Au moins, ça ne se prend pas au sérieux
Faut savoir que je n'ai absolument rien contre les accros au shopping en général. J'en suis une. Mais plus dans une Fnac que dans un Zara (même si j'y vais).
Et puis bon, de nouvelles godasses, faut avouer, ça remonte le moral.
Maintenant pour le livre. J'étais mal partie, faut dire, mais un peu de chick litt ne fait jamais de mal de temps en temps.
On m'a dit que c'était drôle, qu'on se retrouvait souvent dans le personnage (j'en doutais ceci dit), que ça se lisait sans se prendre la tête. Partie dans l'idée que j'allais lire une petite daube marrante (comme Twilight, sauf que Twilight, c'est même pas censé être drôle), je m'y suis mise tranquillement.
Mon ressenti ? Ennui absolu.
Je n'ai pas ri une seule fois. Après ma faute vient peut-être du fait que je ne peux absolument pas m'identifier à elle et que beaucoup de blagues tombent à plat dans mon esprit formaté à d'autres... passions.
J'imagine que c'est parce que je ne représente absolument pas le public visé. Enfin, à peine. Je pensais pouvoir passer outre, mais non, je pense que pour apprécier faut être un minimum dans le délire fashionista.
Parce que question qualité d'écriture, aussi bien stylistique que scénaristique, on frôle l'abyssal.
Dommage, ça m'a même pas détendue. A éviter.