Les mangas dont le graphisme nous fait planer, pendant longtemps...

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Au fil des tomes Makoto Yukimura développe son trait et il produit un résultat détonnant. Remarquable.

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Miura est au four et au moulin avec des décors grandioses et des dessins de personnages, d'affrontements excellents. Je l'aime.

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Des claques nombreuses on reçoit avec cette série avec des personnages marquants comme Makie, des affrontements de malades (Manji contre Shira ; Anotsu contre Habaki...) et cette tonalité douce amère qui parcourt les dessins et la série.

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Dessiner des corps en mouvement et en action avec Hiroaki Samura, on est entre de bonnes mains.

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Intrigue que je dois reprendre un de ces jours. Graphiquement c'est fort.

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Ici ce n'est pas tellement les personnages qui importent mais l'architecture. Cesare, un manga qui fait voir l'art d'une manière quasi-divine.

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L'intrigue vaut ce qu'elle vaut mais les derniers tomes (j'insiste : les derniers) montrent un graphisme très très bon tant pour les personnages que pour les attaques qu'ils lancent.
A quand le prochain tome ?

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Pour l'architecture, mais dans un registre très différent de Cesare. Une architecture gigantesque qui oppresse, enferme, fait peur. Comme si tout n'était que prison. Délicieux.

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Le graphisme à la Sin City me comble un peu plus après chaque tome.

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Un style qui s'affine au fil des pages et le résultat est franchement pas mal, au niveau des personnages comme des bastons. La vapeur 'y'a que ça de vrai !

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Un graphisme qui est en parfaite adéquation avec l'histoire narrée. On se laisse emporter dans cette balade, ce songe, avec l'envie de ne jamais en sortir.

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Série courte mais graphiquement, sans avoir les explosions architecturales de Blame!, Tsutomu Nihei nous offre ici un graphisme qui est peut-être celui que je préfère chez lui.

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Le coup de crayon de Tsutomu Takahashi s'illustre à merveille dans ce Japon du XIXème siècle. Ce qui rend d'autant plus regrettable le fait que la parution soit en pause depuis si longtemps en France...

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Pour tout le travail de l'auteur autour de la déformation visuelle et le rendu du ciel pour les vampires. Van Gogh inside.

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Une montée en puissance dans le symbolisme et dans la force du trait au fil des tomes sans perdre en lisibilité. C'est beau.

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Suite directe de Innocent. Le graphisme est toujours aussi enivrant et le personnage de Maire-Josèphe prend une place encore plus grande.

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Du haut niveau pour rendre tant les personnages (notamment Garami) que les créatures pas toujours symp' qu'ils affrontent.

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Suite de Levius. L'auteur progresse encore dans le rendu des personnages et des coups portés. Plus de lisibilité. C'est fort.

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Surtout pour les derniers volumes où l'auteur, en plus d'avoir progressé depuis le début de la série, nous montre ce qui fait la quintessence d'un match de basket, joue avec le temps qui passe, comme si une seconde durait une éternité. Aussi beau que les dernières secondes d'un Game 7 des Finales NBA.

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Le style de Kamimura qui s'entrechoque avec celui de ses assistants offre des pages (double ou simple) d'une beauté souvent fracassante

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Parce que c'était lui, parce que c'était moi. Sunny c'est un coup de massue dont on ne se relève pas tellement Matsumoto a produit une grande série sur tous les plans

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Avoir la tête dans les étoiles n'a jamais été aussi vrai avec cette série