En 2022 : l'ignorance ne disparaît jamais assez vite

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02/01. Une fois ça suffisait.

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02/01. J'aurais pu concentrer mon regard sur les quelques moments du film trop pathos, trop faciles... Et certes le parcours des personnages, et particulièrement celui de l'analyste, est trop évident. Mais la force de Nanni est encore une fois dans le rythme qu'il imprime à son histoire, et particulièrement le montage qui coupe chacune des séquences presque trop tôt systématiquement ; c'est aussi ce dispositif qui évite le "trop" que n'importe quel autre drame lambda essaierait de tenir et d'accentuer. Son utilisation de la musique est ouf, et tient beaucoup à la force des images en tant que tel. La musique vient nourrir ce qui est déjà dans l'image, au contraire de la plupart des bandes sonores qui viennent soutenir tant bien que mal une émotion qui n'existerait pas sans elles. Mention spéciale à une séquence, celle de la fermeture du cercueil, avec le bruit des vis qui se poursuit sur une image du père, au bord du gouffre. Bref. Même si un peu mitigé sur certains choix, ça reste une grande réussite.

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08/01. Plus ça avançait, plus c'était génial ! Et puis ce cadre, et ces scènes de bataille OMG. Trop drôle les tentatives d'humour pendant le film. C'est vraiment un film étrange que j'adore.

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08/01. Très chouette mais il manquait un truc. Pas mal de choses à dire.
10/01. Revu. En fait le film est brillant (Alexandre et Nicolas avaient raison). Il décrit, avec une densité remarquable dans son foisonnement de séquences, comment différents déterminismes qui s'ajoutent permettent d'équilibrer des jeux de pouvoir, qui, dans d'autres circonstances, se seraient révéler destructeurs. Et en plus de tout ça, il fait un pied-de-nez à tout le cinéma des années 70 et de ces personnages qui nous emmerdent et qui sont vides et qui n'incarnent plus rien. Bref. Il y a des tas de motifs à trouver et je m'en régale !!

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09/01. Je me suis bien marré avec Nicolas !

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09/01. OMG parlez plus au cinéma s'il vous plaît !!!

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09/01. Quelque chose de faux sonne au début, pour rapidement disparaître au fur et à mesure que se brouille la binarité de la situation par l'ajout de couche de rapports de force, de névroses, etc. Bref. C'est très bon !

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09/01. C rigolo 5 minutes, mais ensuite, quand même, ça tourne en rond. Après la chute contrebalance bien le reste du film.

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09/01. Trop rigodrôle en vrai.

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12/01. On peut lui reconnaître tout plein de qualités mais bon... C'est quand même bien chiant. Peut-être la partie avec le prêtre est-elle la seule d'assez chouette. Le reste c juste "regardez-moi je fais des zolis zimages dans le noir", sans aucune variations... Bref. Outre l'ambiance étrange dans la salle au MK2 Beaubourg, c'était pas si ouf et trop long ; peut-être sur un format de une heure on tenait quelque chose.

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14/01. Le début est vraiment magistral. Et puis à partir de la déclaration d'amour, c'est un peu ronflant. Y'a un p'tit regain au moment où elle le trahit, la lettre est très belle, après le fondu de fin avec les deux qui s'embrassent est vraiment putassier. C'est dommage, y'avait vraiment des immenses séquences !

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15/12. 6 parce que c'était golri et que le "houdeunite" fonctionne bien. Après un peu chiant de faire revenir les anciens personnages... Par contre la charge contre l'elevated horror c'était trop bien vu !

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16/01. Juste brillant en fait.

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16/01. Je suis un peu déçu. Je crois que le truc le plus intéressant du film reste la figure des Zarbi, avec un mystère de leurs desseins et de leur apparition qui restera entier ; tout l'inverse de Mewtwo. D'autant que les Zarbi sont en 3D là où le reste est sur de l'animation "classique". Bref. Intéressant mais moins que ce dont je me souviens.

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15/01. Pan pan boum boum je suis l'élu, je suis le méchant, je suis le zontil. Ça dégage !

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15/01. Revu et c'est toujours un plaisir de cinéma ; le côté ludique et second degré me plait à fond. Excellent film !

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15/06. J'adoooooooooore <3
La team rocket c'est vraiment des persos géniaux.

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17/12. Rohmer continue d'être un génie. Très belle entrée dans les films costumés du grand R.

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20/01. Comme dit Nicolas, on est pas loin d'un grand film. La faute, encore une fois, à un scénario qui a du mal à s'estomper. Je trouve ça très très beau que les réconciliations et l'amour se fassent masquer, que ce soit dans la scène du fantôme (de trop) ou dans l'incroyable scène du câlin entre la mère et son fils. De la même manière, la fin dans un mauvais parc d'attraction aurait pu être grande si on ne nous avait pas bassiné avec Disney pendant tout le film : encore une fois, c'est une logique scénaristique, et non une logique de cinéma. Mais tellement de belles choses viennent en plus d'éviter, dans sa deuxième partie, une trajectoire qui aurait vraiment pu virer au mélo-chiant en tant que tel. Les bonbons d'halloween est aussi une très belle scène. Et les confrontations entre la famille et l'extérieur plutôt bien vu. Je suis terriblement déçu car il y avait presque tout pour avoir un vrai moment de cinéma.

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22/01. Dès qu'il sort de la fête foraine avec sa dulcinée, le film est en roue libre. Blanchett ne rattrape rien du film voire l'enfonce, et puis tout court vers la déchéance du personnage principal. Ca devient assez cringe et peu intéressant, jusqu'à ce plan final d'une lourdeur infinie. Il va falloir se reprendre monsieur del Toro...

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23/01. Moins chouette que les bernards parce qu'il a moins d'idées fun. Les gros plans restent assez fascinants.

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23/01. Et encore un beau film assez décevant à cause de mauvaises idées chiantes. L'actrice qui joue la jeune fille est insupportable et joue mal. Faire figurer le présent dans le film ne me semblait pas non plus nécessaire. Dès qu'on s'intéresse au passé de la mère au Liban, c'est tout de suite super en plus d'avoir des vraies belles idées formelles. Trop dommage...

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30/01. Plutôt très intéressant !

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28/01. Premiers Plans. Dans le droite continuité de Quand je ne dors pas, et pas seulement pour l'acteur. Il faudra absolument retourner le voir à sa sortie.

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28/01. Premiers Plans. J'ai pas tout compris, c'est trèèèèèèès redondant et aléatoire. Je pense que c'est autant sa force que sa faiblesse. Et puis y'a des scènes aussi géniales que nulles, dans ce fourre-tout organisé. Disons que c'est un peu facile de dire "j'ai fait n'imp et j'ai mis bout-à-bout des mini-courts-métrages dans la même ville et dites-moi amen". Y'a quelque chose de paresseux, bien que fascinant.

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28/01. Premiers Plans. Ce genre de films, ça dégage. Inintéressant. On pourrait éventuellement sauver la première partie, c'est vrai. Mais au global, ça me laisse très antipathique.

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28/01. Premiers Plans. Et bien j'aime beaucoup. Le film est casse-gueule à plein d'endroits, tout en ayant des vraies souffles à beaucoup d'autres endroits. Jamais trop misérabiliste d'ailleurs, assez mystérieux. Et puis il y a une attention portée au touché et aux câlins que je trouve assez beau. Y'a tout un mouvement des deux frères autour de l'héroïne qui est également très bien vu. Bref, un film qui annonce de belles choses pour le futur de son réalisateur !

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28/01. Premiers Plans. Revu encore. Pour la quatrième fois. Bordel que c'est génial.

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28/01. Premiers Plans. Pas mal. Surtout la partie avec le gamin qui fait des reportages.

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28/01. Premiers Plans. Pas mal. Peut-être un peu trop appuyé par moment. Mais très très bien mis en scène.