Woody Allen : l'intégrale (1965-2023)

Annotation :

Scénario de Woody Allen.
Si on aime ce film, voir alors aussi CASINO ROYALE (1967) qui fait presque figure de n°2.

Annotation :

Un exercice de style sympathique, mais un peu longuet au final.
Avec en prime Akiko Wakabayashi et Mie Hama revues ensuite dans ON NE VIT QUE 2 FOIS.

Annotation :

Premier des faux documentaires de Woody Allen.
L'idée est sympathique et il y a de bonnes trouvailles, mais le résultat est médiocre.

Annotation :

Pas vu.
D'après la pièce de Woody Allen de 1966.
Il en a tourné un remake sans intérêt pour la tv en 1994 (voir plus loin).

Annotation :

De bonnes idées à droite et à gauche dans un ensemble pas très homogène.
Et Sylvester Stallone en figurant.

Annotation :

Le parcours d'un proche fictif de Nixon interprété par Woody dans un faux documentaire comme il les affectionne.
Daté.
À noter la première apparition de Diane Keaton (qui louche) dans un film de son Jules.

Annotation :

Aurait pu faire un bon court-métrage (le dernier sketch)
Le reste est vulgaire, lourdingue ou ringard.

Annotation :

Scénario de Woody Allen d'après sa propre pièce de 1969.
Pas mal.

Annotation :

De bons moments certes, mais pas assez.

Annotation :

GUERRE ET PAIX revu et corrigé par Woody Allen.
Le meilleur film de sa première partie de carrière.

Annotation :

LE FILM BONUS :
Le personnage campé par Allen dans LE PRETE-NOM n'est pas forcément aussi éloigné de ceux qu'il crée lui-même et qu'il interprète parfois. Sa performance plus sobre qu'à l'accoutumée est cependant intéressante et le film de Martin Ritt (lui-même blacklisté en 1951) est valable, sans toutefois être exceptionnel.

Annotation :

Le tas de trouvailles de mise en scène font passer la pilule du bla-bla psychanalytique. C'est le premier film de ce genre dans sa carrière alors ce n'est pas encore gonflant, mais Woody devient un modèle pour beaucoup. Surtout en France.

Annotation :

Les considérations existentialistes et nombrilistes de pseudo artistes new-yorkais qui se regardent le nombril et s'écoutent penser qu'ils ont mal à la vie, alors qu'ils n'ont aucun problème réel.
L'archétype de la période "film calibré pour la snobinarde critique française" de Woody Allen.
En revanche, question technique, c'est parfait.

Annotation :

MANHATTAN est un genre de ANNIE HALL sans les trouvailles de mise en scène qui rendaient tout le verbiage des personnages écoutable.
Cette fois, le bla-bla existentialiste est enrobé de noir et blanc classieux.

Film correct sans plus. Un brin snob (donc très apprécié en France).
Woody Allen n'a jamais aimé ce film.

Annotation :

Il y a certes encore et toujours ces pénibles questions existentialistes qu'on retrouve dans MANHATTAN et surtout INTERIEURS, mais cette fois-ci le subtil mélange du rêve (ou de l'illusion) et de la réalité rendent le film bon.
Un des préférés de Woody Allen.

Annotation :

Un très bon marivaudage.
Et Mia Farrow remplace Diane Keaton pour les 10 années qui suivent.
Malheureusement méconnu.

Annotation :

Vrai-faux documentaire agréable, mais un peu long.

Annotation :

Aurait été meilleur sans la dernière séquence.

Annotation :

Impeccable

Annotation :

A priori, c'est le genre de film qui devrait m'ennuyer (j'ai beaucoup de mal à compatir au "malheur" d'artistes new yorkais vivant dans de grands appartements cossus à Manhattan), mais l'alchimie prend bien.

Annotation :

Le film de Woody Allen avec ses quatre actrices fétiches : Mia Farrow, Diane Keaton, Dianne Wiest et Julie Kavner.
Il ne manque que Judy Davis.

Annotation :

Machin aime Bidule qui aime Trucmuche qui en pince pour Chose qui se pose des questions. C'est tellement caricatural que ça pourrait être du Rohmer. Cela dit, question réalisation, c'est meilleur que n'importe quoi fait par Eric (sauf peut-être LA MARQUISE D'O.).

Annotation :

Un des moins connus, mais il mérite amplement le détour.
Comme quoi, les personnages n'ont pas besoin de faire des tonnes de discours nombrilistes pour qu'on ressente leur profondeur.
Il faudra attendre 25 ans pour retrouver un personnage de femme tragique aussi émouvant : Rowlands - Blanchett : même combat. Et Gene Hackman inattendu.

Annotation :

APPRENTISSAGES (Martin Scorsese) 0/10
LA VIE SANS ZOE (Francis F Coppola) -2/10
LE COMPLOT D’ŒDIPE (Woody Allen) 6/10

Martin et Francis cachetonnent, Woody s'amuse.

Annotation :

Tous les aspects et tendances de Woody Allen en un seul film.
LE meilleur ?

Annotation :

Une réussite incontestable.

Annotation :

Adapté d'une pièce de Woody Allen datant de 1975
Joli mais ennuyeux.

Annotation :

L'archétype du "Woody Allen" que je déteste.
Les personnages campés par S. Pollack et J. Davis sont antipathiques au possible et on se fiche de leur problème de couple. Parallèlement, on a la sensation d'avoir déjà vu au moins mille fois le couple formé par W. Allen et M. Farrow qui ressasse toujours les mêmes choses.
Et puis Juliet Lewis au casting est presque toujours un handicap.
Pas bon.

Annotation :

Le retour de Diane Keaton ne se fait pas dans la discrétion et c'est tant mieux.
Une excellente comédie policière.
Avec en bonus un joli hommage à Orson Welles.

Annotation :

L'idée de base est excellente, Le dosage des différents ingrédients, parfait. Dianne Wiest est géniale ("Don't speak ! Don't speak !") et tout le monde s'amuse.
Un des meilleurs.