Top 10 Films selon GrievousLord

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Véritable phare dans la nébuleuse opaque qu'est la culture dite populaire, incompris et injustement mésestimé, ce pilier a changé toute ma vie il y a longtemps. Rôle repris par The Game depuis, mais rendons à Lucas ce qui lui revient de droit : ma révérence.

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L'œuvre ultime d'un héritage culturel magnifique. Cette appropriation de l’archétype de la jeune fille tombée dans le terrier est certainement le plus beau film d'animation sur cette Terre, ou le symbolisme et le poétique se marient à merveille. Certifié tomate fraîche.

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Vu au cinéma. L'Empereur ouvre les veines du 7ème Art pour abreuver ses images d'une éruption de couleurs qui s'étaient jusque là contenues durant toute sa filmographie. Après Kagemusha, ce majestueux et empirique chef d'oeuvre total est l'accomplissement d'une carrière brillante. Une tragédie vibrante, des plans hallucinants, une technique incontournable, un passage dans l'autre monde : celui du génie. DIVIN.

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Raconté d'une main de maître par un montage impressionnant et porté par un Costner au sommet, JFK est une masterclass de comment réussir un biopic et une enquête. Du haut de ses 3h00, tout est passé en revue sans rien omettre de cette folle histoire qui m'a toujours passionné, comment assassiner son président progressiste à la vue de tous...

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Leçon de cinéma létale. Le destin de l'amour, hanté des femmes trahies des hommes, dans une nature qui mène à la mort. Le climax poétique de Kitano, qui mêle symbolisme à tradition dans un film qui mine de rien comporte tout ce qui me fascine chez ce pays. (Manque plus qu'un samouraï mdr)

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Une œuvre d'art sur tous les plans. La plus belle couleur qu'on puisse voir, un rapport à l'étrange profondément intéressant ainsi qu'une plastique formidable. Un ovni, entre théâtre et rêve. Expérimental et formel, une claque esthétique et un absolu chef-d'œuvre

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La torpeur spirituelle d'un philosophe, le déchirement sensoriel d'un soldat, la chute de l'Homme dans les flammes. Monument du cinéma soviétique, à tous les niveaux sublime, incomparable, l'expérience de cinéma ultime. Voilà l'édifice magnifique d'un artiste tout aussi superbe.

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On est tout. Un enfant aux proies aux fantômes, une mère perdue par la mort, un mari sur les planches; regarder Fanny et Alexandre c'est se pencher par la fenêtre de l'âme, regarder l'intérieur de son crâne. Presque Lynchien, ce mix de Dickens et des Malheurs de Sophie nous éclabousse de sa justesse.

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Chef d'œuvre de terreur, ou même le sang devient une menace. Le fier représentant du cinéma plastique, un triomphe total et surtout l'héritage d'un des plus grands artistes américains du siècle dernier.

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L'apothéose d'une filmographie, celle d'un visionnaire capable de transcender la nature, l'état des choses pour en tisser un filet doux et sublime, tel une vapeur, un songe. Ce film est un murmure, à la plus belle photographie du monde.