Zieutés en 2019

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Pour commencer l'année en beauté, un film qui à sa sortie avait été surnommé "Supernavet" par tout un pan de la presse spécialisée... A juste titre.

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On monte en puissance dans cette franchise. Peut-être que le prochain atteindra le minimum syndical.

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C'est enlevé et très efficace, toujours un modèle de film d'aventures 80 ans après, même si l'allégeance aveugle à Richard coeur de lion m'a un peu bassiné.

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Scénario bien huilé et acteur au poil (Mikkelsen en français dans le texte s'il vous plait), mais manque de tenue niveau rythme.

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Exit toute prétention artistique, même minime. Ici il est juste question de réaliser le film le plus mauvais possible, et il faut reconnaître que l'objectif est atteint, les doigts dans le cul.

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Je ne peux pas cautionner la "privatisation d'une oeuvre" qui serait disponible pour un nombre limité de personnes ayant souscrit à un abonnement... D'autant que le film en question est un épisode de Black Mirror, saga qui n'a eu de cesse jusqu'à présent de dénoncer les dérives technologiques et les méfaits des grosses firmes surpuissantes.
En outre, les personnes ayant vécues "l'expérience" dans les conditions voulues ont mis en avant le fait que les dés étaient pipés, le personnage revenant en arrière en cas de mauvais choix... Bref, nul à tous les niveaux.

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Un scénario qui tient sur une feuille de papier à musique mais l'énergie de Jacques Noir et la musique (Led Zep, Black Sebbath, ACDC) permettent de passer un bon moment.

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Scénario squelettique : "un type rassemble une équipe de bras cassés pour gagner un tournoi d'un sport qu'ils n'ont jamais pratiqué", auréolé de blagues douteuses.

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Il fut un temps ou Pixar était inventif, voire subversif, et où faire un film de super-héros était frais. Là c'est premier degré et réchauffé sur le plan du divertissement. Quant aux valeurs véhiculées... elles sont puantes. Encore un film dans lequel le méchant a raison.

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Moches et mal animés, ces Muppets garants du mauvais goût et de la contre-culture, ont su gagner ma sympathie.

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Tout sauf un grand film mais le plaisir de retrouver Olive et le colonel Moutarde.

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Gêné au début par la version originale en américain, même pour les afghans, et par le manichéisme découlant forcément un peu du sujet. Dans sa 2ème partie heureusement le film gagne en nuances et en poésie.

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Revu. Je garde la même note.
Allez, + 1 après avoir vu "Wyatt Earp" sur le même sujet, et qui est pire, notamment quant au jeu des acteurs.

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--> les eaux usées.

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Dans la lignée du premier, divertissant, avec quelques fulgurances de mise en scène et des touches grossières (la musique, le subterfuge du jumeau pour justifier la présence post mortem de CY Fat)...

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Kusturica peut être bon sans sa folie douce, dans un carcan plus sérieux que l'on pourrait qualifier de néo-réalisme serbe.

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Une préquelle située au Vietnam, avec le décédé du premier opus? Aucun intérêt pour le spectateur. Pour les marchands de DVD peut-être.

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Un film qui m'a fait rehausser la note de Tombstone de 1 point, c'est dire.

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Ambitieux, bancal, inégal, confus, intéressant, iconoclaste, bordélique, raté.

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Peut-être un peu vieilli, à l'instar des photos argentiques, mais Robin Williams en voyeur solitaire malheureux et inquiétant trouve là un de ces meilleurs rôles.

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Cela peut être intéressant de voir la construction de la pensée d'un artiste, une sorte d'envers du décor de ses œuvres... Mais en l'occurrence, c'est plutôt vain et creux.

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Ce n'est pas un flux movie. Même Charlize Theron en mode gymnaste et miss Univers ne parvient à le sauver du nanar.

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Un film culte n'est pas nécessairement gage de qualité, la preuve avec cet épisode de Dawson légèrement boosté.

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Je ne sais pas comment noter ce film. Sur les plans de la profondeur psychologique, de l'écriture, de la mise en scène, il vaut un bon 7. Mais j'ai tellement de mal avec les discours positifs sur le christianisme, que j'ai tout aussi bien envie de lui infliger une note lapidaire.
Finalité : un 5 de normand.

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Belle utilisation de l'espace pour le désormais devenu classique "je suis seul au monde dans un univers post-apocalyptique". Un genre à part entière tellement plus original que j'ai même écrit une nouvelle dessus.

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Film crescendo jusqu'à un final marquant. Et j'ai bien aimé la posture du réal de tourner en dérision le christianisme, au même titre que les cultes païens, finalement pas plus farfelus. (La résurrection n'est pas plus crédible que la réincarnation par exemple).

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Y'en a marre de ces bouses pour pré-ados qui prônent l'inverse de ceux qu'ils sont : des produits formatés interchangeables avec leurs voisins d'étalage de supermarché.

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J'ai hésité entre 2 et 4. Allez savoir pourquoi ce film n'avait pas la stature d'un 3.