Chroniques parisiennes mi rudes mi molle(tte)s
Certains y voient le sublime sous la couche superficielle, d'autres l'inconsistance de mots aussi vains que le projet de vie de leur auteur. Icelui se comporte exactement comme le cliché du Parisien trop sûr de lui par excès d'argent facile et complexe de supériorité, énergumène qui prétend casser les codes pour mieux rentrer dans la norme de son milieu, individu odieux mais-qui-au-fond-a-un-coeur-sensible. Vous me direz, mariner dans tant de drogues et d'alcool, cela finit par attendrir la viande.
Quelques passages drôles, comme convenu(s). Quelques interrogations suscitées chez le lecteur, faussées par la queue de poisson à la fin.
"L'amour dure trois ans", on s'en remet facilement.