Bastian Balthasar Bux subtilise un livre chez un antiquaire et le lit dans le grenier de l’école… si passionnément qu’il est happé dans l’histoire !
Bastian parcourt alors le monde de Fantasia et crée des histoires qui deviennent réalité. Pour sauver la reine mourante, il lui doit ainsi lui donner un nom.
Le livre est une très belle métaphore du pouvoir créateur de l’imaginaire.
Michael Ende écrit que nous avons oublié le chemin qui mène à Fantasia. Or ce sont les livres et les histoires (et plus exactement le fait de les vivre, d’y croire le temps d’une lecture) qui fait exister ce monde. Chacun est à même de forger sa propre histoire en explorant son imaginaire et en le développant via la lecture : c’est ainsi que naît pour chacun une histoire sans fin.
Critique à retrouver sur mon blog : https://labyrintheque.wordpress.com/2016/12/11/des-mots-comme-autant-detoiles/