The Ultimate Woody Allen list

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Chapter One : une balade au son de Gerschwin dans les rues new-yorkaises. Et si l'amour était aussi simple que ça...

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Sûrement un Woody mineur pour la plupart des gens, mais je le trouve vraiment fort. Après une hibernation de 200 ans, Miles se réveille dans un monde peuplé de robots. Entre deux courses-poursuites burlesques, on perçoit la critique d'une société façon "Meilleur des mondes"...
Allen explore le futur et les enjeux de la modernité de façon assez inattendue. Quelque part entre le Buster Keaton, le Mime Marceau et Austin Powers, le jeu de Woody Allen ne gâche rien.
Une bonne émission de France Culture sur le film : http://www.franceculture.fr/emission-les-nouveaux-chemins-de-la-connaissance-philosopher-avec-woody-allen-44-portrait-d-un-ant-0

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Celui-là se fait facilement une place dans le peloton de tête. Faux documentaire qui reprend tous les codes du genre (zoom sur de mauvaises photos d'archives, interviews des proches et des protagonistes de l'époque, gimmicks historiques...), ce film est surtout très très drôle. La vie de Zelig, cet homme-caméléon qui ne peut s'empêcher de ressembler à ceux qu'il côtoie, devient tellement burlesque qu'elle représente toute une époque accro aux bêtes de foire et aux "grands destins".

Extrait : http://www.youtube.com/watch?v=qUW8JsLDsNo

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Un condensé du meilleur des films de Woody : histoire d'amour compliquée, ego trips, tirades cyniques (tout le script est une citation pour moi...), une tonne de références culturelles... La représentation des souvenirs est réussie et touchante. La caricature de la concurrence NY/LA est aussi tordante. A voir et re-re-re-revoir.

Bande-annonce (VO) : http://www.youtube.com/watch?v=TBzHphcc2Jw

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Larry David est parfait en alter-ego d'Allen s'amourachant d'une jeune fille insouciante. Elle s'accroche, jusqu'à ce que les tocs du vieil homme deviennent vraiment infernaux. Mais tout ne devient pas simple pour autant...

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Délicieux huis-clos automnal.

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Quand une fervente catholique, bonne épouse et mère de famille, bourgeoise de Manhattan pur jus, prend quelques décoctions chinoises... La voici qui entame une liaison avec un musicien et remet sa vie en perspective. Magie, apparitions fantomatiques de bon conseil (astuce qu'on reverra dans To Rome With Love), tout est permis et quand le charme se brise, Alice retrouve sa liberté.

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Le couple Allen-Keaton, qui prend le délicieux nom de Lipton dans le film, occupe le vide laissé par le départ de leur fils par des soirées à l'opéra et d'autres au hockey sur glace, pour faire plaisir à l'un et à l'autre. Un quotidien plan-plan qui se pimente lorsque survient la mort de la voisine...pour Carol Lipton, aucun doute, c'est son mari qui l'a tuée. Carol, obsédée par l'affaire, mène enquête, tandis que Larry Lipton préfère s'accrocher à son quotidien sans histoires. On retrouve du Hitchcock, du Welles, et quelques lignes de dialogue restées dans les annales. Un bon divertissement, avec quelques réflexions sur le bonheur (et le meurtre) dans le couple.

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Quelque part entre Match Point, Scoop et Meurtre à Manhattan, une fausse comédie romantique où Joaquin Phoenix et Emma Stone incarnent des âmes en proie à des dilemmes philosophico-moraux...

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Un weekend pluvieux qui marque l'entrée dans le monde des adultes de nos deux tourtereaux étudiants, avec ses névroses et ses illusions. Le tout, sous la pluie, à New York.

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- You have no values. With you its all nihilism, cynicism, sarcasm, and orgasm.
- Hey, in France I could run for office with that slogan, and win!

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Ce film joue la carte de l'oreille indiscrète (thème que l'on retrouve dans Irrational Man) : ici, le personnage de Mia Farrow est une écrivaine qui entend par inadvertance une séance de psychanalyse. Troublée par ce qu'elle entend, elle est amenée à se questionner sur de nombreux aspects de sa vie... une fable assez cruelle décrivant une société pleine de faux-semblants.

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"Il ne faut jamais faire confiance à un conducteur de bus nu !"
"Même une horloge cassée a raison deux fois par jour"

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Bonus track : documentaire en deux parties qui revient sur la vie et la carrière d'Allen, de son enfance new-yorkaises aux films les plus récents.
La deuxième partie est un peu baclée et se focalise pas mal sur ses démêlées avec la justice. On peut se contenter de la première partie du docu qui donne quelques détails croustillants sur son enfance et ses débuts dans le stand-up. On y voit de chouettes interviews d'Allen et de ses proches.

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La jalousie rend aveugle...

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Un musicien un brin égocentrique se veut l'égal de Django Reinhardt. Malgré son talent, ses humeurs orageuses risquent de lui faire perdre gloire et amour...

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Une comédie légère dans laquelle Woody se pique de remettre une prostituée dont il a adopté le fils dans le droit chemin... un bon divertissement, sans conséquences celui-là !

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Première expérience au cinéma traumatisante pour Allen qui signe le scénario mais le voit dénaturé. Sinon : des casanovas en cavale sèment la zizanie, et bien sûr tout cela se passe à Paris, capitale mondiale du flirt et de l'adultère. Délirant, mais rafraîchissant, comme une bonne comédie romantique des années 30.

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Un détective accusé du vol sur lequel il enquête : schizophrénie ou magie ? Une comédie au dénouement trop facile.

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Une farce bananière qui tourne en ridicule le communisme, les dictateurs, la démocratie, les hippies et l'opérette, rien que ça. On y trouve un Woody plus arrogant que d'habitude dans le rôle principal de Fielding, amené à devenir président du petit Etat sud-américain de San Marcos (toute ressemblance avec des faits réels...). Divertissant.

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Panique à l'ambassade des Etats-Unis à Moscou : en pleine guerre froide, l'incompétent fils de l'ambassadeur doit gérer un incident diplomatique en l'absence de son père. Tout ça à cause d'une famille de touristes à qui tout semble dû...
Entre les pitreries d'Allen, un défilé de femmes voilées afghanes, et les maladresses de J.Fox, on ne sait plus où donner de la tête. A classer près de Broadway Danny Rose, dans la catégorie agitations burlesques.

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Des gangsters, des acteurs qui versent dans l'emphase : ici, les années 20 ont tout d'un film de Billy Wilder. Au début du film, on entend surtout Allen parler à travers les acteurs, lui qui a cherché à faire un "grand film" toute sa vie ("Aucun grand artiste n'a été reconnu de son vivant", "les auteurs font les meilleurs metteurs en scène"). Ensuite, ce sont finalement les acteurs qui dominent l'auteur, réecrivant le script sans vergogne sous le regard bienveillant d'un auteur (Cusack) qui, malgré tout son bagage académique, ne vaut pas mieux qu'un gangster pour la dramaturgie.
Quelques personnages intéressants, mais globalement ennuyeux.