
L’été est bien propice à un peu de piraterie ! Et il faut dire que les coups tordus s’enchaînent, les personnages ô combien pittoresques (il y a de l’aveugle, de la jambe de bois et du perroquet là-dedans) et souvent machiavéliques portant à merveille le récit qui se lit d’un trait (de rhum bien sûr).
Critique à retrouver sur mon blog : https://labyrintheque.wordpress.com/2015/07/27/lectures-dete/