Si les personnages sont moins attachants que dans La fortune des Rougon, si l’écriture est moins ciselée et brillante que dans La curée, l’analyse sans concession de la déchéance de cette pauvre Gervaise reste implacable.
Le roman nous plonge dans les méandres du vitriol, dans la faiblesse humaine la plus vile, dans l’univers sombre et froid des crève-la-faim.
Ici la beauté n’est qu’éphémère, les mots sont crus, l’alcool a un goût amer.
Créée
le 31 oct. 2021
Critique lue 78 fois
1 j'aime
D'autres avis sur L'Assommoir
Considérant que l'absence de Zola dans ma culture générale était tout à fait préjudiciable, j'envisageais donc la lecture de La joie de vivre (conseillé par une professeur au collège), pour...
Par
le 28 mai 2015
24 j'aime
4
Porte bien son nom.
Par
le 27 mai 2010
18 j'aime
3
Mon Zola préféré. Une longue ascension pour la petite blanchisseuse provencale, vers un bonheur, qu'elle parviendra à toucher du doigt; suivi d'une longue descente aux enfers, impitoyable. Sordide...
Par
le 22 nov. 2012
16 j'aime
4
Du même critique
Si quelques incohérences viennent parasiter le scénario (drapeau volé, personnel enfermé etc…) notamment dans la dernière partie du film, l’intérêt me semble ailleurs. En effet la force de...
Par
le 10 juil. 2023
1 j'aime
J’ai eu du mal à me plonger dans le roman bien que je sois un grand fan des romans de Daphné du Maurier. Mais la relation fusionnelle mère-fils (Janet-Joseph) me paraissait « too much ». Puis...
Par
le 20 nov. 2022
1 j'aime
Que dire de cette somptueuse clôture de la célèbre trilogie des Corleone? Le scénario est léché, les décors superbes, la musique culte de Nino Rota nous transporte dans le sang et les larmes...
Par
le 20 juil. 2022
1 j'aime
