Les plus grosses claques que j'ai reçu

Annotation :

2001 ou quand 50 ans après, c'est toujours la plus grosses claque visuelle et expérimentale de l'histoire du cinéma

Annotation :

Parce qu'une telle maîtrise, une telle réussite, une oeuvre aussi immense partant pourtant d'un concept si simple.
Et puis, juste par la mise en scène m'avoir fait lâché une larme la 1ere fois, et des tas de larmes en le revoyant, rares sont les œuvres pouvant faire ça.
Gravity est en un, un chef d'oeuvre.

Annotation :

Parce que les blockbusters n'arrivaient plus à m'intéresser au fur & à mesure que je découvrit le cinéma, et ce avant que Del Toro arrive et défonce tout.
Et que ce soit en terme d'esthétique ou de réalistation, ouch.

Annotation :

Parce que l'amour du cinéma à une source propre à chaucun, la mienne c'est celle-ci, le premier film des Taviani que j'ai vu

Annotation :

Parce que Blade Runner, parce que les messages du film maitrisés et de plus en plus d'actualité, et parce que touchant au fond de moi-même

Annotation :

Parce que j'étais encore assez jeune quand il est sorti, parce que même avec le recul je m'aperçoit que je le trouve pas top, la claque visuel et l'utilisation de la 3D est resté innoubliable

Annotation :

Parce que cette histoire est incroyablement touchante, que la real est très bonne, et que les acteurs/actrices sont très bons, parce que Björk est incroyable, et surtout :
parce que c'est le 1er film qui a réussi à me faire chialer, et pas qu'un peu en plus.

Annotation :

Parce que me faire passer 2 séances pour un total de 5h pour une seule et même oeuvre, sans que j'ai un seul moment où je trouve ça un peu chiant, c'est déjà fort.
Mais surtout parce qu'une telle expérience, c'est assez dingue je trouve, et que ça trotera je pense pendant très longtemps dans ma tête, et que ça m'a mis une claque douce et belle.
PS : Sens Critique n'a pas de fiche de l'oeuvre complète (ce qui est absurde à mon sens), je me suis rabbatu sur le 1&2 (mes parties favorites, bizarrement)

Annotation :

Parce que se prendre une telle baffe d'animation alors que j'ai innocemment trouvé le BR titré "Jean Le Vaillant" par pur hasard sans savoir ce que c'est un seul instant, et avoir osé le prendre pour le voir.
Le délire part très loin dans la dernière partie du film, mais qu'est-ce que j'aime ça.

Annotation :

Parce qu'un seul mec, juste un seul nous a pondu cette oeuvre.
Et parce que cette œuvre est vertigineuse.