Goodbye, Columbus
7.1
Goodbye, Columbus

livre de Philip Roth (1959)

Ce court roman est l’amour d’un été. Cela commence par le coup de foudre, se poursuit par la passion et la tendresse de la découverte avant d’affronter la rentrée, moment où les cartes sont rebattues. La jeunesse, la maladresse, les idées préconçues (sociales et sentimentales) se confrontent et c’est un profond attachement qui relie le lecteur au jeune couple. A cette histoire, Philip Roth ajoute d’autres niveaux. D’abord, il y a une rencontre sociale provoquant immédiatement la peur de chaque côté. La famille de Neil, notamment sa tante, subit un déclassement violent. La famille de Brenda cache son véritable point de vue tant que cette histoire n’est pas trop sérieuse. Se pose alors la question de famille. Même si les jeunes gens s’en éloignent, ils se projettent avec la construction d’une famille. Ce noyau se transforme en obsession pour le personnage de Neil qui imagine un mariage et un futur...


Pour en savoir plus, lisez ma critique sur mon blog Le Tourneur de pages https://tourneurdepages.wordpress.com/2019/06/07/goodbye-columbus/

Graffiti
7
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le 7 juin 2019

Critique lue 388 fois

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