Top courts-métrages

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Film magnifique qui s'inscrit dans la lignée de La jetée de Chris Marker.

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Un grand classique du court-métrage. Un faux plan-séquence d'environ quinze minutes qui nous plonge dans la réalité d'Odile, une jeune femme occidentale de son époque. Le regard de sociologue de Jean Rouch fait la force du film.

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Un court-métrage brut avec un comédien incroyable de bonhommie, Daniel Vannet, qui porte le film de bout en bout non sans nous émouvoir.

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Jamais l'onanisme n'aura été si romantique : avec deux décors, Shanti Masud nous fait rêver. Mention spéciale à la musique d'Olivier Marguerit qui donne au sublime 16 mm tout son onirisme.

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Un film de personnages, qui frappe fort. On est porté pendant presque 40 minutes par Jonathan Couzinié, qui incarne un jeune bègue se rendant en Espagne pour une rencontre IRL. Le voyage importe davantage que la destination.

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On serait jaloux devant autant de talent : William Laboury signe encore un bijou, où il est question d'adolescence, de pavillon et d'impression 3D.

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Film autobiographique dans lequel un jeune lycéen séduit un surveillant de son lycée. Émouvante première fois toute en maladresse, belles prestations de comédiens, émotion des images entremêlées de la fin qui donnent au film toute sa grâce.

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L'absurde à son comble, porté par le jeu de Michael Lonsdale.

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Un classique ! Banc-titre très émouvant qui mêle habilement science-fiction et romance qui n'a eu de cesse d'inspirer les plus plus grands depuis.