selon fabulousrice

Annotation :

Plus qu'un voyage sensoriel, ce jeu vous emmènera au bout de vous-même dans l'une des aventures les plus épiques et sublimes données à jouer depuis l'invention du jeu vidéo. Un monolithe, un chef d'œuvre incontournable, autant à la première lecture qu'à la seconde, qui révèlera ou affirmera ses secrets (architectures, sculptures, décors, character design, musique...)
Play it to believe it.

Annotation :

Bourriner et frapper dans le tas tout en gardant un côté cartoon super bien designé et ultra fun à jouer. Courrir et latter ses adversaires. Leur piquer leur thune et aller se faire un sauna avec leur argent. La robin-des-bois-rdise des personnages et leur force de frappe sont ce qui est arrivé de mieux au jeu de baston dans l'histoire. Un peu comme si on pouvait mixer l'humour d'un manga japonais avec le free-fight de final fight. La lutte des classes se règle avec les poings. Mythique.

Annotation :

Minimalisme. Ambiance sonore envoûtante. Ultra-violence du monde animalier et industriel.
"Et si on favorisait l'ambiance du jeu pour changer".
Finalement, les gens qui ont de la thune ont écouté un designer, et le résultat envoie du steak.

Annotation :

Un jeu qui déchire tout, tenant autant du balai automobile anti-gravitationnel que de l'apologie de la destruction pure pour le plaisir d'une catharsis push-button.
Rémi Julienne, en pleurs, abandonne sa console au bout de 10 minutes sans pouvoir dire un mot.

Annotation :

Comment ne pas intégrer Street Fighter II, le vrai, le pur, celui de 1993, dans lequel tout était permis et sans modération jusqu'à ce que mort s'en suive (ou jusqu'à ce qu'il y'ait plus de Coca).
Une génération de joueurs a appris à se battre avec Street Fighter (enfin, dans la théorie), tout comme elle a appris à conduire avec Super Mario Kart (premier du nom). Ils ont encore tous leurs points de permis.

Annotation :

Des graphismes et des couleurs à tomber par terre de beauté et d'invention. Des musiques furieuses pour la SNES. Des armes toutes plus imaginatives, puissantes, et jouissives les unes que les autres (le Hadoken, vous vous rappelez?). Des cachettes et des passages secrets à n'en plus finir.
Le meilleur du jeu de plate-forme à un nom, il s'appelle Mega Man X.
Souvent été copié, mais jamais égalé.

Annotation :

Un jeu de stratégie complètement mindfucking, dans lequel il faut faire des mots barrés en zig-zag dans sa tête avant de pouvoir jouer.
C'est un peu la version en jeu vidéo de quand ta mère te faisait un bouillon avec des pâtes alphabet dedans, et que tu le regardais des heures en cherchant des mots plutôt que de la manger. Ca remplace pas le bouillon de ta mère, mais c'est plus facile à trimballer.

Annotation :

Les plus beaux puzzles virtuels sont dans ce jeu exceptionnel de par son ambiance et son concept, mais malheureusement trop court.

Annotation :

L'immense réalisateur David O'Reilly livre un jeu énigmatique et beau, dans lequel vous jouez... Une montagne.
Expérimental et sans précédent, ce jeu se vit plutôt que se joue!

Annotation :

Prenez une photo de votre meilleur ami (ou de votre personnage politique le moins préféré), et défoncez-lui la gueule à coups de poêle à frire alors que son visage se marque progressivement sous vos coups.
C'est peut-être ultra con, comme jeu, mais comme défouloir c'est assez imbattable quand quelqu'un vous a cassé les noix.