Survival horror et autres jeux horrifiques

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Daté, pas forcément très long et intéressant, cette première vraie incursion de l’horreur dans le monde du jeu vidéo ne fera pas date.

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Un jeu classique, typique de son époque, mais fait avec le plus grand sérieux. On se prend au jeu, malgré le manque d’information.

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Un point and Click intéressant à bien des niveaux, proposant une histoire plus étoffée que d’habitude, mais souffrant de quelques énigmes étranges.

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Un jeu d’arcade pur et dur, très court, mais par moment bien glauque. Visuellement autant qu’au niveau sonore, le jeu tient la route et on y retourne avec plaisir.

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Resident Evil avant l’heure, avec une touche de RPG très sympathique en plus, apportant un intérêt certain au titre.

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Graphisme top pour l’époque, innovations pour le genre, bande son excellente, Alone in the Dark est un jeu culte.

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Malgré ses nombreux défauts, Darkseed posséde une atmosphère assez envoutante et très prenante, et reste un jeu à faire pour l’amateur du genre, et pour les amateurs des travaux de H.R. Giger (RIP).

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N’ajoutant rien de particulier au premier opus mais se faisant plus beau, Splatterhouse 2 plaira aux fans, malgré sa grande difficulté.

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Un jeu qui s’il contient beaucoup de bonnes idées et intentions, s’avère bien trop répétitif et bourré de défauts pour complétement plaire.

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Une première suite qui n’a rien compris à l’original. Si visuellement, on retrouve ces marques, le jeu s’oriente plus vers l’action, sans que sa maniabilité ne soit prévue pour. Immense déception !

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Imparfait mais bien plus réussi que le second opus, Alone in the Dark 3 posséde une ambiance et une histoire assez intéressante mais n’ajoute rien, et se fait en retard techniquement !

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Pas parfait et même aujourd’hui un peu daté, ce premier opus de la saga conserve son charme et a de bons moments dans sa poche pour plaire à l’amateur du genre.

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Bourré de défauts, on retiendra avant tout l’ambiance du soft et ses qualités graphiques plutôt que son histoire ou son maniement.

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Parfois plus proche du film interactif que du jeu d’horreur, du survival ou du point and click, ce qu’il est pourtant, Phantasmagoria possède une histoire prenante bien que classique, et l’aventure s’avère longue et parsemée de moments bien gore.

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Capcom frappait fort en 1996 en livrant le culte Resident Evil. Forcément, le jeu a prit quelques rides, mais reste ce monument de survival horror que l’on connaît, toujours passionnant, toujours efficace.

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Sombre, jouissif, long pour l’époque, beau, avec une ambiance glauque et une très belle bande son, Monolith Productions nous livre déjà un grand FPS dés 1997.

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Un Beat them all en 3D intégrale assez répétitif mais possédant quelques caractéristiques intéressantes, tout comme un bon bestiaire.

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Une suite pas forcément utile, moins glauque et prenante, bien que toujours bien emballée et avec un level design souvent inspiré.

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Une suite sympathique, bien que bourrée de petits défauts qui pourront énerver les joueurs. Son concept reste identique mais de nombreux ajouts s’invitent dans la partie, avec de multiples personnages, un Scissorman plus présent, plus de cachettes, plus d’énigmes, mais le passage à la 3D fait vieillir le soft beaucoup plus rapidement.

Annotation :

Sympathique pour le fan, mais dispensable. Le jeu tente de moderniser son concept mais ça ne fonctionne pas comme dans l’original.

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Très influencé par Resident Evil, Deep Fear contient de bonnes idées (tirer en se déplaçant, gestion de l’air, le lieu et les boss) mais souffre de nombreux défauts (bugs, difficulté trop facile, nombreux allers retours) qui en font aujourd’hui un soft oublié, et rare.

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Quelques bonnes idées de départ ne font pas un bon jeu, et Hellnight en est la preuve. On avance dans des couloirs vides et moches, et c’est tout !

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Squaresoft livre son premier jeu pour public mature, et le rendu est convaincant. Malgré quelques petits défauts, on est happé par l’intrigue et l’aventure se termine rapidement.

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La suite culte d’un jeu culte !

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Un Resident Evil mais avec des dinosaures et quelques minimes améliorations. Fort sympathique !

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Shadow Man posséde un univers très glauque et intéressant, et en plus s’avère très long. Tout n’est pas parfait, loin de là, mais si l’on rentre dans l’aventure, elle vaut le détour.

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Une ambiance glauque et une expérience unique nous font oublier quelques défauts comme un graphisme pas toujours très beau pour nous plonger dans les débuts de cette longue saga.

Annotation :

Un jeu qui a certes prit un coup de vieux, mais qui demeure original et très plaisant. Certains défauts peuvent irriter, mais sur la courte durée du soft, on préférera profiter.