D'abord on croit que c'est déprimant. Après on croit que c'est dépressif. Ensuite on est certain que ce n'est pas une apologie du suicide. Enfin, on aime. C'est comme ça Dagerman, la traduction est assez belle pour garder ce moment glauquissime qui dure encore et encore. Et puis on se prend d'affection pour Bengt, on se dit qu'il n'a pas si tort. Et puis il y a une sorte d'amour bien... Lire l'avis à propos de L'enfant brûlé