Ces films qui m'ont marqué, d'une façon ou d'une autre.

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le premier film que j'ai vu au cinéma. j'avais 4 ans et la seule chose dont je me souvienne, c'est d'avoir pleuré comme une madeleine parce que le film ne commençait pas.

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la première apparition d'un Kong en rut bousillant tout sur son passage pour se frayer un chemin vers Fay Wray restera longtemps gravé dans ma mémoire. je trépigne toujours d'impatience à ce moment là chaque fois que je revois le film.

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déjà l'affiche. en grand format, ça vous calme un môme. ensuite, parce que je peux toujours pas m'immerger dans l'eau plus haut que la taille.

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vu au cinéma quand j'avais sept ans. me suis rendu compte à cet instant que les mangas, ce n'était pas que Goldorak. et la fierté, vingt ans plus tard, d'avoir vu le premier long-métrage d'animation japonais à sortir dans les salles françaises au cinoche. la classe.

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j'avais sept ans et j'ai littéralement hurlé lors de la scène du thorax. ai fait un bond immédiat dans le temps et me suis rappelé que mon frère me l'avait montré peut-être deux ans avant sans que j'identifie le film et sans être pour le moins choqué. ai mis des années à avoir le courage de le revoir.

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mon frère m'avait emmené le voir au ciné quand j'étais tout petit. suis partis au bout d'un quart d'heure, la faute à cette saloperie de tableau vivant.

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au risque de passer pour un con, j'étais convaincu que les tortues ninjas existaient et qu'elles habitaient dans les égouts. je rêvais de visiter les sous-terrains.

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j'avais noté les indications que donne Peter sur la direction à suivre pour rejoindre le pays imaginaire. je voulais aller à Londres et voir Big Ben pour pouvoir rejoindre la patrie des enfants perdus.

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fan de dinosaures, mon grand rêve était de voir enfin de vrais dinosaures sur grand écran. monsieur Spielberg a exaucé mes voeux. merci mille fois.

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le premier film d'horreur que j'ai vu. ai ensuite passé ma pré-adolescence a chercher la perle gore dans les videoclubs.

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mes années collège / lycée ayant été peu agréables, grande fut ma joie de voir enfin un film qui me comprenais.

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découvert un après-midi pluvieux. la VHS traînait chez moi depuis un bail jusqu'à ce qu'un ami propose qu'on se le mate. choc immédiat. ai passé les mois suivants, une caméra vissée sur l'épaule, à me faire mes propres films de gangster.

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découvert au ciné lors de sa ressortie en... 2001. suis resté con du début à la fin.

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ai toujours la phobie des jumelles. sales gosses !

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vu à douze ans. une des rares fois où j'ai stoppé la VHS.

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j'étais ado et pour la première fois, je découvrait la grandeur du kitsch, du rock, du glam, de la décadence et du délire des 70's. mon film préféré depuis.

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c'est Star Wars, quoi !

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ai toujours été attiré par l'héroic-fantasy. le film que je rêvais de voir étant gosse mais le film ne passait jamais à la télé. jusqu'à un certain noël où France 2 l'a diffusé un après-midi. les portes du paradis se sont ouvertes à moi ce jour là.

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pensez donc, un mec prisonnier d'un ordinateur ! retiré de la vente et des videoclubs, rarement diffusé, j'ai dû attendre 1996 pour le voir enfin. le fantasme du gamin que j'étais reste plus fort que le visionnage en lui-même.

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pour moi, le personnage joué par Harrison Ford représentait la figure masculine ultime et l'adulte que je voulais devenir une fois grand. y a encore du boulot !

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découvert très jeune dans l'émission Disney Parade. la vision du diable kidnappant la déesse du printemps et lui offrant une montagne de bijoux m'avait profondément marqué. j'ai mis des années à le retrouver (n'ayant pas le titre). vive youtube !