Le jour, il travaille dans un grand magazine new-yorkais, où il s'ennuie à mourir. La nuit, il court de boîte en boîte, de fille en fille, flanqué de son double infernal, l'irrésistible Tad Allagash. Hélas ! sur trois filles, l'une est lesbienne et l'autre un travesti, la cocaïne est de mauvaise...
Critiques : avis d'internautes (5)
Journal d'un oiseau de nuit
Tri :
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Bright Light, Big City
Tu n'es pas le genre de type à trainer dans un endroit pareil à une heure aussi tardive. Et pourtant tu es là, sans pouvoir prétendre que le lieu te soit etranger, même si les détails manquent de neteté. Te voila même en grande conversation avec une fille au crâne rasé.
Ainsi commence ce premier roman qui a rendu Jay McInerney célèbre en 1984. La dernière fois que j'ai lu un livre écrit à la...
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Critique de Journal d'un oiseau de nuit par Vadim
Comme si Bret Easton Ellis peignait des personnages plongés dans la vraie vie. Cette narration à la seconde personne du singulier rend le roman assez intéressant pour qu'on lui pardonne quelques erreurs de jeunesse. Un beau portrait du New York vain des années 80.
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Un début prometteur !
Quelle claque ! Après avoir dévoré tout B.E.E., voilà que je démarre la bibliographie de Jay McInerney... Ce roman est incroyable. Déjà dans sa narration, puisqu'il est écrit à la deuxième personne du singulier (comme la Modification de Butor), ce qui fait de nous une sorte de héros d'histoire. Et le procédé fonctionne puisque très vite un attachement se crée vis-à-vis du personnage...
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A la recherche de l'oubli de soi-même.
Si Bret Easton Ellis se caractérise par une vacuité sur le fond comme sur la forme assez formidablement désagréable, son alter ego écrivain Jay McInerney réussit en revanche à accomplir une véritable prouesse littéraire en introduisant un peu de profondeur dans ce qui peut sembler être une auto-fiction superficielle. Non seulement il faut admettre que Bright Lights, Big City est...
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Critique de Journal d'un oiseau de nuit par penseur-punk
" Tu n'es pas le genre de type à traîner dans un endroit pareil à une heure aussi tardive. Et pourtant tu es là, sans pouvoir prétendre que ce lieu te soit étranger, même si les détails manquent de netteté. "
New York flamboyant et décadent des Eighties. La nuit, un jeune trentenaire plutôt bien foutu/paumé de sa petite personne, profil un peu yuppie, tout juste largué par l'amour(?) de sa...
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