Cette nouvelle histoire commence la ou c’est terminé la précédente, sur la voie 9/3 quart. Harry, Ron et Hermione on grandit, et donner la vie. Harry et Ginny on donner naissance à trois enfants, James Albus et Lyli, la plus petite. Ron et Hermione on quand a eux donner naissance à deux enfants Rose et Hugo. Ce n’est que sur le quai que nous découvrons le fils de Drago Malfoy, Scorpius.
L’histoire raconte celle d’un enfant qui subit la célébrité de son père. Albus vie très mal le fait que son père se nomme Harry Potter, il se sent incompris et manque cruellement d’amour. Il cherche à être admiré autant cas pu l’être son père avant lui. Seulement le dialogue entre Harry et Albus est difficile, Harry ne se retrouve pas en son fils et ne le comprend donc pas.
Parallèlement, Scorpius et Drago ont eux aussi du mal à s’entendre mais leurs relation est nettement meilleur que chez les Potter.
Albus et Scorpius vont devenir meilleur ami et cela ne vas donc pas plaire à leurs parents. Scorpius tomber sous le charme de la petite Rose fille d’Hermione et Ron, et auras pour rôle d’être le rabat joie de cette équipe. L’histoire se tourne donc autour de ces 3 amis, Albus, Scorpius et Rose.
La première année à Poudlard ne ce passe pas comme prévus, Rose est admise à Griffondord par le choixpeaux magique, mais Albus et Scorpius vont à Serpentard. Ces nouvelle affectation ne vas pas améliorer les relations d’Harry et son fils.
Harry Potter qui occupe aujourd’hui une grande place au ministère de la magie tous comme Hermione Granger va, suite à une arrestation récupérer un « retourneur de temp » semblable à celui de l’épisode 3 : Le Prisonnier d’Azkaban.
Ce « retourneur de temp » est très dangereux car il a le pouvoir de faire remonter n’importe qui dans le temp. Et si celui-ci le décide, il pourrait faire en sorte que Voldemort n’est jamais était vaincu et donc ramener les ténèbres en changeant le cours de l’histoire.
Cette histoire de « retourneur de temp » va bien évidemment faire parler d’elle et Harry va vite devoir faire face un problème de taille : Amos le père de Cédric Digory. Amos après plus de 20 ans de deuil n’accepte pas l’idée que son fils est été tué pour qu’Harry Potter batte Voldemort. Aujourd’hui en paix, il demande à l’élu de remonter dans le temps et de sauver son fils.
Harry ne veux pas prendre de tel risque ce qui rend furieux Amos.
« Je te présente Harry Potter, qui fut autrefois un grand sorcier et qui est aujourd’hui un haut fonctionnaire du ministère au cœur sec… Delphy mon fauteuil »
Delphy est la nièce d’Amos, un nouveau personnage qui jouera un rôle important dans ce 8 ème opus.
Albus ayant surpris la conversation d’Amos et d’Harry, va décider avec l’aide de Scorpius de s’emparer du « retourneur de temp » et de sauver Cédric Digory. Sa motivation ; réparer les erreurs de son père.
Albus et Scorpius arriveront à retourné dans le temp, et changerons le cours de l’histoire …malgré eux.
Harry recommence à mal dormir, ces cauchemars l’envahissent, ça cicatrice rejailli, les ténèbres sont bel et bien de retour.

« Haaaaaarrryyyyyyyyyyyyy Pooooooooooooooootteeeeeeeeeeeeeeerrrrr »


J’ai bien aimé cette nouvelle histoire avec pleins d’aspect qui pour moi sont négatif. Harry Potter et l’enfant maudit nous fais revivre le bonheur de retourner à Poudlard. Malheureusement, on ne prend pas vraiment le temp de redécouvrir avec les enfants de nos héros, ces lieux si nostalgique. On saute les saisons, les années. La ou 4 histoire nous on était contés en 4 années, dans ce volume 4 page se sont seulement tournés.
On perd donc cette notion de temp, cette notion de magie, cette notion d’attachement. On se perd aussi à cause de fameux « retourneur de temp » qui va influencer l’épisode de la coupe de feux, mais aussi celui de l’ordre du phénix, du prince du sang mélé et enfin des reliques de la mort.
On retrouveras des actions tiré du tomme 2 « la chambre des secrets » et pleins de flash back dont celui « d’Harry Potter à l’école des sorciers » quand Harry rencontre Hagrid.
Cette histoire c’est un peux un « Que ce serait-t-il passé si Harry était mort ». Le fais de remonter dans le temp, et la parfait excuse pour nous faire retrouver, Voldemort, Rogue, Dolores Ombrage et pleins d’autres…
J’ai l’impression d’avoir lu un livre de fan fiction. Un livre ou tous les coups sont parmi juste parce que l’on peut remonter dans le temps. Cette histoire est trop facile. On essaye de crée un futur à partir d’un présent difficile à exploiter, alors on décide de changer le passé pour donner naissance à une nouvelle intrigue.
L’intrigue de cette histoire est sympa, les retournements de situation sont évidemment inattendus et c’est toujours sympa de ce laissé prendre aux jeux. Mais à froce de jouer avec le temp, j’ai l’impression d’avoir lu une partie baclé, une partie trop simple est justifié par le passé qui du coup est le présent servant à changer le futur. Quand Scorpius remonte dans le temp, nous avons le droit à un grand monologue qui nous re-raconte le rôle de Rogue dans la protection d’Harry. Un monologue limite ré-écrit pour,cette fois ci, bien se faire comprendre par le public. Alors évidemment ces supers sympa de retrouvé des personnages que l’on n’a pas vu depuis longtemp comme Neuville ou Mc Donagald ! Retrouvé les professeurs Mc Donagald est un plaisirs fou ! On ne peut pas ne pas sourire à ces petites remontrances.
Oublié est aussi l’un des gros défauts de l’histoire. James Potter, le deuxième fils d’Harry est oublié, Hugo Whisley est oublié, les lupins présent à la fin du 7 sont oublié dans le 8. Beaucoup trop d’oublies.
Il y’a pleins de choses que l’on aurait pu rajouter. Il manque des détails, il manque du rêve, même si la fin se tiens vraiment bien et que je l’ai beaucoup aimé, il manque toute ces petites chose qui rend une histoire d’Harry Potter, fantastique.
Il m’aura manqué ces partis de Quiddich, il m’aura manqué ce Noël présent dans chacune des années, ces anciens élève devenu professeurs comme que l’on a baclé. Ces animaux fantastiques comme les centaures qu’on n’exploite pas assez.
A l’inverse, l’émotion est accentuée, les moments d’émotion, de larmes et de colère sont bien présents. Des monologues plein de rancœurs, des scènes pleines de colère. Ce nouvel opus est tiré d’une pièce de théâtre. Je pense que l’adapté sur ce format n’était pas forcément une mauvaise idée, mais je pense aussi que c’est à cause de lui que l’on perd tous ces ces détails fondamentaux qui qualifie la magie.
« Harry Potter et l’enfant maudit » n’est pas une mauvaise suite. C’est une histoire facile à lire de 323 pages, que l’on a construite en changeant les moments clés des anciens tomes.
Ce 8ème opus est paru le 14 octobre 2016 aux éditions GALLIMARD.

BenjaminRojot
6
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le 6 déc. 2016

Critique lue 227 fois

Benjamin Rojot

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