Top BD lues en 2017 mais toutes années confondues

Annotation :

Une série de BD que je ne connaissais absolument pas et qu'un collègue m'a prêté. J'ai trouvé ça très bon, voire même excellent. Ca commence bien et ça termine très bien! Ce qui frappe en premier, c'est le contraste entre le dessin et le propos. Les personnages ressemblent à des espèces de légumes, mais ça n'est pas à mettre entre les mains des plus jeunes! Le fond de l'histoire est très documenté, bourré de références et touche là où ça fait mal. À l'aide de petits personnages mignons, l'auteur parvient à décrire tout ce qui ne va pas dans ce monde. C'est parfois dur, très dur, mais tellement juste. Je dirais simplement qu'il y a un petit coup de mou dans les tomes 2 et 3. Par contre, le tome 0 est très intéressant, mais il faut vraiment le lire après les 4 tomes de la série principale, car il joue sur la nostalgie et si on commence la lecture par celui-là, on risque de ne pas être aussi surpris pour le reste de l'aventure.

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(Relecture)

Un grand classique de la BD américaine. Une des meilleures histoires de Batman, que j'ai relu avec grand plaisir. L'auteur joue parfaitement avec l'héritage de Batman, et il ne tombe pas dans le piège d'axer toute l'histoire autour du super-héros. Batman, ce n'est pas uniquement un type qui se déguise en chauve-souris pour faire justice, c'est également une ville, des habitants, des policiers et des ennemis complètement tarés. C'est aussi ça qui fait de Batman un des comics de super-héros les plus intéressants. C'est dommage que cet album soit aussi court.

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Tomes 1 à 4 (nombre de tomes parus à ce jour, mais la série est encore en cours).

Voilà le genre de manga que j'adore: les anecdotes qui en outre se permettent de nous apprendre des choses! Dans le cas de Nobles Paysans, c'est l'agriculture qui est mise à l'honneur. L'auteure de FullMetal Alchemist y dépeint sa vie à la ferme, avec sa famille. Toute la troupe devient alors très vite attachante, et les anecdotes croustillantes vraiment bien expliquées! J'ai toujours apprécié lire des anecdotes diverses, mais quand en plus c'est super bien conté et que ça m'apprend des choses, je ne peux qu'en tirer un bilan positif!

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Un excellent comics qui représente parfaitement la folie qui habite les personnages de l'univers de Batman. J'ai trouvé ça passionnant à lire et illustré de manière très originale. Dommage que la fin, bien que symbolique, semble un peu bâclée, car ça aurait pu être une très grande BD qui se hisserait au même niveau que Killing Joke ou Un Long Halloween.

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Probablement le meilleur comics Marvel qu'il m'ait été donné de lire depuis un bon moment! Le pitch de départ est une excellente idée et parvient à remettre en question tout l'univers d'une partie des héros Marvel les plus connus. Les dessins sont aussi globalement bons et servent très bien le récit. Ce genre d'histoire où les héros sont mentalement torturés, je trouve ça intéressant et ça change des lectures Marvel habituelles. D'ailleurs, je trouve House of M meilleur que Civil War, qui fut l'évènement de l'année suivante, éclipsant partiellement House of M. Je suis seulement déçu de la fin, ça m'a semblé bâclé. La toute fin est bonne, mais la façon dont on y arrive n'est pas des plus raffinées. Par ailleurs, ça aurait mérité un ou deux chapitres supplémentaires afin de rendre ça plus complet. Je sais qu'il y a eu d'autres comics visant à raconter en détails les évènements du point de vue de nombreux personnages, mais l'idéal aurait été d'allonger cela dans le comics principal.

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Le retour du grand Eikichi Onizuka, alias le meilleur prof de fiction de tous les temps! Dans cette série, située chronologiquement entre deux chapitres de la série initiale, Onizuka tente de se faire oublier en retournant chez lui, à Shonan. Là-bas, il va se lier d'amitié avec une jeune femme qui s'occupe d'un foyer pour jeunes. Afin d'avoir une chance de pécho, il va s'engager dans ce foyer et se retrouver dans des situations complètement décalées. J'ai bien aimé ce retour, c'est toujours aussi drôle et inventif. Après, le dénouement n'est pas le meilleur et les histoires se finissent toujours un peu de la même manière, à l'instar de la série d'origine. N'empêche, rares sont les mangas à me faire autant marrer. Ce GTO Shonan 14 Days aurait pu être un incontournable s'il avait bénéficié d'histoires plus variées et d'une morale moins clichée.

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Une série de BD que je ne connaissais absolument pas et qu'un collègue m'a prêté. J'ai trouvé ça très bon, voire même excellent. Ca commence bien et ça termine très bien! Ce qui frappe en premier, c'est le contraste entre le dessin et le propos. Les personnages ressemblent à des espèces de légumes, mais ça n'est pas à mettre entre les mains des plus jeunes! Le fond de l'histoire est très documenté, bourré de références et touche là où ça fait mal. À l'aide de petits personnages mignons, l'auteur parvient à décrire tout ce qui ne va pas dans ce monde. C'est parfois dur, très dur, mais tellement juste. Je dirais simplement qu'il y a un petit coup de mou dans les tomes 2 et 3. Par contre, le tome 0 est très intéressant, mais il faut vraiment le lire après les 4 tomes de la série principale, car il joue sur la nostalgie et si on commence la lecture par celui-là, on risque de ne pas être aussi surpris pour le reste de l'aventure.

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Une série de BD que je ne connaissais absolument pas et qu'un collègue m'a prêté. J'ai trouvé ça très bon, voire même excellent. Ca commence bien et ça termine très bien! Ce qui frappe en premier, c'est le contraste entre le dessin et le propos. Les personnages ressemblent à des espèces de légumes, mais ça n'est pas à mettre entre les mains des plus jeunes! Le fond de l'histoire est très documenté, bourré de références et touche là où ça fait mal. À l'aide de petits personnages mignons, l'auteur parvient à décrire tout ce qui ne va pas dans ce monde. C'est parfois dur, très dur, mais tellement juste. Je dirais simplement qu'il y a un petit coup de mou dans les tomes 2 et 3. Par contre, le tome 0 est très intéressant, mais il faut vraiment le lire après les 4 tomes de la série principale, car il joue sur la nostalgie et si on commence la lecture par celui-là, on risque de ne pas être aussi surpris pour le reste de l'aventure.

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Encore une fois, Jirō Taniguchi nous offre un manga de très bonne qualité. C'est très agréable à suivre, ça ne fait pas que raconter une histoire car ça amène également une critique sur une partie du Japon qui n'envoie clairement pas du rêve, et c'est mené de manière passionnante. Dommage que le récit ne soit pas entièrement présenté du point de vue du héros, car à partir du dernier tiers de ce manga, ça se détache de ce que Taniguchi avait construit jusque-là. Par ailleurs, la fin est un peu attendue, c'est dommage.

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Pas le meilleur album consacré aux aventures de Picsou par Don Rosa, mais très plaisant à lire. La toute première histoire est certes la plus mauvaise qu'il m'ait été donné de lire (d'ailleurs, Don Rosa pense à peu près pareil), mais la suite propose de chouettes petites aventures faisant suite à quelques classiques. J'ai particulièrement aimé l'histoire avec le Chevalier Noir.

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Un manga en 25 tomes racontant les aventures d'un ancien voyou devenu prof pour draguer de jeunes étudiantes. Sauf qu'il se rendra bien vite compte que l'enseignement est un domaine bien plus complexe qu'il n'y parait. Les héros de mangas pervers et décalés, j'adore. À l'instar de Nicky Larson, Onizuka nous balance des vannes à tout va et se retrouve dans des situations complètement loufoques. J'ai eu de nombreux fous rires à la lecture de ce manga, mais il y a pas mal d'inconvénients qui rendent le tout un peu inégal. Tout d'abord, les situations sont très répétitives. L'enseignement est un sujet qui peut mener à des centaines de scénarios, mais on a souvent l'impression de relire la même chose. Chutes de toits, nouveaux élèves venus de nulle part, etc... Les running gags, ça fonctionne (cf. les vannes avec la Cresta du sous-directeur), mais quand c'est censé lancer de nouvelles intrigues, ça le fait moyennement. D'ailleurs, il était temps que ça s'arrête car la fin du manga n'est pas très satisfaisante. Il est d'ailleurs étonnant de voir qu'on quitte les personnages du manga sans plus de nostalgie, comme si l'auteur voulait en finir vite fait bien fait (pour mieux y revenir par après).

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Écrit avant GTO mais après Young GTO, Bad Company nous présente la rencontre entre Onizuka et son meilleur ami. Via deux histoires courtes, on nous installe la relation entre les deux personnages au tempérament explosif. J'ai trouvé ça vachement bon, ça m'a carrément donné envie de lire Young GTO qui ne m'attirait pas vraiment! Les thématiques abordées sont classiques mais c'est fait de manière claire et concise. Idéal pour prolonger la lecture de GTO!

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Les intégrales de Carl Barks sont toujours chouettes à lire. Ce 5ème tome contient quelques bonnes histoires, et c'est toujours un plaisir de plonger à Donaldville! Il m'en reste encore 19 à lire, mais inutile de préciser que je vais bien prendre mon temps afin de faire durer le plaisir!

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Contrairement aux autres aventures de Batman, celle-ci ne concerne pas le Chevalier Noir, mais plutôt l'histoire vraie de Paul Dini, auteur et scénariste de comics et de séries animées, qui s'est fait agresser et qui a vu sa vie basculer à ce moment-là. Le premier intérêt de ce comics, c'est le fait de nous montrer les coulisses de création de la série animée Batman, ainsi que quelques petites anecdotes concernant d'autres œuvres. Une espèce de comics making-of, mais qui ne se contente pas de nous présenter des faits de manière mollassonne. Le deuxième point que j'ai vraiment apprécié, c'est le fait que Paul Dini n'embellit pas les choses. Il faut un sacré courage pour se montrer de la sorte. Il ne dresse pas un portrait élogieux de sa personne, il n'a aucune honte à se faire passer pour un type paumé et antipathique. Et ça, je salue, car bon nombre d'auteurs n'auraient pas hésité à se mettre en avant de manière plus classe. Je considère ce Dark Night comme une œuvre assez particulière, très intéressante et incontournable pour les fans de Batman qui souhaitent en savoir plus sur un des meilleurs auteurs du justicier masqué et avoir une espèce d'introspection sur l'œuvre et son artiste.

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Le Pingouin n'est pas l'ennemi de Batman que je préfère. À vrai dire, à part son traitement dans le film de Tim Burton, peu de choses ont déjà pu filtrer quant à ses origines. Ce comics se concentre donc sur un des criminels les plus dangereux de Gotham. La lecture est assez divertissante, mais je trouve cela dommage de toujours intégrer les mêmes clichés à la folie des personnages. Le déclic de cette folie découle toujours d'une enfance malheureuse et cruelle. On dirait que c'est un peu le cas avec tous les méchants de Gotham. Du coup, l'originalité n'est pas vraiment présente, même si le traitement est plutôt réussi. J'ai notamment aimé la façon qu'a le Pingouin de détruire psychologiquement ses cibles. Mais dans son ensemble, ce comics est très court et se lit bien trop vite. Et je ne suis pas fan du rendu des visages.

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Après Scott Pilgrim, Bryan Lee O'Malley nous présente une autre de ses œuvres, dans laquelle il joue avec le temps, les regrets et les conséquences de certains changements. C'est une thématique très intéressante car elle touche tout le monde: que ce serait-il passé si j'avais réagi autrement à une certaine situation? Une jeune femme découvre un champignon mystérieux qui lui confère le pouvoir de changer quelque chose de son passé. Le souci, c'est qu'une fois qu'elle commence, elle ne peut plus s'arrêter, tentant alors de modifier tous les petits détails qui la dérangent. J'ai trouvé ça meilleur que Scott Pilgrim, malgré une fin un peu lynchienne qui peut un peu rebuter. La morale de l'histoire, c'est que peu importe nos choix ou décisions, ça ne sert à rien de vouloir les corriger, il vaut mieux vivre l'instant présent et s'adapter à ces choix / décisions. Car une action en entraine une autre, et dans une réaction en chaine, on peut très bien tomber sur des choses auxquelles on ne s'attendait pas!

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Un très bon album du gaffeur le plus drôle du monde de la BD. D'ailleurs, c'était la seule qu'il me manquait, il m'aura fallu de longues années avant que je tombe dessus!

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(relecture)

Encore un très bon cru pour Gaston Lagaffe, dont les gags fourmillent d'idées! Mais je me suis rendu compte que j'avais déjà lu cet album quand j'étais plus petit. En fait, je me suis fait avoir à cause des différentes éditions. Ma collection comporte essentiellement des albums de la première collection, or, ce tome 17 provient de l'édition suivante, qui ne respecte pas la même numérotation, bien que conservant la même mise en page pour les couvertures. Du coup, je ne sais plus comment compléter ma collection, car tout se ressemble et je m'embrouille...

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Plus je lis d'histoire du Punisher, et plus je me dis que ce personnage est bien plus qu'un simple antihéros secondaire de l'écurie Marvel. Punisher - Année Un revient sur les jours qui ont suivi le massacre de la famille Castle. C'est très bien écrit, les auteurs ne perdent pas de temps avec des explications inutiles, du coup ça se lit de manière très fluide. Niveau dessins et surtout couleurs, elles servent l'histoire, notamment à travers les codes couleurs utilisés. Et le fait de ne pas tout suivre du point de vue de Frank Castle rend le récit bien plus complet. Une très bonne surprise!

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Une série de BD que je ne connaissais absolument pas et qu'un collègue m'a prêté. J'ai trouvé ça très bon, voire même excellent. Ca commence bien et ça termine très bien! Ce qui frappe en premier, c'est le contraste entre le dessin et le propos. Les personnages ressemblent à des espèces de légumes, mais ça n'est pas à mettre entre les mains des plus jeunes! Le fond de l'histoire est très documenté, bourré de références et touche là où ça fait mal. À l'aide de petits personnages mignons, l'auteur parvient à décrire tout ce qui ne va pas dans ce monde. C'est parfois dur, très dur, mais tellement juste. Je dirais simplement qu'il y a un petit coup de mou dans les tomes 2 et 3. Par contre, le tome 0 est très intéressant, mais il faut vraiment le lire après les 4 tomes de la série principale, car il joue sur la nostalgie et si on commence la lecture par celui-là, on risque de ne pas être aussi surpris pour le reste de l'aventure.

Annotation :

Une série de BD que je ne connaissais absolument pas et qu'un collègue m'a prêté. J'ai trouvé ça très bon, voire même excellent. Ca commence bien et ça termine très bien! Ce qui frappe en premier, c'est le contraste entre le dessin et le propos. Les personnages ressemblent à des espèces de légumes, mais ça n'est pas à mettre entre les mains des plus jeunes! Le fond de l'histoire est très documenté, bourré de références et touche là où ça fait mal. À l'aide de petits personnages mignons, l'auteur parvient à décrire tout ce qui ne va pas dans ce monde. C'est parfois dur, très dur, mais tellement juste. Je dirais simplement qu'il y a un petit coup de mou dans les tomes 2 et 3. Par contre, le tome 0 est très intéressant, mais il faut vraiment le lire après les 4 tomes de la série principale, car il joue sur la nostalgie et si on commence la lecture par celui-là, on risque de ne pas être aussi surpris pour le reste de l'aventure.

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Comme l'année dernière, Zep sort une compilation sous format album de ses petits dessins postés sur son blog. Actualité, humeurs, analyses, anecdotes, ... On y retrouve de tout, et Zep fait toujours preuve d'un humour hilarant. Il y a des planches qui m'ont bien fait marrer, dommage que ça se lise aussi vite. Car même si l'album a l'air assez volumineux, il faut savoir que le papier est plus épais que la normale et qu'au final, on dévore l'ouvrage assez rapidement.

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Un manga complètement muet, sans aucun dialogue. Il n'y a que du dessin, et l'auteur parvient à retranscrire pas mal d'émotions à travers ses planches. C'est ça qui m'a le plus bluffé là-dedans: en 7 tomes, on s'attache au personnage de Gon, c'est assez fluide et on comprend très bien où l'auteur veut en venir. Il se permet même quelques "folies", comme en témoigne le long chapitre avec le centre de la terre. Ce que j'apprécie également dans Gon, c'est le détail des dessins. Les animaux sont très bien reproduits, et la cruauté de la nature n'est pas mise à l'écart. Le genre de manga qu'on ne lit pas tous les jours!

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Sous un rayon de soleil: Tsukasa Hojo, le créateur de City Hunter, nous propose une petite série en 3 tomes assez touchante et bien menée.

Cf. ma critique

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Un manga intéressant puisqu'il aborde un sujet casse-gueule: la création d'un manga, des premières ébauches à la publication dans un magazine renommé. Bakuman est un manga qui apprend énormément de choses au lecteur, dans la conception des mangas notamment. Et il le fait de manière divertissante, en y ajoutant un peu de suspense et en balançant une tonne de personnages attachants à la tronche du lecteur. Par contre, bien que la lecture soit intéressante, elle est parfois assez lourde. En effet, on voit que l'auteur souhaite en raconter beaucoup, car le sujet est vaste. Du coup, on nous offre des tomes très longs à lire et contenant parfois un trop plein d'informations. Non pas que ce soit inintéressant, mais il aurait été plus judicieux d'équilibrer textes et dessins. Par ailleurs, je suis un peu déçu de la toute fin du manga. Cela se répète parfois un peu trop, et puis surtout, ça manque de 2-3 chapitres pour offrir une conclusion digne de ce nom!

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Une série en 3 tomes dont les différents chapitres peuvent se lire indépendamment des autres, malgré un personnage et un sujet qui reviennent à chaque fois. Il y a une grosse inspiration du côté de La Quatrième Dimension, mais en plus glauque. Moi qui ne suis pas friand des histoires horrifiques, je me suis laissé prendre au jeu, et bien que la structure des histoires soit toujours pareille, l'imagination de l'auteur est à saluer.

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Un manga en 4 tomes assez bien ficelé, dans lequel un jeune homme se prend une balle dans la tête lors d'un braquage alors qu'il tentait de sauver la vie d'une enfant. Afin de le réanimer, on lui fait une greffe de cerveau compatible. Mais ce nouveau cerveau changera le jeune homme à tout jamais. Il s'agit d'un thriller très intéressant qui aborde plusieurs sujets: la médecine, la perte d'identité, l'amour, ... C'est assez bien structuré, et l'aspect psychologique s'avère être le plus intéressant. Notons également l'ajout de plusieurs histoires courtes du même auteur en fin de dernier tome. J'adore lire ces mini-récits, et les deux premiers s'avèrent être très intéressants dans ce qu'ils proposent. La première histoire contient même une allégorie qui serait passionnante à analyser.

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Un manga qui part d'un sujet très intéressant pour laisser le spectateur se faire une propre idée sur la chose. La peine de mort, c'est un sujet qui fait beaucoup parler. Certains sont pour, d'autres sont contre. L'auteur de ce manga nous présente donc un condamné à mort qui est utilisé comme "cobaye" dans une expérience visant à le réhabiliter dans la vie active. Le manga pose des questions intéressantes, mais s'écarte parfois du sujet pour offrir des éléments trop classiques. C'est dommage, car la qualité des chapitres est assez inégale, et le côté naïf est parfois de trop.

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Une aventure sympathique qui nous présente d'autres aspects de l'univers Star Wars, comme par exemple les courses (qui sont rarement mises en avant, à part concernant celle de la Boonta). Han Solo étant mon personnage préféré de la saga, ça a surement aidé à mon appréciation. Par ailleurs, de nouveaux personnages font leur apparition, et ils sont plutôt intéressants. Dommage qu'il y ait des passages pas assez exploités et des facilités scénaristiques grosses comme une maison!

Annotation :

Une très bonne surprise, ça m'a donné envie de lire la suite!