Les films les plus longs que j'ai vus

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14h32

Lui, il a peu de chance d'être dépassé dans l'immédiat, mais l'ampleur du travail justifie l'odyssée.

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9h26

Même remarque que pour "Le Voyage" : sauf réelle allergie aux docs et au format d'image réduit, le temps passe vite pour peu qu'on s'intéresse au sujet.

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4h12

L'entrée vaut pour la version longue.

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4h04

J'ai trouvé ça chiant à mourir, donc la douleur fut décuplée par la durée. J'ai rarement eu autant l'impression qu'il s'était écoulé une journée entière entre l'entrée et la sortie de la salle !

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4h03

Egalement présent dans la liste "Ces grands films qui ne m'atteignent pas". On m'en a toujours parlé comme un monument de démesure, son tournage chaotique a en fait accouché d'un film de studio très théâtral. Peu de souvenirs, malgré le savoir-faire évident de Mankiewicz.

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3h58

Egalement présent dans la liste "Ces grands films qui ne m'atteignent pas". Je me suis accroché à la direction artistique et aux comédiens pour tromper l'ennui que m'ont procuré l'histoire et les personnages. Oh, et la fameuse scène de l'incendie ne rivalise pas deux secondes avec celle de "Guerre & Paix", cité plus haut !

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3h57

Lui c'est presque un record, je redoutais l'apparition du générique tellement j'ai pris mon pied, y compris aux deux visions suivantes.

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3h55

L'entrée vaut pour la version longue.

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3h49

J'ai senti le temps passer dans le dernier tiers mais l'ensemble est si riche que ça donne envie d'y revenir. A revoir, donc.

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3h45

La longueur se justifie par l'ampleur du récit, à la fois fresque historique par l'intime et histoire d'émancipation. Très peu sensible aux comédiens et au rythme, d'où un ennui progressif, mais au moins Reitz prend le temps de développer les relations entre les personnages, et ce doit être un régal pour qui accroche.

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3h40

L'entrée vaut pour la version longue.

Un vrai plaisir, bien que Cimino se soit laissé emporter par son ambition et que le rythme traîne un peu trop.

Vu en 35mm il y a plus de dix ans, à l'époque où une copie de la version de 3h40 avait été exhumée.

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3h39

L'entrée vaut pour la version longue.

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3h36

David Lean, plus il prend son temps, moins on le sent passer. Revu en salles courant 2015, avec l'entracte préservé, un régal.

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3h32

Mise en scène impressionnante, superbe interprétation d'Heston, un souffle indéniable... Bref, on ne s'ennuie pas mais bon sang, la dernière heure est une bondieuserie indigeste et ruine (pour ma part) la force d'un récit où l'homme s'accomplit en regardant ses proches, pas en levant les yeux vers le Seigneur.

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3h30

L'ami Scorsese s'est offert son Parrain à lui, imparfait mais si intègre, si assoiffé de cinéma que sa durée est pleinement justifiée.

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3h28

Mis un soir vers 22h, en me disant que je verrai une moitié le lendemain. Mais la passion de Scorsese pour son sujet rend la chose assez passionnante, au point que j'ai vu le doc d'une traite !

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3h22

L'entrée vaut pour la fameuse version Redux, mais ma préférence va à la version initiale, plus courte de 45mn.

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3h20

Mon préféré de la trilogie, sa durée se justifiant par de virtuoses et passionnants allers-retours temporels. Vu une seule fois d'ailleurs, il serait peut-être temps d'y revenir...

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3h17

Mon David Lean préféré après Lawrence d'Arabie. Et je suis persuadé qu'il serait moins bon sans cette durée pour s'épanouir.

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3h14

Le film que je suis le plus allé revoir en salle. Combien de fois ? Ca me regarde, secret de groupie mais la réponse est un nombre, pas un chiffre.

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3h13

L'entrée vaut pour le director's cut - qui au passage, rééquilibrage des enjeux oblige, paraît durer moins longtemps.

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3h10

Wakamatsu revient sur les soubresauts politiques du Japon des 60's, de la création de groupes d'extrême gauche à leur luttes intestines et leur radicalité auto-destructrice, qui culminèrent dans la fameuse affaire du chalet d'Asama. Trop long et nécessitant quelques connaissances préalables sur le sujet, mais essentiel.

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3h07

Lu et vu pour le Bac au lycée, et l'un des rares exemples d'oeuvres que j'ai apprises à aimer en étant forcé de les voir ! Somptuosité des décors, classe absolue du casting... Bien en a pris à Visconti de s'autoriser une telle durée, son film n'en est que plus beau.

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3h07

Scindé en deux parties d'1h30, l'ensemble est néanmoins à voir d'un traite pour apprécier le changement de tonalité.

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3h04

J'ai beau trouver le temps long dans la dernière heure en le revoyant, difficile de reprocher à Kubrick une durée aussi étendue vu l'ambition thématique qu'il place sur les épaules de son personnage principal.

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3h06

L'entrée vaut la version director's cut.

Toujours pas vu la version ultimate qui inclut Tales of the Black Freighter, court film d'animation qui adapte quant à lui une BD lue par un des personnages secondaires dans la version papier de Watchmen.

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3h03

L'autre épopée de Cimino avec "La Porte du paradis", et la preuve que ce dernier aurait peut-être mieux marché au box office avec quelques scènes en moins ! Mais "La Porte..." s'étant fait découper n'importe comment à sa sortie, privilégions l'intégrale.

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3H02

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3h

Scorsese est un habitué des grandes fresques, n'empêche que tenir la distance avec une comédie, fallait le faire. Qu'à cela tienne : ce film là possède en fait la mise en scène la plus percutante que j'ai vue en 2013 !

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3h03

L'entrée vaut pour la version longue.