Films sortis en France en 2020

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Ensemble décevant malgré la forme. C'est beaucoup trop long pour ne pas raconter grand chose.

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Les personnages réagissent trop sous le coup de l'émotion. Rendant la fin lourdingue, illogique et débile.
Mais la première moitié est très bien.

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Touchant mais de grosses longueurs.

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Ce genre de petit film français qui manque d'un petit plus, d'une transgression, pour devenir un grand film... Il ne va pas assez loin quoi.
Et ce Jean-Pierre Pocahontas, quelle horreur lol

Annotation :

Un côté Guy Ritchie des débuts.
Mais des problèmes de rythme.
Excellent pour la musique classique

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Passe si on accepte les coups téléphonés.
Et que Philippe Katherine donne toujours l'impression d'avoir envie de pisser.

Le film a l'air d'avoir anticipé l'alliance PSA-Fiat.

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Prenant mais con-con.
Et les scénaristes du film ne sont pas crédités, c'est pour une mise en abyme ?

Annotation :

Plus proche de Philippe Clair que de Chaplin.
Pas sûr qu'Hitler aurait apprécié la scène du lapin.
Toujours content de retrouver Sam Rockwell.
Et le passage avec Stephen Merchant en agent de la Gespato est excellent

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Un film qui, avec ses trous narratifs, ses personnages exubérants et insupportables, mérite bien le sempiternel prix Sopadin du meilleur scénario.

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Clinty rend hommage aux fonctionnaires qui en font un peu plus que ce qu'on leur demande. En plus il fait danser la Macarena à 500 personnes, inattendu.

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Devinable mais c'est sympa. Marchal s'éclate bien.
C'est fou qu'en 2020 il y ait encore des films qui visent le Bac comme le Saint-Graal.

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Non ce n'est pas un "Documentaire", c'est un "micro-trottoir-de-gens-qui-ont-le-même-avis"
Ou bien un "micro-lit" (et attention, fumer au lit c'est dangereux)
En tout cas, ils arrivent à concilier la qualité du fond et la qualité de la forme, c'est magnifique.

Si les cinémas voient ce genre de films arriver, ils ne sont pas prêts de vouloir rouvrir leurs portes.

Annotation :

Cliché, lourdingue et Balasko qui met un cache-oeil pour espérer rendre son personnage intéressant...

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Call me by your name avec du piquant.

Toujours intéressant de voir un Ozon, au vue de l'hétérogénéité de ses films année après année.
Mais tout vient à point à qui sait attendre, après 19 films, je découvre enfin des thématiques communes à tous ses films.

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Classique et original. On a l'habitude avec Pixar.

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Une bonne idée de base mais c'est trop gentillet et débile. Beaucoup de grotesque et pour le dernier tiers on est dans le nanar. Et puis, on encourage davantage le mec invisible que sa nana cible héroïne, c'est quand même problématique. Un film pour MGTOW.

Mais j'ai toujours de l'admiration devant les production Jason Blum, qui fait un film avec une maison, 2-3 décors supplémentaires, 3-4 perso et une musique.

Annotation :

Plutôt correct et réaliste. On ne peut pas le voir sans penser à la phrase de Churchill à propos des accords de Munich : "Ils devaient choisir entre le déshonneur et la guerre. Ils ont choisi le déshonneur et ils auront la guerre.".

Pauvres hommes perdus à devoir réparer les pots cassés des conneries socialistes des années 36-38 et des trahisons communistes de la Débâcle.

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Parle à 90 % des autres siècles plutôt que le XXIe. Et rien de bien nouveau.
Mon conseil : investissez dans les processus automatisés et la litière pour chats.

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Le gros avantage de la crise du Covid est que l'État arrêtera de financer ce genre de daubes.

Les Cinex à distance c'est sympa mais entre ça et le truc sur le clito, on ne voit pas les gens qui QUITTENT LA SALLE !

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Pourquoi avoir tout mélangé ? Pour boucher les trous du scénar ?

Sinon, j'avais l'impression qu'il était vendu comme une comédie. Pour un film de bowling, on rigole pas souvent.

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Patrick Braoudé avait commencé sa carrière de réal avec le divorce et l'avait terminée avec Michael Youn. Là il fait une synthèse.

On rit de leurs conneries mais à mon goût ils auraient pu aller plus loin.
Content de revivre un film avec une salle qui rit. Son absence n'est pas due au COVID, c'est simplement que ce type de films manque (la dernière fois doit remonter à un Philippe Lacheau).

Annotation :

[VOD]
Une bonne histoire et un bon thème, que l'on aimerait exploiter davantage.

Par contre : les 2 acteurs francophones doivent parler anglais et il faut faire croire que l'histoire se passe aux États-Unis... Pour une sortie immédiate en VOD en France, pendant que Pio Marmai et Felix Moati occupent les grands écrans.

Triste cinéma français.

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Éternelle histoire de l'homme serviable constatant que ses bonnes actions lui apportent tout l'inverse, quand tout le même agit par émotion.

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"Chained" basée sur l'intrigue de la femme. On pensait voir sa relation avec sa grognasse de gamine, au final on se farcit ses grognasses de copines. Pas d'enjeu, contrairement au premier.

Annotation :

A le mérite de donner envie de se plonger dans le sujet, d'en savoir davantage. La quantité d'informations, au niveau du contexte notamment, reste tout de même faible pour un documentaire d'1h20.

Annotation :

100ème Cinex

Fallait bien Sophie Dulac pour fêter ça.

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Pas tellement d'intérêt vu qu'on connait déjà toutes ces blagues depuis des lustres.
Ils ont au moins l'intérêt de raconter une histoire. Et le gamin joue bien.

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Plutôt honorable.
Me rappelle un peu Les Clefs de bagnole de Laurent Baffie.