Top des courts Pixar

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Presto est sans doute ce que Pixar a fait de plus drôle. Tous les gags ne sont que des variations d'une même idée, mais le timing et la créativité sur les variations rendent le tout sincèrement excellent, la relation entre le magicien et le lapin est brillante, l'animation au poil... Un régal !

PS : mon court Pixar préféré est également celui qui fut diffusé avant mon long Pixar préféré. Coïncidence ? ÇA M'ETONNERAIT !!

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Je l'ai vu des tas de fois sur la VHS de Monstres et cie et je l'adore toujours autant. Une fable assez simple mais remplie de gags visuels assez savoureux. Tout est parfait : le timing, le design des oiseaux, les bruitages qui tiennent lieu de dialogues...

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Autant Andre & Wally B. est plus une ébauche qu'autre chose, autant on retrouve déjà ici tout ce qui fera le sel de Pixar, jusqu'à la musique qui annonce inévitablement Toy Story.

Une histoire super simple, de la joie, de la tristesse, de la sincérité, la capacité d'émouvoir à partir d'objets sans traits humains... Sans compter que c'est visuellement assez bluffant pour l'époque, comme quoi c'était surtout du côté des personnages humains que Pixar avait encore énormément de travail à fournir.

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L'idée de départ est saugrenue comme on l'aime, les gags très Looney Toonsiens marchent à la perfection, et visuellement c'est splendide.

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L'un des courts les plus déprimants de Pixar : une ambiance film noir, une séquence de rêve lynchienne (avec un clown traumatisant) et assez peu d'espoir finalement. Mais c'est touchant, et c'est un énième manifeste de la capacité de Pixar à créer de l'émotion à partir d'objets sans le moindre trait humain.

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Ce complément à Ratatouille est une vraie réussite : un court-métrage expliquant tout ce qu'il y a à savoir sur les rats, à la fois ludique, visuellement intéressant et instructif.

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Bon j'ai un faible pour ce court finalement assez anecdotique quand on y pense. Mais rien à faire, la chanson + le lapin-antilope, ça marche à tous les coups.

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On retrouve enfin Pixar avec de belles idées originales et leur manie de donner vie à des objets inanimés, pour un court inventif et avec une superbe fin

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Je pense que ce qui marquera tout le monde c'est la PUTAIN DE CLAQUE TECHNIQUE DANS TA FACE que représente ce court, Pixar repousse encore ses limites et se rapproche toujours plus du photoréalisme, sans créer un décalage bizarre entre décors et personnages comme c'était le cas pour The Good Dinosaur. Sinon, c'est une sympathique fable sur le fait de surmonter ses peurs, peu profonde mais inoffensive et mignonne comme tout.

Mais c'est drôle comme leurs courts deviennent vraiment des vitrines techniques, plus que les longs limite (même si Dory reste plus qu'honorable à ce niveau).

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Si vous n'avez pas eu assez d'Inside Out, en voici quatre minutes supplémentaires ! Bon c'est assez anecdotique et différent de ce qu'on peut s'imaginer en lisant le titre puisqu'on prend avant tout le point de vue des parents et de leurs émotions à eux. Mais c'est sympa comme tout, drôle et c'est un vrai plaisir de retrouver ces personnages et cette ambiance.

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Très joli court, plein de couleur et à l'action super dynamique, avec un chouette message de réconciliation générationnelle (même si ça me fait chier que ça passe par des superhéros).

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Un complément sympa à Toy Story, même s'il sous-exploite un peu tous ses éléments - la scène des "jouets abandonnés anonymes" était très fun en revanche. Mais bon c'est difficile de passer un mauvais moment en compagnie de ces personnages.

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Complément plutôt sympa à Là-Haut. J'aimais assez bien les chiens dans le film, même s'ils contribuaient à la baisse d'intérêt de sa seconde moitié. Du coup on a un petit court qui les exploite gentiment, rien de plus, rien de moins.

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Ça commençait très bien avec cette rythmique pluvieuse, la ville qui prend vie... Malheureusement, on bascule rapidement dans un récit des plus paresseux avec cette histoire d'amour entre un parapluie bleu et un rouge. On a déjà vu ça mille fois et ça ne dit rien d'autre que ce qui est montré à l'écran. Joli mais oubliable.

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Une autre oeuvre fondatrice puisqu'elle contient les germes de ce que sera Toy Story. On apprécie la créativité visionnaire mais ce n'est pas foufou narrativement non plus, et puis surtout ce PUTAIN DE BEBE DES ENFERS.

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Bon ça ne paie pas de mine mais ce court vaut quand même pour son importance historique : c'est tout de même fondateur de ce que sera Pixar. En dehors de ça, c'est une histoire cartoonesque très courte et un peu bizarrement construite. Mais j'ai du mal à être sévère avec.

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Bonnnn le film est une belle vitrine technique pour Pixar (plus que le film qui le suit en fait), et permet d'avoir un bon aperçu de ce que le studio pourra faire avec leur technique actuelle sur un film comme Finding Dory. Mais en dehors de ça, qu'est-ce que c'est niais, une histoire d'amour fadasse servie par une musique insupportable. Brrrr...