Winston, ce personnage aussi utile qu'un meuble !
Qu'on ne se trompe point ! Ce livre, je l'ai presque haie à un certain moment, je l'ai presque interrompu ; cependant, c'est cet univers qui m'a toujours ramener vers sa lecture, cet univers si riche et si mal exploité, mon dieu que ses idées sont bonnes ce Orwell mais que son exploitation de ces dernières est mauvaise.
Parlons des personnages, ou DU personnage, Winston, ce cher Winston ; j'aurai cru la réincarnation de Gasper (même si c'est impossible, Gasper étant un fantôme, il ne peut se réincarner en fantôme...) aucune vie chez Winston, tellement de froideur, à croire que c'était à la mode de pondre des persomeubles ; oui c'est un néologisme pour décrire ces personnages aussi utile que des meubles... Ils sont là que pour décorer.
Enfin, l'écriture est trop froide, journalistique, on croirait lire une revue à la longue... Enfin ne rallongeons pas le supplice : à lire pour son univers pas pour ses personnages.