Les films les plus détestables de tous les temps

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Non content d'être un désastre artistique (scénario qui réussit l'exploit d'être incohérent et prévisible à la fois, bouillie musicale, mise en scène digne d'un clip W9, festival de mauvais goût) Slumdog fait ressortir les pires valeurs de la civilisation occidentale : la télévision, l'appât du gain, la récompense sur loterie et l'illusion du bonheur ainsi entretenue, l'abrutissement des masses, le consumérisme, le voyeurisme... et le fait avec un tel sentiment de supériorité sur la société Indienne, qu'il me fait honte. Le plus mauvais film vu dans ma vie.

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Un placement de produit de 2 heures, sans aucune tension dramatique, aucun enjeu scénaristique (on sait que Ronald Zuckerberg sera milliardaire à la fin), avec des acteurs sortis d'un american pie 6, et un amoncellement montagneux de clichés... Et en plus le produit en question est un site qui collabore avec les géants publicitaires, qui cautionne le surfichage policier, qui fausse des entretiens d'embauches, qui entretient l'illusion d'une solitude brisée en faisant collectionner des amis imaginaires etc... On se dit qu'une critique, même légère aurait été plus appropriée qu'une hagiographie. A quand un biopic sur Steve Jobs?

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Fond idéologique ultra-sécuritaire et douteux en cette période trouble.. où révolutionnaires, communistes et terroristes sont mis dans le même sac, où ceux qui veulent renverser le système en place, cette société qui prend si bien soin des siens... qui osent notamment s'attaquer au monde de la bourse -ces fous inconscients- sont punis par de super policiers incorruptibles et des politiciens philanthropes, motivés par un sens inébranlable et absolu de la justice... L'image de Batman-casque-à-pointe chargeant en première ligne d'une cohorte de CRS pour aller cogner du manifestant hantera mes nuits à jamais.

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Vu tout ce que les juifs ont subi durant cette période, le film de propagande antisémite par excellence devait figurer dans ce classement. Il atteint une honorable 4ème place, juste derrière Batman.

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Quand on est riche on peut tout acheter... Même soudoyer Julia Roberts en lui offrant voitures qui rutilent, bijoux qui brillent et robes de soie... Une calamité nauséabonde qui aura contribué à façonner une génération de filles vénales, avides, cupides.

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Rien de pire qu'un étalage guimauveux de bons sentiments quand ils sont insincères, cyniques. La prod est même allée jusqu'à troller Allociné en créant des milliers de comptes et de fans imaginaires. Quand j'entends parler de ce film, des grumeaux de vomi me montent à la bouche.

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Démago et malhonnête comme les deux précédents.... encore un film construit non pas autour d'un scénario, mais d'un plan marketing, d'un argumentaire de vente censé plaire à toutes les ménagères et tous les ménagers de 7 à 77 ans.

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Euh... à quand un biopic sur le patron de Carrefour?

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Je déteste le cinéma de Klapish. Bobo, consensuel, démagogue. Ou l'art de faire du cinéma vide et creux pour montrer des gens creux et vides. Et quel coolitude! quelle coolerie! Rien à faire, c'est viscéral, je le vomis. Il méritait une place dans cet égout cinématographique. J'ai choisi son film le plus emblématique.

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Il fallait un film de torture porn à cette liste.
Parmi les candidats crédibles on peut trouver un côté ludique à "Saw", un côté potache à "Hostel", et voir dans "A Serbian Film" une métaphore grossière de la guerre... alors que cet heureux élu de "Martyrs" n'est que bêtise crasse et pénible.

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Un parcours initiatique à l'envers, où le héros va désapprendre ce qui le rendait sympathique au départ, pour se transformer en gendre idéal tête à claques imbibé de valeurs et de sentiments nauséabonds.

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Le petit Guillaumedelacomédiefrançaise a la vie dure, ses parents l'ont envoyé contre son gré en voyage linguistique à Séville! Et en plus il était pas homo, mais hétéro déguisé en homo... ouah trop dur et passionnant ce qui t'arrives Guigui mais c'était vraiment pas la peine d'en faire un film.

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J'ai mis 1 sur 10 et c'était tellement déplorable que j'aurais mis 1 sur 100, 1 sur 1000 et 1 sur 1 million.

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Un amoncellement de clichés puants digne d'un journal de Jean Pierre Pernod

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Détestable sur la forme puisque des animaux y sont réellement mutilés, et hypocrite sur le fond puisqu'il utilise les mêmes procédés que ce qu'il est censé dénoncer, à savoir le racolage par l'image et le sensationnel. Beurk.

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Prendre partie pour la peine de mort, la torture, la séquestration, la castration me paraît franchement nauséabond, même lorsque la victime des sévices en question est un pédophile. D'ailleurs, les pédophiles, faut pas généraliser, c'est comme tout, y'en a des cons et des sympas. D'ailleurs, Hard Candy, maladroitement ou involontairement, nous en montre un plutôt sympa...

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Tout est dégueu dans ce projet, du piston initial au générique où défilent les noms de petits roumains employés à bas coût, en passant par le film lui-même, qui n'évite aucun écueil, aucune faute de goût, aucun cliché, et qui twiste avec une balourdise pachydermique.

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Un film détestable qui représente exactement ce qu'il fait semblant de dénoncer : superficialité, cynisme, opportunisme etc... Parce que bon, embaucher Anne Hathaway pour jouer une petite grosse victime du diktat de la beauté c'est quand même d'une rare hypocrisie.

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Imaginez Travis dans Taxi Driver qui, à la fin du film dirait "bite bite prout de bite, maintenant je vais aller violer ma mère et ma fille"... et bien toute la dimension subversive du film et le traitement de l'exclusion, de la pauvreté, de la solitude etc... seraient décrédibilisés et voleraient en éclats. Bref, on sent la volonté de choquer pour choquer (très consensuelle et démagogue comme démarche finalement) et une cruelle absence de ligne conductrice. En plus Noé utilise des effets de montage et de caméra qui ont très mal vieillis et ne va même pas au bout de son délire, puisque, lors de l'épilogue, après un gros plan de 5 minutes sur le crâne explosé de la fille, il revient sur ses pas et nous pond un malheureux "et non, elle était pas vraiment morte, c'était dans la tête du héros"... Le contre-exemple parfait du "Funny Games" de Hanneke. D'une nullité consternante.

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Film de propagande par des extrémistes religieux. Faites attention aux athées, ils sont alcooliques, mal rasés, ont des pantalons troués, ils titubent dans la rue en bousculant les petites vieilles et n'aiment même pas leur famille!

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le biopic d'entrepreneurs de multinationales dégueulasses est en train de devenir un outil de propagande à la mode

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Une improbable démonstration du bien fondé des armes et de la loi du talion. Dégueulasse.

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Des extrémistes fous de dieu ont détruit les tours jumelles, un autre type d'extrémistes fous de dieu ont réalisé ce navet.