Top 10 Séries selon cineman75

Annotation :

Quoi dire, si ce n'est que "Alice in Borderland" est un must du genre.
16 épisodes dantesques adaptés d'un manga qui nous emmène dans un univers réel (ou irréel ) peu importe, tellement cette série est prenante à tout point de vue.
Encore une fois nous sommes sur une série asiatique, japonaise celle fois ci, qui à le point fort de balayer tous les genres sans que ce soit indigeste ou fouillis.
Au contraire, à travers cette histoire d'homme et de femmes qui se retrouvent dans un méga jeu géant ou le but principal voir final est juste de vivre, nous découvrons tous ce qui fait que notre humanité est à la fois magnifique et détestable.
16 épisodes sans aucune faiblesse, un rythme, du suspense, des rebondissements, une imagination débordante mais qui ne fait jamais défaut dans cette fresque vers ....
La force de "Alice" c'est que en multipliant tous les genres, cette série nous emmène au fur et à mesure là où nous avons peur d'aller.
le dernier épisode, jusqu'à la dernière image est incroyablement fort et douloureux, avec un fin totalement "wouah"
Quoi dire encore, si ce n'est qu'en suivant tout ces héros qui en fait n'en sont pas, on se retrouve un peu tous au fur et à mesure, car le sujet principal finalement du film, c'est tout simplement la psychologie de l'humain.
Que sommes nous prêt à subir ou à faire subir pour vivre ou survivre.
Et au fur et à mesure que les jeux défilent, il suffit juste de sortir du contexte des arènes de ses jeux virtuels, pour nous remémorer un moment, ou une situation, ou le choix pris était surtout un choix par peur, ou par égoïsme.
Besoins vitaux, sens des valeurs, vive pour les autres, sens du sacrifice, oui tout cela c'est bien beau, mais quand ça nous touche personnellement, ont en oublie très vite le sens, sans être mauvais ou pire qu'un autre.
Ce que j'ai adoré dans cette série c'est ce mélange entre la psychologie humaine et le coté décalé de l'univers déshumanisé dans lequel ils vivaient tous.
Oui bien sur parfois ça peut paraitre un peu longuet, avec ce coté gnangnan mais c'est aussi le coté sens de la vie qui ressort avec donc ses bons et mauvais coté.
Alice in borderland c'est tout cela résumé, avec aussi des scènes incroyables de batailles et de tueries en masse (version battle royale)
Et finir avec ses 15 dernières minutes, là je dis juste,
"What a wonderful world"

Annotation :

The Glory ou une vengeance parfaitement imaginée, tramée, complotée suite à l'enfer vécue par Dong-Eun .
16 épisodes tous plus puissants les uns que les autres, The Glory nous emmène dans l'univers torturé de la délicieuse mais aussi torturée Song Hye-kyo qui tient le rôle principal de cette femme meurtrie et harcelée 18 ans auparavant jusqu'au plus profond de sa chair.
La force principale de "The Glory" est que chaque épisode est plus prenant l'un que l'autre.
Le visage rarement souriant de Dong-Eun est une sorte de cicatrice à vie, pour qu'elle n'oublie jamais, et qu'elle ne recule pas dans sa mission de vengeance.
c'est passionnant jusqu'au dernier épisode, et très souvent poignant au fur et à mesure que l'on comprend et que l'on excuse la décision de Dong-Eun
Le harcelement est un sujet tellement actuel et tellement douloureux, que oui là milles fois oui on veut être le bras armé de cette vengeresse.
De multiples scènes prennent aux tripes, chaque personnage est savamment croqué, avec au fur et à mesure le visage et le vrai visage qui se dessine .
Coups bas, trahison, jalousie, hypocrisie avec un méga H, Méchanceté gratuite, c'est de toute cette soi disant bande que la vengeance se fera.
Comme souvent dans les films ou les séries coréennes le regard et les moments de silences sont d'une rare intensité, The Glory touche en plein dans le mille, et Song Hye-kyo crève littéralement l'écran.
C'est très juste, terriblement cruel, et délicieusement amoral, Mais c'est un bijou en terme de Série.
Une vengeance qui amènera peut être une seconde saison, même si je pense que ce sera difficile d'être aussi juste dans la narration et la scénarisation de cette quête d'une vie.
The Glory démontre pour ma part encore une fois la diversité et la créativité dans des histoires des plus dramatiques.
The Glory ce sont de bonnes et mauvaises rencontres "arrangées ou pas", avec des personnages qui sont comme la plupart des êtres humains ni coupable ni innocent.
La contradiction des sentiments est une des principales forces de la série, car, et c'est bien connu, parfois ouvrir la boite de Pandore est périlleux, mais aussi terriblement salvateur.
C'est tout cela The Glory, avec une réalisation très cinématographique dans le déroulé de l'histoire.
Cicatrices, et regards perdus, The Glory c'est aussi et surtout une actrice dont l'interprétation est à la fois juste, simple, émouvante et diabolique.
Grande série, mais là encore je n'en suis pas vraiment étonné

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The victims' game est une série taiwanaise qui m'a bluffé.
Au départ l'histoire est avant tout une intrigue passionnante autour d'un tueur en série.
Mais la force de "the victims' game", c'est le traitement de l'histoire à travers tous les principaux protagonistes.
Et d'un thriller classique mais palpitant nous dévions vers une histoire ou chaque personnage nous livre à la fois ses mystères, ses secrets, ses souffrances.
Quoi dire si ce n'est que je viens de me prendre une méga claque dans la figure.
Grandiose et douloureux, the victims' game est une merveille du genre.
Et même si ce n'est pas du cinéma coréen, on touche à ce que j'adore dans ce cinéma, la qualité de l'histoire, l'intrigue alambiquée mais crédible, et les regards perdus des personnages (moon lee wouah ! ) car the victims'game est avant tout une formidable et tragique histoire d'hommes et de femmes.
Vu la qualité de la saison 1 hâte de retrouver la saison 2 même si ils ont auront du mal à faire aussi fort.

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Grandiose, barré, démentiel, "Acharnés", Beef en VO est la série déjantée à voir.
Portée par deux acteurs exceptionnels, Steven Yeun et Ali Wong, "Acharnés", démarre sur les chapeaux de roue, avec une scène d'une telle banalité dans notre vie qu'on n'en fait même plus attention,
une querelle entre deux conducteurs, et le doigt (oups)
Et nous voilà partis avec 10 épisodes de 35 minutes a chaque fois dans un furieuse vendetta, qui va prendre des proportions tout simplement démentes.
Quoi dire, si ce n'est que cette série américaine, qui se passe dans la communauté asiatique de Los Angeles est tout simplement géniale, par son idée,
géniale par son rythme et surtout géniale par son duo d'acteurs qui incarnent des anti héros qu'on a envie de baffer, mais et c'est bien là le paradoxe, qu'est ce qu'on les aime.
La morale, s'il y en a vraiment une c'est que tout normaux qu'on est, on peut a n'importe quel moment devenir le pire des pire pour un simple regard, une queue de poisson, ou un coup de klaxon. Danny et Amy pourraient être nous, un mauvais soir une mauvaise journée, et hop tout s'enchaine, et nous entrons dans une sorte de dimension ou chaque geste, ressemble alors aux fameux mouvements des ailes d'un papillon, à savoir que tout aura des conséquences sur tout.
Et vraiment " Acharnés" à cette qualité de rythme, d'enchainement des situations sans trop en faire, on oublie le pathos insupportable qui aurait nuit à l'histoire, et nous sommes dans une sorte de "brut de fonderie" où la sortie de route risque d'être douloureuse et inéluctable.
Cette série est une pépite du genre, avec un humour très noir dans certaines scènes, et
certaines scènes totalement cultes.
La pratique du pistolet par Amy, ne manquant pas de sel :)
Oui "Beef" c'est un vrai coup de maitre. avec encore une fois ce duo au sommet de leur art, au plus haut de leur prestation, Steven Yeun et Ali Wong
A l'arrivée 10 épisodes, pour illustrer de main de maitre, le mal-être des hommes des femmes,
la difficulté de s'affirmer, et que parfois tout les moyens sont bons (mauvais)
Je termine par mon coup de cœur sur la bluffante Ali Wong tout simplement EXTRAordinaire dans son rôle d'Amy.
Un chef d'oeuvre qui nous fait prendre un P.... de pied !

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Juvénile Justice ou comment suivre la vie d'un tribunal qui s'occupe des jeunes délinquants. Cette série coréenne est un pur bijou en la matière. Cette fois ci nous ne sommes pas dans l'extra violence ou dans le thriller pur. Non là, nous suivons à travers la vie d'une juge "qui hait les délinquants mineurs" . 10 épisodes pour une première saison qui touche en plein cœur. Toutes les histoires, les intrigues, les personnages et même les "secrets" des personnages principaux sonnent juste, c'est épuisant émotionnellement parlant, mais le sujet par lui même ne peut que l'être. Tout est réussit, on oublie l'histoire à l'eau de rose, on oublie surtout la petite amourette qu'il y a souvent dans ce genre d'intrigue celle qui est une sorte de deuxième histoire qui souvent n'a que peu d'intérêt.
Non encore une fois, Juvenile Justice est bluffant par le ton humain tellement inhumain, mais juvenile justice c'est aussi et surtout une actrice extraordinaire qui porte son combat au delà même de ses forces. Son nom Kim Hye-soo - cette actrice porte cette série, uniquement par la puissance de sa présence. Un prestation XXL pour une série coréenne encore une fois
qui fait mal là ou on doit avoir mal

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Alors ça y est j'ai vu la fameuse série dont tout le monde parle.
En règle général, j'évite car la plupart du temps je suis déçu.
Mais dans le cas de "Squid Game" il s'agit déjà d'une série coréenne, et ne serais ce que cela ça je ne pouvais que céder à cette merveilleuse tentation.
Je viens donc de regarder les 9 épisodes et Squid Game a été la hauteur de mes grandes attentes.
Une série avec un coté extrêmement violent, un pamphlet des jeux du cirque, version moderne de notre beau monde civilisé.
Et surtout un magnifique florilège d'être tous plus ou moins humain dans le pire du meilleur qui devient malgré tout le pire.
Tous les ingrédients à la sauce coréenne sont réunis dans squid game qui a travers un jeu nous démontre comment chaque être humain redeviendra une véritable bête fauve soi disant pour les autres mais avant tout pour lui.
La parfaite définition étant l'épisode 6 pour moi le must de cette saison 1,
ou toutes les bassesses sont possibles, car il y a l'excuse du fameux règlement. Cet épisode 6 mettant très mal à l'aise car il est une sorte d'hymne à la trahison.
Alors peut importe le flacon, pourvu qu'on est l'ivresse, une ivresse totalement destructrice

Annotation :

Série suédoise d'un réalisme qui fait froid dans le dos.
Chef d'oeuvre avec une actrice Gizem Erdogan dans le rôle de Perlin absolument extraordinaire.
Kalifat est un voyage en enfer dont on ne revient pas.

Annotation :

8 saisons de dingues, de plaisir, d'humour,
8 saisons de massacres, de meurtres, de bas instincts, de drames
8 saisons de Dexter !!!
le must

Annotation :

Furtive est une série Sud Africaine de 6 épisodes d'une intensité rare, inspiré d'une série Turque "L'ombre de Fatlma".
Furtive, c'est avant tout une histoire d'une femme simple, invisible comme certains le disent, une femme qui va juste chercher son mari qui a purgé 2 ans de prisons.
El l'histoire commence, le mari n'est pas là et Zenzi décide alors de tout faire pour le trouver.
Unseen démarre alors et de bout en bout nous allons suivre ce parcours non initiatique interprètée par la bluffante Gail Mabalane.
Zenzi va se retrouver seule contre tous et toutes, et va faire le ménage sans balai ni aspirateur.
Série de 6 épisodes, avec une atmosphère prenante, intense et dramatique, Furtive c'est cette femme qui au départ ne désirait que vivre heureuse avec son homme et son fils.
Et puis tout a dérapé, pourquoi, dans quelle circonstance, et comment tout à dérapé.
Cette femme si discrète que l'on ne remarque pas va alors se transformer en sorte de super héroïne, mais sans cape ni super pouvoir.
Juste avec sa volonté de retrouver son homme.
Son parcours va alors se transformer en chemin de vie ou de mort, pour la découverte de la vérité, des vérités qui ont fait de sa vie un enfer.
Plus rien à perdre, plus rien à penser, juste avancer.
Telle pourrait être la devise de Zenzi, à la fois fragile et impitoyable.
Furtive c'est donc tout cela, avec en plus la prestation 5 étoiles de Gail Mabalane

Annotation :

Entrevias (un quartier de Madrid) au départ c'est une sorte de tragédie version thriller à travers la relation entre une jeune femme et son grand père. ce que j'ai apprécié dans cette série, ce sont les 3 premiers épisodes, sombres et tendus à souhait, ce que j'ai moins apprécié c'est l'histoire qui s'éternise et qui aurait gagné à avoir facilement deux épisodes en moins. De plus le jeu au fur et à mesure trop caricatural de José Coronado dessert une intrigue qui pourrait être plus prenante. Entrevias reste une très bonne série à l'espagnol, avec une atmosphère réussie, et surtout deux acteurs qui crèvent l'écran. L'excellent Flic Ezéquiel joué par Luis Zahera, et la sublime et fragile Nona Sobo.
8 épisodes c'est je pense deux de trop, mais "Entrevias" est à voir.
Et bien la saison 2 est différente dans le style mais l'intensité dramatique, et la vie de ce quartier pas comme les autres se bonifie avec le temps.
Différente de la première saison, Entrevias saison 2 est différente et c'est aussi une vraie qualité de ne pas être rester dans un scénario différent.
La relation grand père fille, les flics pourris, les gangs sans foi ni loi, mais également, le combat intérieur d'Irène est à la fois passionnant mais également émouvant .
Saison 1 : Moyenne avec des épisodes de grandes factures,
Saison 2 : Tout y est, suspense, rebondissements, émotions, et bonheur vers le malheur.
Et heureusement la distribution reste la même !