Protest Movies Coréens (항의영화)

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la dénonciation de la politique des 3S mise en place dans les années 80

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Les pénibles conditions de travail des ouvrières du district industriel de Kuro, forcées de se shooter aux amphétamines pour réaliser des journées à rallonge, le tout conduisant à d'inévitables et tragiques accidents du travail.

Premier rôle de 최민식 :)

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Le film relate la grève de 200 ouvriers pauvres d'une métallurgie, confrontés à une impitoyable répression policière. Le film témoigne de l'explosion des syndicats démocratiques de 1984-1989 et mélange fiction et images d'archives.

Les tentatives, ridiculement disproportionnées, du gouvernement militaire pour empêcher les projections de ce film (l'envoi de 1800 policiers anti-émeute et de plusieurs hélicoptères de combat... autour d'une salle de projection de l'université de Chonnam à Gwangju) ont inversement renforcé le succès public du film et provoqué une manifestation massive d'étudiants.

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La dénonciation des brutalités policières qui sont le quotidien des activistes de "l'après-Gwangju"

Un étudiant, en cavale à cause de son activisme politique, atterrit dans une petite ville minière en voie d'abandon. Il s’intègre à la population locale mais la révélation de sa vraie identité le condamne à l'exil, une nouvelle fois.

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Soldats restés à l'arrière (les guerilleros dans la montagne de "la vallée de Pia") ou simples sympathisants des idées socialistes vivant au sud : leur vie quotidienne est très difficile et la fin généralement tragique.

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Dénonciation du bizutage scolaire "institutionnalisé" : la brutalité quotidienne et tolérée des maîtres. Allégorie du règne des petits chefs et des vices de la tyrannie politique.

Adaptation au cinéma du roman de 이문열, traduit en français par Patrick Maurus et préfacé chez Acte Sud par Michel Polac

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L'enfer et le retour à la vie civile problématiques des vétérans coréens de la guerre du Vietnam

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Un jeune provincial, Jeon Tae-il, ouvrier exploité dans les ateliers clandestins du marché de Dongdaemun devient par la force des choses un militant syndical. Poussé au désespoir, il décide de se suicider publiquement pour attirer l'attention sur les souffrances des travailleurs. Il s’immole par le feu, sur son lieu de travail, le Vendredi 13 novembre 1970, aux alentours de 13h30

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Le soulèvement du 18 mai, et le traumatisme de sa cruelle répression

(la jeune actrice phénoménale qui joue dedans c'est la même qui interpréte l'épouse muette de l'espion japonais de Yi Sunsin dans Myeongryang, autrement elle fut principalement chanteuse solo de k-pop début 2000's surtout...ce qui fait d'elle une actrice rare)

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je peux rien dire à propos de celui-ci sans spoiler, mes excuses
c'est un grand film politique quand même

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Les excès de la jeunesse dorée, héritière des familles qui dirigent les Chaebols et qui forment une nouvelle oligarchie sud-coréenne, arrogante et parfois ridicule.

le même thème, mais dans un actionner à gros budget : (2015) du toujours très râleur (pour notre plus grand plaisir) Ryu Seung-wan

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une affaire de viol dans une école pour enfants handicapés de Gwangju, impliquant la corruption d'autorités jusqu’au plus haut niveau. (adaptation du roman de l'opposante Gong Ji-young)

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Scandale de la plus hallucinante erreur judiciaire coréenne, commise dans le milieu universitaire

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L'existence toujours clandestine des transfuges du Nord

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premier documentaire-enquête" sur le naufrage du Sewol. La tentative de censure par le gouvernement a failli provoquer la fin du festival international du film de Busan.

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L’histoire vraie d’une grève de caissières victimes d'un "plan social" dans leur hypermarché. La jeune réalisatrice y accuse les pouvoirs publics de servir d'auxiliaire de police pour les patrons.

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Le scandale d'une fausse découverte, dans le domaine du clonage, protégée par des politiciens haut placés et un homme d’affaires apparemment intouchable et professeur de l'Université Nationale de Séoul (SNU)

Dénonciation de "l'info-tainment" et des enjeux des techno-sciences

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brûlot anti-establishment de Kim Kiduk et critique de l'anéantissement de la "politique du rayon de soleil" par la droite conservatrice revenue au pouvoir à partir de 2008.

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Le sort triste des populations rurales, marginalisées et vieillissantes, dont la propriété et la vie quotidienne sont soudainement menacées un peu plus par une ville vampirisante et envahissante.

"J'ai entendu dire que des tours électrique allait être construites a proximité de notre ferme. Alors, j'ai interrompu mon travail et 3 années durant j'ai fait tout ce que je pouvais pour l'empêcher. Une fois que ces tours seront là, nous allons tout perdre, nos terres et notre santé... il paraït..."

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Le naufrage du Sewol, et sa gestion calamiteuse. encore. Le documentaire à fait l’objet de "rounds" de projection, notamment dans les universités parisiennes, à la faveur de l'année de la Corée en France 2015-2016. La protestation n'a jamais faiblit.

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L'immigration de travailleurs clandestins. Based on true events.

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La corruption proverbiale des élites.
Ici, une relecture acide de la figure des procureurs, pourtant héros de la lutte contre la corruption en Corée.

NB : il existe réelleement une catégorie "fonctionnaires très intègres" parmi les figures des héros historiques en Corée.

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Film catastrophe inspiré d'un roman, mais sur lequel l'ombre du Sewol plane

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film indépendant, produit et distribué "contre tous", et dont la sortie coïncida cruellement avec les protestations qui ont suivis l'accord survenu en décembre 2015 avec le Japon, qui avait notamment conduit au retrait de la statue de "la petite femme de réconfort" de devant l'ambassade du Japon à Séoul.

Elle est depuis réapparue devant celle de Busan...

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Le métrage disparu. Mais pas oublié. Bien que plus personne ne puisse le voir, le film conserve une aura persistante et incarne à lui seule la revendication émancipatrice

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le trafic humain des petites vedettes pendant les années Park Chung-hee