Vrais films pour stoner

Annotation :

Rien de tel qu'un ciel nuageux ou percé de bleu pour se reposer. Enfant il était habituel de le fixer pendant des heures. Un voyage sensoriel donc qui vous renverra vers une époque plus juvénile. Avec un peu de chance les taches blanches, principales actrices de ce film, vous évoquerons des visages et des formes, comme une façon d’alimenter la texture de ce film.

Annotation :

Des images étranges, des visages qui fondent sur d'autres et une histoire de drogue. Oubliez les buddies movies où les stupéfiants sont signe d'amusement et préparez vous à vous sentir salit ! Tous les corps se mêlent au décors, les mots sortent de bouches animées constituant des dialogues insensés et tous cela semble se presser dans une frénésie générale aussi terrifiante que fascinante.

Annotation :

Les questionnements sur le rêve mais surtout mais aussi sur le concept des yeux fermés. En somme que voyons nous quand nous fermons les yeux et d'où sont puiser les images qui s'y créée. Comme un écrivain surréaliste, notre cerveau cherche dans une imagerie qui est notre, de quoi composer de façon automatique un monde complet. Terry Gilliam retranscrit, pour la première fois au cinéma, son imagerie et son monde !

Annotation :

Surréalisme volontaire ou dadaïsme naturel ? L'action s'est détacher du western et pour la première fois, celui ci devient mélancolique. Voilà en somme le Western pour les stoners, aussi lent et douteux qu'eux. Dans un long désert cérébrale s'invente une histoire psychédélique, parfaite pour un e odyssée visuelle.

Annotation :

Dans un monde de bruit et d'images, René Laloux nous envoie sur une planète encore pire : une terre de cries et de reflets. Plus rien n'y est logique. Toute l'imagerie est volontairement poussée à son paroxysme pour finalement atteindre un paradoxe : est si le bruit devenait calme ? Et si les reflets devenaient visibles ?