- Et sinon... t'as fait quoi cette année ? - Oh tu sais... j'ai regardé 2-3 trucs... [Edition 2021]

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Mon avis reste quasiment le même (les costumes et décors sont magnifiques, les images sont belles et le trio d'actrices est jubilatoire mais j'ai du mal avec le montage, les fondus, le découpage en chapitres (j'accroche pas vraiment avec les titres) ou encore aux quelques abus de ralentis, et puis je trouve la fin peu satisfaisante) mais ce second visionnage m'a permis d'apprécier davantage les jeux de lumière à la bougie qui ne sont pas sans rappeler ceux de Barry Lyndon ! Beaucoup apprécié Nicolas Hoult également ! Un peu déçu de ne pas avoir davantage de matière pour faire un papier car j'avais trouvé un titre qui me plaisait beaucoup !

Revu le 1er janvier

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Down the Road

Film intimiste qui pourrait presque s'assimiler à un documentaire et qui m'a pas mal rappelé The Florida Project mais aussi Paris, Texas (particulièrement après coup car le plan de la route (qui est en réalité une voie de chemin de fer, mon inconscient a dû altérer ce souvenir..) qui s'étend vers l'infini dans le désert m'a quelque peu hanté le lendemain) ! S'il ne s'y passe pas grand chose, le film ne m'a pas paru trop long et j'ai apprécié Frances McDormand !

Vu le 1er janvier

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Old Man Clooney

Bon clairement ce n'est pas très subtil ni bien original mais je suis parvenu à rentrer dans le film assez rapidement et du coup je n'ai pas subi le visionnage ! On notera tout de même que le film n'est pas parfait visuellement parlant (certains rendus ne passent pas très bien mais il y en a peu) et qu'il emprunte (entre autres) tantôt du Logan, tantôt du Interstellar ! Très certainement le meilleur film de Clooney selon moi (même si ça n'atteint pas des sommets) !

Vu le 2-3 janvier

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Minari, c'est ce genre de film assez classique mais qui arrive à nous toucher et à nous faire attacher à ses personnages avec très peu de choses ! Il peut y avoir des longueurs mais l'ensemble est réussi !

Vu le 3 janvier

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Enjoy the Sound / There is Nothing to Fix / Not Such a Quiet Place

Si j'ai eu un peu de mal avec le jeu de Riz Ahmed durant la première partie, j'ai beaucoup apprécié la moitié du film (il y a quelque choses de très touchant et d'expressif chez ceux qui parlent en langue des signes) ! Le film insiste peut-être un peu trop sur les sons (le chant des oiseaux, les portes qui grincent, le vent dans les arbres...) mais j'ai beaucoup apprécié la première scène du repas de Ruben chez la communauté de sourds lorsqu'on entend les bruits de table !

Vu le 8 janvier

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Mr. Nobody in the Mouth of Madness

Etrange film avec lequel j'ai eu un peu de mal (il m'a fait penser, de par son ambiance, à In the Mouth of Madness de Carpenter avec lequel je n'avais pas accroché), bien qu'il m'a aussi beaucoup rappeler le cinéma de Terry Gilliam (Brazil, The Fisher King et 12 Monkeys en particulier) ! Le véritable sujet de Jacob's Ladder, révélé à la toute fin, est assez inattendu car le film nous y prépare sans vraiment nous y préparer (il y a un côté à Mr. Nobody dans le sens où le film n'arrête pas de noyer le poisson et de perdre le spectateur) !

Vu le 9-10 janvier

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Bien que le ton du film soit quasi identique à celui de King of Staten Island, qui avait été une agréable surprise, et sans compter le fait que la relation entre les deux personnages principaux, Zeke et Moe, m'a fortement rappeler mon propre vécu (les drogues et les tatouages en moins haha), Big Time Adolescence ne m'a pas complètement convaincu : durant la première partie, mon objectivité est un peu passer à la trappe mais j'ai moins accroché avec la tournure que prennent les événements durant la seconde partie et, globalement, l'écriture ne fait pas des étincelles !

Vu le 10 janvier

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Useful Brain Damage

Petite déception car j'avais l'espoir que les frères Moorhead propose quelque chose dans la veine (ou du moins l'ambition) de The Endless mais le concept de Synchronic ne fonctionne pas vraiment (l'écriture globale est bancale malgré une première partie intriante) ! Et puis il y a Jamie Dornan, ce qui n'arrange malheureusement rien.. Plutôt bien apprécié Anthony Mackie par contre !

Vu le 15 janvier

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♫♪ Oh c'est l'eau, c'est l'eau qui m'attire, c'est l'eau ! ♪♫ / L'Homme Eau

Une fois la première partie centrée sur le fameux Vincent (auquel il est difficile de s'attacher, et ce sur toute la durée du film) passée, il y a une petite amélioration avec la toujours aussi chipie Vimala Pons et son tact qui sait nous faire fondre ! Cependant la sauce ne prend jamais vraiment et j'avoue avoir cédé à la fatigue durant la dernière partie.. Le problème réside dans le fait que le film est très (trop ?) minimaliste et se contente du strict minimum, rendant sa démarche un peu vaine et, de facto, l'argument de vente reposant sur le slogan "le premier film de super-héros français" mensonger..

Vu le 15-16 janvier

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Film déluré (on retiendra une image psychédélique perturbante de Jude Law et Jason Schwartzman et une scène de sexe pour le moins atypique) qui fait passer un bon petit moment, qui peut faire penser à l’univers de Michel Gondry, notamment grâce à son casting quatre étoiles (mention spéciale pour Mark Wahlberg qui m'a bien plu à ma grande surprise et je ne m'attendais pas à y trouver Jean Smart et Richard Jenkins) ! Et puis j'adore Schwartzman dans ce genre de rôle !

Vu le 17 janvier

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Pas vraiment accroché avec ce film qui m'a semblé bien trop niais et pas très bien écrit malgré le fait que j'ai bien apprécié Laurent Capelluto (malgré une introduction un peu étrange) et que Vimala Pons est toujours aussi craquante !

Vu le 22 janvier

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Film culte que je n'avais jamais pris le temps de découvrir : c'est désormais chose faite et, globalement, je trouve que le film manque de rythme (à cause d'une durée trop conséquente ?) mais la seconde partie (c'est plus une pêche, c'est une vraie chasse) m'a bien plu ! Et puis Jasws m'a fait provoquer quelques fous rires nerveux !

1700ème film au compteur SC !

Vu le 23 janvier

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La Descendance

Malgré l'étrangeté (ou devrais-je dire la simplicité) du concept, je suis rentré sans difficulté dans le délire (l'improbabilité du duo d'acteurs principal et la vision du future dépeinte aidant) ! Un peu moins accroché à la seconde partie en revanche ! Petit pincement au cœur quand j'ai vu que Bacri y tenait un petit rôle ! 5.5/10 !

Vu le 23 janvier

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En voilà un film d'animation pour le moins étrange : si j'ai bien accroché à l'univers proposé, au style de l'animation et le côté très famille Adams assumé, j'avoue avoir eu plus de mal avec le personnage d'Alan (bien que l'idée d'un enfant qui est toujours de bonne humeur était prometteuse), l'écriture de la seconde partie (pas bien compris la scène au combien gênante de danse de Marylin) et puis, pour les chansons, on repassera (aucune ne marque véritablement, si ce n'est que nos oreilles ne sont pas épargnées, et on comprend à peine les paroles) ! Le film est en équilibre sur un fil, ne cessant de pencher maladroitement d'un côté à l'autre tout le long pour finalement basculer vers un ton plus enfantin, chose surprenante car malgré ce postulat, le Magasin des Suicides n'est pas à recommander auprès des plus jeunes ! Moyennement convaincu en somme par cette proposition (peut être tenterais-je le livre à l'occasion) !

Vu le 25 janvier

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Si j'avais l'espoir que Little Things allait être un policier thriller psychologique dans la lignée de Prisonners, j'avoue ne pas avoir plus emballé que ça par ce film (cela s'explique notamment par une écriture qui n'est pas des plus subtiles, un montage assez mal foutu ou encore un Rami Malek qui en fait des caisses).. Bien apprécié en revanche le second degré du personnage de Denzel Washington qui m'a pas mal rappeler Inside Man (décidemment, il faut croire que Washington est, en réalité, un acteur qui n'est pas dénué d'un certain humour) et le fait que Jared Leto (méconnaissable mais dont le jeu peut toutefois agacé) contrebalance le ton un peu trop sérieux du film et provoque constamment les protagonistes principaux (on pourrait même aller jusqu'à comparer Little Things à Se7en, particulièrement lors de la dernière partie, mais en termes de qualité, il n'y a pas photo) ! 3.5/10 !

Vu le 30 janvier

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Très clairement un film pour lequel Vanessa Kirby et Shia LaBoeuf méritent une nomination aux Oscars ! Bien qu'on pourrait reprocher le fait que les sauts dans le temps soient un peu trop fréquents et rapides (j'aurais, pour ma part, voulu qu'on prenne plus le temps de s'attarder sur la relation du couple), j'ai particulièrement apprécié la performance des deux acteurs principaux ainsi que de retrouver Sarah Snook, Benny Safdie ou encore Molly Parker dans la distribution !

Vu le 30-31 janvier

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Film que je gardais dans un coin de ma tête depuis quelque temps maintenant, The Dirties est, pour le moins, un film déstabilisant dans la mesure où j'ai eu l'impression d'avoir à faire à un mix entre Play d'Anthony Marciano (faux film en found footage) et Réalité de Quentin Dupieux car les limites entre réalité (du moins celle des personnages) et fiction se troublent tout au long du film, si bien qu'il est de plus en plus difficile de dissocier les deux (suit-on deux jeunes en train de tourner un film ? S'agit-il d'un film dans un film ?) ! Cela est particulièrement frappant ici compte tenu du fait que The Dirties est réalisé par Matthew Johnson, qui y tient également le premier rôle, et que d'emblée le film nous avertit quant à la véracité des faits qui y sont relatés (à la manière de Fargo des frères Coen peut-être ? Difficile à dire..) ! J'en suis même venu à considérer certains personnages avec une certaine crainte et appréhension c'est dire.. L'aspect très amateur de la réalisation sied parfaitement au propos du film et contribue à ce sentiment de confusion car on finit par ne plus savoir de quel point vue nous sommes placés (sommes-nous un troisième lycéen qui filme constamment Matthew et Owen ou sommes-nous dans la tête de Matthew ?) ! Un film perturbant en somme qui souffre de quelques longueurs (qui justifient, selon moi et pour le moment, ma note) mais qui a su me déstabiliser durant la dernière partie !

Vu le 31 janvier

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Si l'effort de transposition du style de The Dirties est louable et fonctionne même plutôt bien sur le papier, l'illusion (ou du moins la confusion) qui caractérise le premier film de Matt Johnson ne prend pas aussi bien : cela s'explique notamment par l'époque à laquelle se passe ce second film, au fait que les caméramans ("nos yeux") sont identifiés ou encore par le manque de charisme de Matt et d'Owen, qui ne sont pas pas si éloignés des Matt et Owen de The Dirties, rendant le scénario un peu bancal ! Mais pourtant, Operation Avalanche n'en demeure pas moins une proposition ambitieuse, plaisante et fraîche (et nettement moins perturbante que The Dirties) dans la lignée de Moonwalkers tout en lui étant supérieur !

Vu le 31 janvier

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Bon, dès les premières images de la bande annonce, j'ai senti que ça n'allait pas le faire mais je dois dire que je ne m'attendais pas à un tel niveau de médiocrité en termes d'écriture : que c'est laborieux et mal foutu ! Ça part dans tous les sens, rien n'est vraiment expliqué, les personnages ont des réactions complètement incohérentes... Bref, rien ne va ! Moi qui avais beaucoup apprécié I Origins, j'avoue être très déçu par Mike Cahill qui livre une proposition S-F ratée : une perte de temps tout simplement ! Par contre, il ne m'est pas difficile de comprendre pourquoi Owen Wilson a accepté le rôle...

Vu le 6 février

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C'est pas fameux mais Mads Mikkelsen s'en sort toujours même dans ce grenre de rôle à la John Wick (décidément, il peut tout faire) et puis il y a un côté kitsch qui fait sourire (je ne m'attendais pas à voir Matt Lucas dans un tel rôle) et qui n'est pas sans rappeler Kill Bill ! Par contre, Vanessa Hudgens est tellement larmoyante qu'elle en devient fatiguante....

Vu le 6-7 janvier

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Difficile de mettre une note plus haute à ce film qui, dans l'ensemble, est très brouillon (si je me suis un peu attaché à Erica/Earwig, l'action n'avance pas d'un pouce et devient très vite redondante) ! La proposition peine donc à être marquante (on pense, naturellement, à Kiki la Petite Sorcière mais Aya et la Sorcière perd, sur tous les plans, au jeu de la comparaison) et risque d'être vite oublié ! Pour ce qui est de l'animation, je me suis fais à l'idée que le film allait proposé quelque chose de différents par rapport aux autres films du studio, vu tous les retours qu'il y a eu depuis les premières images, du coup ça ne m'a pas dérangé outre mesure (bizarrement, le visuel du film m'a rappelé l'époque des jeux vidéo DS... je ne sais pas si c’est une bonne chose mais ça ne m’a pas gêné) ! Après, faut remettre les choses en perspectives et rappeler qu'il s'agit d'un téléfilm..

Vu le 7 février

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D'accord Golshifteh Farahani y est très belle mais bon sang que l'écriture des personnages et des situations est faible : si le long métrage est moins prétentieux et bavard que le court, j'ai trouvé le tout très bancal malgré un casting plutôt bon !

Vu le 12-13 février

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The (Last) Human Voice

Objet cinématographique qui peut difficilement être rangé dans une classe (il s'agirait presque d'une œuvre d'art au même titre que Manifesto, la collaboration Julian Rosefeldt-Cate Blanchett), Last and First Men est une prémonition visuelle à laquelle il est difficile de ne pas succomber tant son aura est palpable : que ce soit à travers la longueur des travellings et la contemplation d'architectures bien réelles mais filmées de manière si troublante qu'une sensation de vertige peut être ressentie, les compositions Jóhann Jóhannsson et de Yair Elazar Glotman ou, bien entendu, la voix impeccablement douce et lointaine de Tilda Swinton, le film nous enivre tout simplement (pour m'immerger pleinement, j'ai d'emblée pris la décision de le découvrir avec un casque audio : cette décision fût judicieuse) ! L'œuvre, qui peut également être assimilé à un audio book puisqu'il nous y est lu un passage du roman du même titre d'Olaf Stapledon, rappelle fortement Premier Contact (cela se ressent aussi bien sur le fond de ce qui nous est raconté que sur la forme avec la musique de Jóhannsson, qui n'est autre que le compositeur de la bande son du film de Denis Villeneuve), les Chroniques Martiennes de Ray Bradbury, Interstellar, Blade Runner 2049 ou encore Devs !

Vu le 13 février

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Un Richard Linklater qui m'a semblé vraiment mineur par rapport aux autres films du réalisateur et dont l'intérêt m'est complètement passé au-dessus (il y a pourtant un petit côté à The Secret Life of Walter Mitty) la tête malgré une bonne prestation de Cate Blanchett et de Billy Crudup ! Par contre Emma Nelson m'a quelque peu agacé durant la seconde partie..

Vu le 13 février

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Ce genre de film à ne surtout pas regarder le jour de la Saint Valent... Oh wait...

Déjà que, vu le contexte actuel, le mariage et les enfants sont des choses qui ne font vraiment pas rêver, Gone Girl se charge de la dernière goutte qui fait déborder le vase en te dégoûtant carrément de l'idée de se mettre en couple.. Clairement, le personnage de Rosamund Pike est à rangé aux côté de celui d'Ezra Miller dans We need to talk about Kevin tant il est difficile d'imaginer que des personnes aussi tordues et dérangées peuvent exister dans la vraie vie ! J'avoue tout de même avoir toujours un peu de mal avec ce Fincher car je ne suis pas vraiment convaincu par la narration de la première partie (l'effet de va et vient ne fonctionne pas très bien malgré le fait que les deux arcs soient intéressants) et par la manière dont est amenée la fin ! Bonne performance de Ben Affleck !

Revu le 14 février

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Je n'en attendais rien de bien particulier mais je voulais quand même lui donné sa chance car j'ai passé de très bons moments sur Monster Hunter 4 : au final, si les références et monstres du film font plaisir, il s'agit d'une adaptation quelconque qui frôle le nanar ! Visuellement c'est pas trop mal par contre mais ils ont forcé sur les ralentis et l'écriture des dialogues est médiocre !

Vu le 19-20 février

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Outre le fait que WandaVision l'a remis à l'ordre du jour (je réalise bien mieux l'influence qu'a eu le film de Gary Ross sur la série Marvel), Pleasantville est un film qui fait particulièrement du bien en ce moment où notre monde est bien terne et démoralisant ! Malgré une introduction confuse, le film ne cesse de s'améliorer et prend des tournants qui m'ont semblé assez inattendus (on pense naturellement à Last Action Hero et à Truman Show mais le film a sa propre patte) ! Beaucoup apprécié le casting et la poésie de certaines scènes qui m'a rappelé Big Fish ! Je ne m'attendais pas à ce que le film soit un tel hymne à la vie et à la culture ! Un beau moment en somme (peut-être un peu long toutefois mais je pense surtout que la fatigue m'a joué des tours) !

Vu le 20 février

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Pas vraiment convaincu par cette réactualisation du conte qui se veut au final pas très intéressante et qui manque cruellement de rythme.. Par contre Isabelle Huppert est toujours aussi classe !

Vu le 20-21 février

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Revu le 27 février

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The Power of Trust

Un Disney convenable, loin d'être transcendant tant le scénario a été vu, revu et rerevu (y compris par le studio aux grandes oreilles avec Moana), qui mérite surtout le coup d'œil pour sa très belle animation et ses scènes de combat très bien chorégraphiées (on en aurait voulu plus) ! L'univers proposé est plutôt cool aussi mais les étapes du voyage s'enchaînent beaucoup trop simplement, si bien qu'on a du mal à prendre au sérieux la menace qui pèse sur Kumandra ou même à s'attacher aux personnages ! On notera aussi que le film emprunte beaucoup au MCU, principalement à Endgame mais également aux Gardiens de la Galaxie Vol. 1 !

Vu le 6 mars