Tim Burton

Annotation :

Le sentiment irritant de vouloir mettre un coup de tête au personnage après chaque ricanement ne quittera jamais tout ceux qui auront pensé, comme moi, qu'un espace coloré pourrait suffire à le rendre un minimum agréable.

Burton ou pas, ne perdez pas de temps.

Annotation :

Un "premier film" à l'identité artistique unique en son genre, qui posera les fondations d'un cinéma atypique terriblement captivant.
Keaton est excellent et la scène du repas toujours aussi culte.

Traverse les âges sans peine.

Annotation :

Force est de constater, et surement à cause de la "Nolanisation" réussi des Dark Knight, que je ne suis plus trop réceptif à ce premier opus de Tim Burton.
Ce côté théâtrale un peu grotesque des personnage me fait vite décrocher, et moi qui suit un grand fan du Joker pour son côté trouble, mystérieux et anarchique, je n'aime pas du tout le parti pris de lui donner un nom et un passé de gangster de bas étage, même si Nicholson semble bien faire le boulot.
Alors ça reste du pur Burton dans son architecture gothique, sa noirceur poétique et son sens du conte macabre onirique toujours très sympa à regarder, mais le film reste un peu ennuyeux et l'on sent beaucoup de retenue.

Annotation :

Batman Returns est un film hyper dark et incroyablement bien réalisé, qui met en avant plus que jamais l'identité visuelle d'un Tim Burton vraiment inspiré, libéré des contraintes de son manque notoriété visible sur le premier film, certainement grâce à son bonhomme aux mains d'argents.

Le Pingouin est un personnage captivant (même si sa voix finit par saouler un peu), et Catwoman, dont le costume est sans aucun doute le mieux réussi de tous ceux conçu, crève l'écran sous la torride prestation de Michelle Pfeiffer.
Et Batman dans tout ça? En effet, notre pauvre homme chauve-souris est relégué au troisième plan et n'apporte vraiment pas grand chose à cette fable gothique vraiment macabre.

Après le film manque quand même vraiment de rythme (et quand il y en a c'est pas terrible), et la dernière partie est un peu trop abusé à mon gout, mais bon, on voit tellement peu de film avec une telle personnalité, qu'on peu allègrement fermer les yeux sur quelques lourdeurs.

Du très bon travail.

Annotation :

L'absurde mise en vie de l'absurde histoire de cet absurde personnage est toujours aussi interessante, en excellente et due forme d'ailleurs, en revanche une fois l'effet de surprise passé le film souffre d'une forme de monotonie qui ne donnera pas envie de le consommer plus que de notoriété, et cela afin de ne pas froisser non plus l'agréable impression d'origine.

Tout cinéphile devrait passer par la je pense :)

Annotation :

Si le délire du film semble confortable la première heure, le foutoir qui suit m'a toujours fait décrocher.
J'ai la vague impression que ça a été poncé à la va vite, comme un Ed Wood justement aurait pu le concevoir, le casting et le budget en plus, le manque de naïveté en moins.

Non pi ch'ais pas, j'ai pas envi de m'expliquer, ça ne fonctionne que trop peu de mon côté.

Annotation :

Empreinte artistique évidemment toujours aussi attirante pour un film qui paradoxalement ne m'a jamais divertit, quelle qu'en soit la tonalité instillée.

J'suis un poil embêté de mettre cette moyenne note mais j'arrive pas à ressentir un peu d'enthousiasme, même après un nouvel/probablement ultime/presque attentif essai.
Juste sachez-le.

Annotation :

Bon je n'arrive pas à me placer concernant cette nouvelle vision de la planète des singes.
D'un côté je trouve ça vraiment pas terrible, je n'arrive jamais à croire à ce qu'il se passe et je trouve l'histoire vraiment trop tiré par les cheveux (dans le contexte de la planète des singes évidemment), et d'un autre je trouve le maquillage des singes très sympa et la prestation de Tim Roth vraiment au top.
Un film de tim Burton? Je sais pas! On ressent pas grand chose de très profond et la musique de Elfman ne me fait pas du tout décoller... Bref au final le film me laisse carrément indifférent.

Annotation :

Bon je suis réceptif à Big Fish, de près, de loin, sur les côtés, et même si à mon sens le métrage aurait été un peu plus équilibré avec 20 minutes en moins, il fonctionne terriblement bien sur mon affectivité.

Vraiment cool comme projet.

Annotation :

Rare livre que j'ai dévoré étant jeune, c'est absolument sans aucun recul que j'adhère complètement à la manière dont les choses sont présentés dans cette version cinématographique, qu'importe la divergence des avis.

Le plus grand chocolatier et pi c'est tout!

Annotation :

Je suis sévère mais j'ai pas compris.
Sous Skellington sans ambition, à la structure narrative hyper douteuse, et qui ne renouvelle pas le charme acquis des productions précédentes.
Alors oui le travail fournit est conséquent, mais je suis pas persuadé que le projet méritait autant de sueurs.

Annotation :

Vu au cinéma car Tim Burton, enfin à l'époque, revu par auto-devoir plus de 10 ans après.
J'avais oublié que ça chantait autant, j'ai cru ne pas tenir, puis le passage avec le Baron m'a divertit, et je suis resté sur la même impression jusqu'au bout.

Concept très original quand même, voir inédit, ou l'impact surprenant d'une violence plus sincère que d'habitude, a su me provoquer un intérêt particulier au sein d'une composition sonore qui était censé me faire lever les yeux au ciel.

Annotation :

A l'époque, j'aurai rigolé au nez de celui ou celle qui m'aurait dit que le film serait mauvais.
Mais force est de constater, en plus d'avoir les yeux qui saignent à chaque apparition de Crispin Glover, que rien ne fonctionne.
La magie n'opère jamais, l'ultra numérisation casse la tête, on se retrouve englué dans un vrai/faux n'importe quoi pompeux, et tout ceci en plus d'avoir les yeux qui saignent à chaque apparition de Crispin Glover, mais ça je l'ai déjà dit.

Caca.

Annotation :

Je n'aurai jamais imaginé prendre une telle douche froide devant un film de Burton!
Même si visuellement on retrouve sa Darktouch identitaire, je n'ai pas réussi à adhérer au TON instillé dans ce film, dixit le passage sur fond de Barry White ou je me suis dit "c'est quoi ce mauvais délire?".
Pareil pour le script... pas compris! On nous présente une famille lambda au début du film, puis dès le retour de Barnabas on ne se concentre que sur lui, et tout le reste ne semble plus avoir d'intérêt.
Bref, ce ne sont que des détails, mais de mon côté ils ont été trop nombreux pour me faire apprécier le film.
150 000 000 de dollars pour quelque chose d'aussi "fabriqué", pour de l'humour très étrange et ce final uniquement basé sur un concentré d'effets visuels histoire d'en mettre plein les yeux....je reste persuadé que le film aurait été bien meilleur il y a 10 ans avec un budget restreint!
Pas pour moi!

Annotation :

Jolie travail d'équipe façon le Monsieur qui a chapeauté le projet.
Une vision supplémentaire ne semblera pas nécessaire cependant.

Annotation :

Pas grand chose à dire sur ce film académique propre mais tourné sans réel ambition.
Je n'aurai jamais reconnu la "patte" Burton si je n'avais pas vu son nom au générique, et je n'aurai probablement pas regardé le film si ça avait été le cas.
Les acteurs sont bon, l'histoire parait intéressante, mais rien n'a été fait pour procurer un sentiment réellement enthousiaste.
Je zappe.

Annotation :

Sans perdre mon temps à plomber un Burton qui ne me fait plus du tout rêver, et sans perdre mon temps non plus à essayer d'expliquer aux gens du cinéma que la magie dans un film ne doit plus dépendre QUE des effets numériques, car on y est bien trop habitué, je signale juste qu'entres 2 moments d'ennuis j'ai trouvé le traitement des méchants plutôt sympathique...
...
Voila.

Annotation :

Coloré, efficace, mais surtout coloré, difficile néanmoins de mon côté de ressentir un peu d'émotion pour un éléphant volant qui veut retrouver sa maman.

Je suis pas la cible du tout.