5.5

Grey's Anatomy (2005)

44 min. Date de première diffusion : 3 juillet 2006 (France). 16 saisons. Drame, Romance, Médical

Série ABC

Annotation :

Saison 8

Et on s'arrête à l'avant-dernier épisode, je sais ce qui m'attend ensuite, le pathos exacerbé de fin de saison où l'on fait crever des personnages sans panache, non merci ! On sent de toute façon que la série perd en qualité, les épisodes sont inégaux, aucun intérêt à aller plus loin donc. A l'occasion quand je voudrai replonger dans une série popcorn, je reprendrai Grey's Anatomy du début.


Saisons 1 et 2

Vues en milieu d'année pour rattraper le chat qui s'était mis à les revoir et... je suis arrivée à saturation et le chat est passé à autre chose ! C'est vraiment popcorn (et néanmoins sans doute pas complètement inoffensif quand on a une tendance hypocondriaque) mais trop de soap génère l'indigestion, binge-watcher Grey's Anatomy, ce n'est manifestement pas possible.

Mme Maisel, femme fabuleuse
7.8

Mme Maisel, femme fabuleuse (2017)

The Marvelous Mrs. Maisel

53 min. Date de première diffusion : 26 janvier 2018 (France). 5 saisons. Comédie dramatique

Série Prime Video

Nocturne a mis 7/10 et la regarde actuellement.

Annotation :

Saison 3

Une saison moins réussie que les deux précédentes, la faute à une histoire un peu trop délayée, comme s'il ne fallait pas trop en raconter, trop vite, pour maximiser la durée de vie de la série... Paradoxalement, beaucoup de dialogues, particulièrement en début de saison, m'ont semblés assez inaboutis, se terminant abruptement, comme si les scénaristes avaient eu la flemme de développer leur idée, ou n'avaient pas su trouver les propos qui feraient sens dans la bouche des personnages. Ca reste un joli divertissement à regarder (ces robes... J'ai une petite obsession pour les costumes historiques et les tenues vintage) mais c'est aussi un peu facile et on commence à sentir le manque de profondeur, ce qui n'est pas sans générer une certaine frustration.

Brooklyn Nine-Nine
7.5

Brooklyn Nine-Nine (2013)

21 min. Date de première diffusion : 1 octobre 2013 (France). 8 saisons. Comédie, Policier, Action

Série NBC, FOX

Nocturne a mis 9/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Saison 6

La saison 5 était déjà moins forte que la précédente, la saison 6 confirme cette tendance. La faute au couple Jake / Amy, trop mis en avant sur certains épisodes (voire même juste Jake) au détriment des autres protagonistes, aux personnages qui sous prétexte d'humour se retrouvent un peu trop out of character (notamment le capitaine Holt, beaucoup trop expressif, et Rosa qui nous raconte tout de sa vie) et au départ définitif de Gina, notre maître à tous.

Aggretsuko
7.2

Aggretsuko (2018)

Aggressive Retsuko

15 min. Date de première diffusion : 20 avril 2018 (Japon). 1 saison. Comédie, Animation

Anime (mangas) Netflix

Annotation :

J'ai tenté, j'ai du mal à accrocher, le trip death metal semble posé là un peu artificiellement.

Crazy Ex-Girlfriend
7.1

Crazy Ex-Girlfriend (2015)

42 min. Date de première diffusion : 23 avril 2017 (France). 4 saisons. Comédie, Musique

Série The CW

Annotation :

Ahahah ce premier épisode, mais oui, on valide ! Je suis fichue, je sens que les airs des chansons vont méchamment me revenir à l'esprit et squatter mon cerveau en boucle...

Alors verdict ! Crazy Ex-Girlfriend est une série popcorn qui se regarde sans déplaisir mais qui aurait pu être tellement mieux, c'est assez frustrant en fait. Les apartés musicaux sont réussis et rigolos, le féminisme assumé est agréable mais on a aussi une sensation de remplissage entre les chansons qui est assez insatisfaisante.

L'histoire ne présente pas un grand intérêt, mais ce n'est pas réellement gênant parce qu'elle n'est traitée que comme un prétexte pour créer des interactions entre les personnages et des situations plus ou moins cocasses : il suffit de voir comment le scénario se débarrasse en un claquement de doigts d'un élément un peu gênant pour faire avancer l'histoire, quitte à être gentiment incohérent (le niveau de richesse de Rebecca fluctue ainsi d'un épisode à l'autre en fonction des besoins, ça en est drôle).

Ce qui est plus dommageable, c'est que l'histoire est malgré tout traitée assez sérieusement, alors qu'elle aurait gagnée à être poussée dans une voie plus absurde pour renforcer le comique de la série. Je comprends la volonté derrière le scénario qui vise à parler des problèmes mentaux, mais alors dans ce cas l'histoire est beaucoup trop faible pour fonctionner et intéresser le spectateur. La première saison nécessite ainsi de s'accrocher, sa focalisation quasiment exclusive sur la relation entre Rebecca et Josh la rend assez laborieuse. La 2e saison parvient à améliorer les choses en développant un peu plus les personnages secondaires qui étaient jusqu'à présent réduits à de simples figurants, ce qui permet d'étoffer l'histoire et de multiplier les enjeux. Le début de la 3e saison propose quelques épisodes désagréables qui renouent avec une focalisation trop poussée sur le personnage de Rebecca Bunch mais s'avère ensuite assez libératrice. Le leitmotiv des deux premières saisons est évacué (bon débarras) et le trouble mental devient un sujet abordé frontalement, ce qui confère à son héroïne un supplément d'humanité.

The Witcher
6.3

The Witcher (2019)

1 h. Date de première diffusion : 20 décembre 2019 (France). 3 saisons. Aventure, Fantasy, Action

Série Netflix

Annotation :

La série se laisse regarder, mais elle aurait pu être bien plus magistrale. Le problème, c'est que deux approches inconciliables s'entremêlent :

- La volonté de proposer une série grand public, facile d'accès. Ce qui se traduit par une mise en scène pas très inventive et datée, qui accumule les clichés (bonjour les monstres cachés qu'on entend et qui surgissent façon jumpscare, au 3e épisode le procédé a déjà été utilisé au moins une fois par épisode). Plus que la qualité des effets spéciaux pour lesquels je n'ai pas un degré d'exigence démesuré, c'est cette manière de filmer qui donne à l'ensemble un côté cheap.

- Une adaptation non linéaire qui est assez plaisante quand on connaît l'univers, mais qui demande un effort d'appropriation assez peu Netflix friendly pour ceux qui ne se sont jamais frottés de près ou de loin à l'univers The Witcher. Je n'ai pas lu les romans et je suis loin d'être une spécialiste, mais pour bien appréhender The Witcher 3 j'ai lu des résumés des livres et des deux premiers jeux, ce qui me permet de situer les lieux, les personnages et les liens qu'ils entretiennent. Pour quelqu'un qui n'y connait rien, je pense que l'exercice est assez difficile (enfin à partir du 3e épisode puisque avant on ne peut même pas savoir que l'on évolue dans des temporalités différentes).

Ce choix plus exigeant de narration n'est pourtant pas mené jusqu'au bout puisqu'on aboutit à des histoires dont on sent pertinemment qu'elles ont été dépouillées de la substantifique moelle qui en faisait la richesse dans les romans pour aboutir à des segments vite expédiés (Renfri...) ou modifiés pour le drama (Foltest qui apparaît si pleutre dans la série), ce qui annihile toute complexité dans un monde qui devrait pourtant être tout en nuances.

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Je disais que la série était regardable. Pas top, mais regardable. Oubliez. C'est de pire en pire, chaque épisode me fait tomber dans des abîmes de consternation. J'en suis au 5e épisode et je n'en peux déjà plus. La rencontre entre Geralt et Yennefer est abominablement mal traitée, ce n'est pas possible de passer à ce point à côté de son sujet...

Je termine dans la douleur, il ne me reste plus qu'un épisode mais je n'en peux plus. La photographie est d'une laideur sans nom, la mise en scène d'une pauvreté abyssale et l'écriture catastrophique, on trouve des incohérences à foison (au sein de la mythologie établie par la série, même pas par rapport aux livres). 80 millions de dollars pour faire ça, quel gâchis.

Community
7.7

Community (2009)

25 min. Date de première diffusion : 13 décembre 2012 (France). 6 saisons. Comédie

Série NBC, Yahoo! Screen

Nocturne la regarde actuellement.

Annotation :

Nouvelle tentative. C'est laborieux pendant un moment, mais à partir du dernier tiers de la première saison Community trouve son ton et se révèle plus intéressante. La saison 2 assume totalement le délire et donne enfin à Annie toute la place qu'elle mérite. La saison 3 donne une nouvelle direction à certains personnages qui se retrouvent canalisés (Ben Chang, enfin, son personnage était une plaie jusqu'à présent !) ou partent en roue libre au service de la comédie (le doyen !)

Years and Years
7.7

Years and Years (2019)

1 h. Date de première diffusion : 15 mai 2019 (France). 1 saison. Mini-série, Drame

Série BBC One

Annotation :

Youpi la vie, youpi !

Je n'en suis qu'au premier épisode et déjà mon avis est mitigé. J'ai d'abord été emballée par les multiples thématiques abordées, et puis j'ai été gênée par le manque de subtilité avec lequel celles-ci sont traitées et combien on pressent que les évènements risquent d'être caricaturaux. Cela me fait pas mal penser à Bodyguard (qui s'avère être tiens, une autre série BBC One) dans la manière de vouloir développer un propos, assez pessimiste, mais en ayant peur d'ennuyer le spectateur et en choisissant donc de verser dans le sensationnalisme. Ce qui sur des sujets aussi complexes ne peut pas fonctionner, et fait que l'on se retrouve avec des histoires essayant de générer de l'émotion, mais dont on ressent à chaque instant le caractère artificiel.

Je ne suis pas sûre de continuer du coup, surtout que les quelques critiques d'éclaireurs dont je partage en général l'opinion me font penser que mon intuition risque fort de se concrétiser...

Yep, je confirme, j'ai abandonné, je n'ai pas du tout envie de m'y replonger.

Giri / Haji
7.2

Giri / Haji (2019)

57 min. Date de première diffusion : 10 janvier 2020 (France). 1 saison. Policier, Thriller

Série BBC Two

Nocturne a mis 6/10.

Annotation :

L'idée d'une histoire qui se déroule en parallèle en Angleterre et au Japon est très bonne et confère à la série une atmosphère particulière que j'ai beaucoup aimé. Il ne faudra pas en revanche s'attendre à être surpris par l'histoire qui est assez classique et exploite des éléments déjà vus ailleurs (la relation entre frères ou duo du voyou / policier, les inspecteurs qui se compromettent). Il y a aussi quelques séquences un peu "too much" qui auraient gagnées à être plus sobres pour renforcer la crédibilité de l'histoire (notamment l'expédition punitive à Londres).

Je reste un peu sur ma faim, il y avait vraiment moyen d'en faire une série avec une identité singulière (encore une fois, plus par rapport à son cadre que pour ses quelques originalités de réalisation), mais le scénario ne se démarque pas assez de ce qu'on a pu voir dans d'autres séries policières et s'autorise des facilités, en plus de quelques manques (la relation entre Kenzo Mori et Sarah Weitzmann, pas assez développée) et incohérences (la fille de Kenzo qui rejoint son père au Royaume Uni en un claquement de doigts).

The Plot Against America
7.2

The Plot Against America (2020)

59 min. Date de première diffusion : 17 mars 2020 (France). 1 saison. Drame, Mini-série

Série HBO

Nocturne a mis 6/10.

Annotation :

La reconstitution est classieuse et on se laisse happer par les 6 épisodes de la série. Je ne doute pas qu'elle puisse faire son petit effet aux Etats-Unis, surtout dans le contexte politique actuel, que le roman de Philip Roth soit adapté maintenant n'est d'ailleurs sans doute pas un hasard. Mais s'il y a bien une montée progressive en tension, cela reste trop timoré. Je suis européenne : la Seconde guerre mondiale et le génocide m'ont imprégnée, tout comme je garde en mémoire que le gouvernement de mon pays avait choisi de collaborer. La réalité historique dépasse la fiction, qui est certes cruelle, mais demeure moins rude. On regrettera d'ailleurs que la conclusion soit aussi vite amenée, en rupture avec le malaise qui avait été instauré précédemment, comme si les scénaristes n'avaient pas osés aller au bout de la démarche : les cartes sont opportunément rebattues, permettant à certains personnages d'être sauvés sans aller au bout de ce qui aurait dû être leur destin.

On Becoming a God in Central Florida
6.8

On Becoming a God in Central Florida (2019)

45 min. Date de première diffusion : 25 août 2019 (France). 1 saison. Drame, Comédie

Série Paramount Plus with Showtime

Nocturne la regarde actuellement.

Annotation :

Mouais. J'en suis au 4e épisode et je ne suis toujours pas convaincue. Les personnages sont tous détestables et l'ambiance 90's kitsch n'aide pas à adhérer. Je reste donc assez hermétique, c'est dommage parce que le sujet était loin d'être inintéressant, en adoptant un ton plus décalé ça serait sans doute mieux passé.

The Great
7.2

The Great (2020)

51 min. Date de première diffusion : 18 juin 2020 (France). 3 saisons. Drame, Historique

Série Hulu

Nocturne l'a mis en envie.

Annotation :

Abandonné dès le premier épisode. Ca ne me dérange pas que les codes soient bousculés dans une fiction historique (j'apprécie beaucoup le Marie-Antoinette de Sofia Coppola par exemple), mais il faut que ça ait un minimum de sens. L'outrance du roi est absolument insupportable (et me rappelle le personnage du roi dans The Royal Affair, que j'avais aussi détesté).

Quadras
5.5

Quadras (2017)

50 min. Date de première diffusion : 19 septembre 2017 (France). Comédie, Drame

Série La Une

Annotation :

C'est plutôt sympa à regarder et bien construit. Il y a des facilités et quelques bizarreries, mais rien de bien gênant.

The Morning Show
7.3

The Morning Show (2019)

53 min. Date de première diffusion : 1 novembre 2019 (France). 3 saisons. Drame

Série Apple TV+

Nocturne l'a mis en envie.

Annotation :

La série aborde un sujet passionnant dans une ère post me too et soulève des pistes de réflexion intéressantes en y apportant suffisamment de nuances pour ne pas tomber dans un piège (à moduler pour les derniers épisodes). Je suis par contre un peu gênée par la caractérisation des deux présentatrices qui manque parfois de subtilité. Et un peu étonnée des infinis précautions prises pour ne pas froisser son auditoire et ménager les susceptibilités : quand on parle de harcèlement sexuel et de jeux de pouvoirs, qu'on le veuille ou non on est en plein dans un sujet éminemment politique. Mais c'est comme si la série ne voulait pas toujours assumer sa prise de position et essayer d'en minimiser les conséquences. J'ai par exemple du mail à comprendre que Bradley Jackson puisse être considérée comme une femme sans sensibilité politique alors que tout dans ses convictions et sa ligne de conduite nous hurle qu'elle ne peut clairement pas être une républicaine...

Je ne suis pas non plus conquise par la surenchère du dernier épisode, lancé par un drama abusif qui n'amène pas l'un des personnages dans une direction satisfaisante. Les scénaristes ont dû estimer qu'il fallait au moins ça pour justifier une volte-face, mais ça sonne trop artificiel, trop catapulté. Une conclusion en demie teinte, mais je reste curieuse de ce que donnera la saison 2.

Living With Yourself
6.3

Living With Yourself (2019)

26 min. Date de première diffusion : 18 octobre 2019 (France). 1 saison. Comédie, Drame, Science-fiction

Série Netflix

Nocturne a mis 7/10.

Annotation :

C'est bizarre, fascinant et longuet, un bien étrange mélange. J'ai un peu le même ressenti qu'avec Poupées Russes, je ne suis pas hyper emballée mais il se dégage néanmoins de cette série une pointe d'étrangeté au goût de reviens-y, et la durée (8 épisodes de 20 minutes) permet de continuer à s'y frotter sans trop se mouiller. A voir si cela évolue, dans l'immédiat j'ai la sensation qu'un film aurait été un format plus adapté, cela aurait permis d'accélérer la mise en place et d'apporter davantage de développement.

C'est mieux rythmé dans la deuxième moitié de saison. Il manque un peu de matière pour en faire une série mémorable mais le jeu de Paul Rudd était franchement bon.

Et donc cela fait 3 jours que j'ai Road To Nowhere dans la tête, merci le générique. We are a road to nowhere, come on inside !

Family Business
6.3

Family Business (2019)

31 min. Date de première diffusion : 28 juin 2019 (France). 3 saisons. Comédie

Série Netflix

Annotation :

Inégale mais je suis plutôt cliente de l'humour absurde. Par contre je rejoins les diatribes à l'encontre du personnage de la néerlandaise à la tête d'un réseau, ça ne fonctionne pas et c'est gênant...

I Am Not Okay With This
6.6

I Am Not Okay With This (2020)

23 min. Date de première diffusion : 26 février 2020 (France). 1 saison. Drame, Aventure, Comédie

Série Netflix

Nocturne a mis 6/10.

Annotation :

Une série qui se regarde, qui n'est pas désagréable et a quelques bons moments, mais n'est pas mémorable non plus. Dommage, parce qu'avec une intrigue plus dense, il y avait de la matière pour proposer une série plus percutante. En l'état, difficile de regretter que la série ne soit pas renouvelée pour une deuxième saison.

The Good Wife
7.1

The Good Wife (2009)

45 min. Date de première diffusion : 3 février 2011 (France). 7 saisons. Policier, Drame

Série CBS

Nocturne a mis 8/10, l'a mis dans ses coups de cœur et la regarde actuellement.

Annotation :

Ca y est, j'ai enfin vu les premiers épisodes ! Du coup c'est reparti pour un tour, même si je ne suis pas sûre d'arriver au bout des 7 saisons.

Ah bah finalement ça n'aura été que la première saison, le précédent visionnage était encore trop récent, toute badass que soit Diane.

Malcolm
7.8

Malcolm (2000)

Malcolm in the Middle

25 min. Date de première diffusion : 24 décembre 2001 (France). 7 saisons. Comédie

Série FOX

Nocturne a mis 8/10.

Annotation :

J'aime tellement l'humour noir à l'oeuvre dans Malcolm ! Et comme ce n'est une série que je n'avais vue qu'en piochant des épisodes par ci par là, je découvre plein d'épisodes que je ne connaissais pas encore !

Pause au cours de la saison 4, l'écriture est un peu moins efficace.

The Big Bang Theory
6.7

The Big Bang Theory (2007)

25 min. Date de première diffusion : 18 octobre 2008 (France). 12 saisons. Comédie

Série CBS

Nocturne a mis 8/10.

Annotation :

Ce n'est pas moi, c'est le chat...

The Crown
7.6

The Crown (2016)

57 min. Date de première diffusion : 4 novembre 2016 (France). 6 saisons. Drame, Historique, Biopic

Série Netflix

Nocturne a mis 6/10.

Annotation :

Bon, j'avais oublié que j'avais commencé à la regarder à sa sortie, et même en revoyant le premier épisode ça n'a pas fait tilt, il a fallu qu'on me le rappelle... Mais je vois ce qui ne m'avait pas plu avec les deux / trois premiers épisodes : la reine Elizabeth qui parait bien fadouille, le prince Philip traité comme un méchant archétypal, l'acteur qui campe Churchill et dont le jeu n'est pas vraiment à mon goût, le personnage de la secrétaire à Downing Street qui ne sert pas à grand-chose... Et puis finalement ça s'arrange, le propos devient un peu plus intéressant et la série offre alors plus que de très beaux décors de châteaux et des costumes fort jolis. Après on reste toujours à la surface, on aurait pu explorer plus en profondeur certaines thématiques, ça aurait été franchement bénéfique. En cela je trouve la 2e saison moins percutante (avec cet épisode de la gêne centré autour de Jackie Kennedy...)

Le changement de casting à partir de la 3e saison est très perturbant ! On s'était habitué au jeu des acteurs précédents, voir les personnages être interprétés différemment laisse sur une impression d'étrangeté et l'on peine à prendre nos marques. L'évolution de la physionomie des personnages n'aide pas, alors que l'action reprend quasiment là où elle s'était arrêtée à la fin de saison 2, passer d'une Elizabeth qui paraît avoir 30 ans à une reine ayant la cinquantaine (bien qu'elle soit censée n'avoir que 40 ans), c'est déroutant, mais on s'y fait. L'interprétation différente, c'est globalement plus compliqué de l'assimiler. Elizabeth semble ainsi plus chaleureuse, moins aristocratique, quand Margaret est franchement fade (Helena Bonham Carter apporte un nom connu mais elle passe à côté du rôle). Seule bonne surprise, Philip gagne en consistance, Matt Smith ayant auparavant eu tendance à un peu trop mettre en exergue l'aspect le plus agaçant du prince.

Pour ce qui est de l'histoire, la saison 3 est assez longuette puisqu'elle aborde une période qui n'est pas prolixe en évènements : l'apprentissage du rôle de reine est terminé, les scandales ne sont pas encore arrivés. Seul l'épisode sur la catastrophe au pays de Galles ressort du lot (même si là encore on va chercher le drama dans le moindre détail, l'évènement est suffisamment horrible, il n'était pas nécessaire de nous sortir une indignation quant à l'absence de la reine sur place après la catastrophe, les gens avaient autre chose à gérer...)

Nocturne

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