Vision panoramique d'une collection cinéphilique - 2016

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02/01/2016

Que dire de cette production Disney mêlant prises de vues réelles et animation sinon que l'ensemble est sirupeux et qu'il est bien à l'image du marasme des supers productions du cinéma d'animation. Il satisfera les enfants de sexe féminin les plus crédules et les adultes les plus stupides. Mon premier visionnage de cette année 2016 ressemble à un après-midi de lendemain de cuite entre pucelles devant de mauvais téléfilms diffusés sur NT1 ou NRJ12.

2,5/10

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03/01/2016

Le plus impressionnant ici n'est pas la réalisation de Bennett Miller qui reste plate et sans prise de risques, mais bien l'interprétation de Philip Seymour Hoffman, impressionnant de justesse. Interprétation qui engendrera de multiples récompenses dont le Golden Globe et l'Oscar du meilleur acteur en 2006.

6,5/10

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04/01/2016

Vu au cinéma.

Les amateurs de rap/hip-hop français les connaissent pour leur style nonchalant, misogyne et léthargique, les voilà sur grand écran pour le plaisir des uns et pour le plus grand malheur des autres. Le film divise encore plus que leur musique, les fans adhèreront, et leurs détracteurs les haïront encore plus. Pour ma part, j'y ai trouvé un film agréable, juste et drôle même si ça n'est pas du Scorsese et ça n'a pas la prétention d'en être !

6,5/10

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05/01/2016

Henri-Georges Clouzot fait partie des cinéastes qui ont marqué le cinéma d'autrefois par leur talent et dont nos grands-parents nous chantent les louanges. Et ils ont bien raison, La Vérité confirme ce que je pensais du réalisateur, toujours juste. Je l'avais découvert avec L'assassin habite au 21 et Les Diaboliques, véritables chefs d'œuvre du genre policier et du thriller. Ici, le film qui se déroule sur la totalité d'un jugement au tribunal, est découpé en flash back révélateurs. Pour ma part, Brigitte Bardot qui interprète Dominique Marceau suspectée de meurtre, tient ici son meilleur rôle au cinéma.

8/10

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05/01/2016

Je n'ai rien à dire sur ce film donc voici la recette d'une tarte tropézienne:

Pour la pâte :

- Tamiser la farine et le sel. Verser au centre la levure délayée dans le lait tiède, incorporer assez de farine pour avoir un pâton souple.
- L'inciser, le poudrer de farine et le couvrir d'un linge, puis laisser lever 30 min dans un endroit tiède.
- Ensuite, incorporer l'oeuf, le sucre et le reste de farine, et enfin le beurre. Battre vigoureusement pendant 10 min jusqu'à ce que la pâte se détache des parois. Laisser lever 30 min.
- Crever la pâte (retirer l'air en enfonçant son poing dans la pâte) puis attendre de nouveau 30 min.

Pour la crème :

- Porter le lait à ébullition avec la vanille fendue en deux et laisser infuser 20 min.
- Battre les jaunes d'oeufs avec le sucre jusqu'à blanchiment, incorporer la farine, la maïzena et peu à peu le lait réchauffé.
- Transvaser dans une casserole et faire bouillir 1 min en remuant. Laisser ensuite épaissir doucement sur feu moyen en remuant constamment. La crème doit bien napper la cuillère. Lorsqu'elle a pris une bonne consistance, la verser dans une jatte puis la poudrer de sucre glace. La laisser refroidir d'abord à température ambiante puis au réfrigérateur.

Suite de la préparation de la pâte :

- Beurrer et fariner une plaque de cuisson. Pétrir la pâte levée quelques instants, l'étaler en un disque épais de 2cm, la poser sur la plaque, et la laisse à nouveau lever 30 min. Préchauffer le four à 180°C (thermostat 6).
- Faire fondre et refroidir les ingrédients du glaçage, puis badigeonner la pâte avec. Cuire au four 25 min.
Pendant ce temps, incorporer dans la crème pâtissière les blancs d'oeufs en neige et l'eau de fleur d'oranger.
- Lorsque le biscuit est cuit, le sortir du four et attendre qu'il soit refroidi avant de le couper en 2 dans l'épaisseur avec un grand couteau-scie. Couvrir le disque inférieur de crème, de façon assez épaisse puis poser dessus le deuxième disque.
- Décorer avec les gros grains de sucre.

6/10

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06/01/2016

Pour accompagner la tarte tropézienne, Muscat ou Gewurzt
Attention: vendanges tardives

6,5/10

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07/01/2016

Pas adepte des films romantiques en général, l'atmosphère esthétique et le réalisme poétique de cette émouvante histoire d'amour m'a bouleversé et touché. Brève rencontre est l'histoire d'un de ces accidents du destin qui arrivent à des gens du peuple renfermés dans leur conformisme. Dans une ambiance lyrique, David Lean nous conte l'histoire d'un adultère qui se déroule à l'abri des regards, une aventure qui s'en va aussi vite qu'elle est venue, le temps de savourer, le temps d'un instant, le temps d'attendre sa correspondance dans une gare.

8/10

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09/01/2016

Vu au cinéma.

La véritable claque de ce début d'année, après une année 2015 bien terne. Tarantino excelle dans ce qu'il fait de mieux, avec toujours ses thèmes fétiches: la vengeance et la violence. On retrouve aussi toutes les qualités du réalisateur américain, des dialogues surprenants, une photographie soignée, un bain de sang en guise de conclusion et une magnifique bande originale signée Ennio Morricone, rien que ça. Pour ma part c'est simple, seuls Pulp Fiction et Reservoir Dogs sont au dessus de The Hateful Eight. CHEF D'OEUVRE !

9/10

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10/01/2016

C'est avec joie et précipitation que je me suis jeté sur cette comédie parodique dont tout le monde me vante les prouesses humoristiques. En voyant le nom d'Edgar Wright, je m'étais dit "super' en sachant qu'auparavant il avait réalisé Shaun of the dead, véritable œuvre majeure de la comédie parodique britannique. Mais que de déceptions... Toutes les qualités présentes dans son précédent film ne sont que trop peu apparentes ici... Même si la prestation de Nick Frost est hilarante et celle de Simon Pegg est appréciable, comme à l'accoutumée.

6/10

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11/01/2016

Je suis un de ceux qui apprécient Eric et Ramzy et pourtant je ne les ai jamais autant détesté que dans ce film. Les péripéties sont plus improbables les unes que les autres, les plans ne durent pas plus de 3 secondes et la réalisation est dégoulinante de suffisance et d'autosatisfaction. C'est à se demander ce que Jean Dujardin est venu faire ici (bon ok il a joué dans Brice de Nice...).

2/10

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12/01/2016

L'idée de base était plutôt correcte mais à force de vouloir se donner le rôle de cinéaste alors que l'on est qu'un piètre romancier, on se noie. Yann Moix n'y croyait pas et aurait reconnu que le film est extrêmement mauvais, il aura au moins eu le mérite d'être lucide. C'est une insulte aux cinéphiles qui est faite ici, avec la profanation de plusieurs films cultes.

2,5/10

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13/01/2016

Véritable surprise de l'animation française, Ernest et Célestine est un long-métrage rythmé sur la tolérance et l'amitié. La quantité importante d'émotions retransmise en seulement 80 petites minutes est ici la preuve d'un travail abouti. Le trio de réalisateur franco-belgo-luxembourgeois réalise ici un film touchant qui séduit et séduira les enfants mais pas que...

8/10

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14/01/2016

Jamais le talent de Louis de Funès n'aura eu plus de sens que dans Oscar, pour ma part. Car oui l'humour de Funès partage la critique. Les adeptes du monsieur se réjouissent de ce vaudeville virevoltant et les opposants détestent et s'agacent un peu plus avec ce long-métrage d'Edouard Molinaro. Bien que quelques fois agacé par l'extravagance de l'acteur, son rôle dans ce huis-clos riche en rebondissements m'a fortement convaincu.

7/10

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16/01/2016

Pas le meilleur des Clouzot, bien en deçà de Les Diaboliques, L'assassin habite au 21 et La vérité, pour ma part. Néanmoins, le cinéaste reste fidèle à son style et ses thèmes de prédilections et l’atmosphère qui règne dans Le Corbeau, pleine de soupçons, de rumeurs et de cachotteries, reste anxiogène et prenante. A noter ici la scène expressionniste fascinante où le balancement d'une ampoule illustre la notion relative et alternative du bien et du mal: du pur génie.

7,5/10

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16/01/2016

Nouveau visionnage de cette merveille par une nuit froide et alcoolisée. L'émotion fût plus intense que les fois précédentes. L'ascension et la chute des gangsters selon Scorsese, un vrai régal pour les grands, les petits, les cinéphiles et les autres.

9,5/10

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17/01/2016

Vu au cinéma.

Mamoru Hosoda s'est révélé au grand public français en 2012 avec son troisième film: Les enfants loups, Ame & Yuki. Il est de retour en 2016 avec une oeuvre énergique et une esthétique éclectique. Les thèmes favoris du nouveau possible maître de l'animation japonaise sont retrouvés ici, la famille, l'éducation, l’absence et l'enfance, avec l'omniprésence de l’animal et même sa domination sur l'homme. L'univers n'est pas aussi envoûtant que celui d'un Miyazaki mais Hosada est sur la bonne voie pour devenir le plus grand prétendant au titre de nouveau seigneur de l'animation nippone.

Ma critique ici: http://www.senscritique.com/film/Le_Garcon_et_la_Bete/critique/80742819

7/10

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18/01/2016

Pas le meilleur Hitchcock mais même un Hitchcock mineur reste un divertissement subtile ! Pas le meilleur par sa mise en scène donc, mais un des plus beaux par son esthétique. Cary Grant et Grace Kelly sur la côte d'Azur, c'est torride. En plus de ses atouts physiques, Cary Grant apporte l'humour nécessaire à cette course poursuite policière en plein soleil.

7/10

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19/01/2016

C'est toujours un plaisir de revoir ce qui reste l'un des tous premiers films d'animation en images de synthèse après les deux premiers volets de la saga Toy Story, Fourmiz et 1001 pattes. L'idée du mélange entre toutes les créatures magiques des contes de fées était intéressante et innovante surtout quand parmi eux se trouve un âne qui parle avec la voix d'Eddie Murphy, la classe. De là réside l'humour omniprésent dans Shrek ET qui fait la force du film. Sans cet humour, le long-métrage Dreamworks aurait été, somme toute, très banal et conventionnel.

6,5/10

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20/01/2016

Je me demande si Fabien Onteniente n'est pas le plus mauvais réalisateur français. Et en plus, de tels étrons ont l'air de lui suffire puisqu'il persiste dans sa médiocrité. Rien à ajouter de plus, si ce n'est que le résultat de ce mélange social entre une jet-set élitiste plus fausse que jamais et la petite populace banlieusarde est dégueulasse. Aucune crédibilité et certains acteurs sont tellement mauvais, notamment José Garcia et Ariadna Gil, que c'en est gerbant...

2,5/10

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20/01/2016

Sixième épisode d'une longue saga sur Rocky Balboa qui était censé être le dernier avant l'annonce de la sortie d'un spin-off centré sur le fils d'Apollo Creed (ancien adversaire de Rocky). On découvre ici un Sylvester Stallone rabougri par le temps mais beaucoup plus touchant que lors des épisodes précédents. Il nous déclare également sa flamme pour la ville de Philadelphie qui selon Stallone "a toujours vécue dans l'ombre de New-York". NYC, pourtant ville d'origine de l'acteur.

5,5/10

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21/01/2016

Deuxième volet de la saga Shrek qui tourne plus que jamais en dérision les contes de fées traditionnels et autres histoires de Prince charmant. Episode plutôt satisfaisant avec des personnages plus approfondis, et de nouveaux qui apportent leur pierre à l'édifice à l'image du chat potté avec la voix d'Antonio Banderas, ¡Si Señor! Attention toutefois aux répétitions scénaristiques et à l'humour tout aussi répétitif qui devient prévisible.

5,5/10

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23/01/2016

L'humour qui devenait lassant et prévisible dans l'épisode précédent l'est entièrement dans ce troisième volet, et est surtout beaucoup moins présent. Ce qui l'emporte dans ce film ce sont les séquences émotion larmoyantes assez gênantes pour le public. On a fait le tour des personnages, le scénario est anecdotique et sert juste de prétexte pour les producteurs afin de sortir cette mauvaise suite. Bref, seule conclusion: Dreamworks aurait dû s'arrêter au deuxième épisode...

4,5/10

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24/01/2016

Pas satisfait à 100% de ce Fantômes contre fantômes quand on voit la suite de la carrière de Peter Jackson. Il réalise ici une petite comédie mi horrifique mi fantastique pour les enfants. Ce mélange entre Casper et S.O.S fantômes est drôle à certains moments mais vraiment inoffensif quand il se prend un peu plus au sérieux lors de quelques scènes.

6/10

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24/01/2016

Vu au cinéma.

Pour ma part, ce spin-off de la saga Rocky s'avère être le plus réussi des 7 épisodes. Alors que dans Rocky Balboa on apercevait un Stallone abîmé par le temps, ici les séquences émotion sont de plus en plus nombreuses et concernent ce personnage qui nous touche avec son grand cœur. Sans spoiler, Ryan Coogler film à merveille deux combats bien différents que nos deux personnages principaux vont devoir préparer et surmonter ensemble, avec notamment un plan séquence magnifique lors du premier combat du petit Creed. En ajoutant, quelques belles scènes ralenties mais aussi quelques séquences niaises, Coogler signe un deuxième long-métrage de grande classe, il faut le souligner.

6,5/10

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25/01/2016

Pareil que pour le troisième, un humour qui se raréfie et qui devient moins pertinent encore. En revanche, un effort est a noter au niveau scénario ainsi qu'au niveau de la création d'un nouveau personnage, une sorte de tyran aux allures du commercial véreux que nous avons tous déjà rencontré. A part cela, on a toujours le droit au sensationnalisme habituel avec le happy-end traditionnel, berk.

5/10

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26/01/2016

Woody Allen surprend tant par le nombre de long-métrage qu'il réalise (environ un par an) que par la qualité qu'il y met dedans. Le cynisme et le pessimisme qu'on connaissait du New-Yorkais sont retransmis dans ce film à travers le personnage de Stanley interprété à merveille par Colin Firth. Notons aussi le talent de la nouvelle actrice fétiche du réalisateur, Emma Stone que l'on retrouvera un an plus tard dans L'homme irrationnel. L'aspect innovant de Magic in the Moonlight se trouve dans le traitement philosophique du rationnel et du spirituel. Un argumentaire fait par Woody lui-même, à la base très terre à terre à l'image du personnage joué par Colin Firth, mais qui s'adonne à des réflexions existentielles telles que: "Le poisson rouge ignore qui change l'eau de son bocal".

7/10

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27/01/2016

LA grosse déception de ce début d'année en sachant qu'en général les films français récents sont sous-notés sur SC, je pensais réellement sortir un 7 voire un 8 sur 10 mais il n'en est rien. La seule conclusion qui me vient à l'esprit est que les américains demeurent décidément plus doués pour filmer la France et les français que nous même. En 1971, William Friedkin nous contait déjà bien mieux le milieu de cette association de malfaiteurs dans French Connection, et c'était il y a plus de 40 ans, merde...

5,5/10

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28/01/2016

Cronenberg nous plonge dans un univers superficiel, de mensonge et de méchanceté, celui des stars hollywoodiennes. Le film est réussi pour ma part, mais l'esthétique laisse à désirer et divise clairement la critique. Ce Cronenberg version 2014 aura au moins eu la bonté de ne pas nous prendre pour des imbéciles heureux et de nous pousser à la réflexion. Mention spéciale à Julianne Moore qui excelle.

6/10

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29/01/2016

Vu au cinéma.

Mauvais film, un pseudo film d'épouvante-horreur qui n'est en fait qu'un petit thriller psychologique de bas étage pour adolescents pré-pubères en quête de piètres sensations. La recette est la même que pour ses prédécesseurs du même genre: une belle fille et un beau garçon + des jump-scare puants en abondance et un scénario dont le contenu pourrait tenir sur un post-it. #Yenamarredenouprendrepourdescons

3,5/10

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31/01/2016

Troisième visionnage de ce chef d'oeuvre incontesté du cinéma, et toujours le même plaisir et la même satisfaction obtenue au final.

10/10