J'aime bien les crêpes

C'était lors d'une nuit ensoleillée, au clair de lune que j'me suis dit : "et si je n'écrivais pas de critique ?". Alors j'ai écrit une critique. Et du coup j'ai décidé d'en écrire une sur ce magnifique bouquin qu'est l'institutrice blonde !
Un livre que j'ai découvert en cette année 2014 et que j'ai beaucoup apprécié.

La Cantatrice Chauve donc, est un roman d'aventure épique (genre littéraire fondé comme tout le monde le sait par Victor Hugo en 1634 avec son recueil Les Fleurs du Mal) habilement sous-titré "anti-pièce" par son auteur Jean De la Fontaine (pas très connu celui-là) puisque le roman est en effet une anti-pièce, n'étant pas une pièce (une pièce est un objet plat de forme circulaire généralement utilisé pour jouer à pile ou face, la majorité des gens préférant payer par chèque). Il est publié en 1952 et édité par 07th Expansion.

Ce qui me plaît dans La Cantatrice Aveugle, c'est que toute l'absurdité de la condition animale (l'Homme est aussi un animal oui) y est représentée : nous ne sommes que des êtres sans logique dans un monde sans logique.
De ce fait nous pouvons sans conteste arriver à la conclusion que l'oeuvre de De la Fontaine est un chef d'oeuvre, voire un chef d'oeuvre absolu (deux termes différents, attention), mais qu'en est-il réellement ? Charlot a dit dans son recueil : "Ma jeunesse ne fut qu'un ténébreux orage" prouvant de ce fait que sa jeunesse ne fut qu'un ténébreux orage.

Bien sûr, la Cantatrice aux cheveux frisés, ce n'est pas que ça. Je pourrais parler pendant des heures des thèmes abordés tels que l'absurdité des relations humaines, l'absurdité des relations humaines, ou encore l'absurdité des relations humaines. Mais nous n'avons pas le temps pour ça alors je préfère que nous parlions directement du plus important. A savoir que la Cantatrice rose bonbon est l'un des plus grands chefs d'oeuvre de science-fiction jamais écrits, arrivant sans soucis au niveau de classiques du genre tels que Dom Juan ou encore le magnifique 50 nuances de gray.

...

Excusez-moi, on sonne à la porte, il faut donc que j'aille ouvrir (même s'il n'y a probablement personne, car quand on entend sonner, c'est généralement qu'il n'y a personne. Imaginez un cas comme celui-ci où personne n'a sonné !) - tiens ! Mais c'est ce cher Molière ! Je ne pensais pas vous voir ici ! Asseyez-vous, prenez place, nous étions justement en train de discutationner à propos de votre oeuvre, la Cantatrice muette ! Quoique je trouve qu'elle parle quand même un peu trop.
Alors ici nous avons M. De la Fontaine, un grand homme, mais pas aussi grand que ce cher Hugo présent par ici--
-et qui est donc ce curieux bonhomme caché dans la cheminée ?
-arf, c'est Charlot, il pense qu'il trouvera le bonheur dans la crasse et l'obscurité.
-très pertinent je dois dire.
-en effet. Par ailleurs, à présent que nous sommes au complet, nous pouvons continuer notre débat sur la vie et la mort. Donc pensez vous que les Cantatrices jumelles soit un titre approprié pour votre livre ?
-j'avais au départ pensé l'appeler les Lames du Bien mais je me suis dit que cela ferait plus d'effet en commençant par quelque chose de beau, et en terminant par "Mal". L'image d'une descente aux enfers en quelques sortes. Oh, vous ne parliez pas de mon recueil de poèmes ? Mille excuses.
-je crains que demander des excuses équivaille à demander la lune.
-je vais la chercher tous les jours moi, la lune.
-vous déblatérez n'importe quoi mon cher Molière, il serait temps d'arrêter le cannabis.
-êtes-vous sûr que je suis bien Molière ?
-si vous ne l'êtes pas qui êtes-vous donc ?
-avec toutes ces répliques on se perd.
-qui parle ?
-je m'en va.
-au revoir.
-au revoir connard.
-c'est très insultant.
-mais ça rime.
-en effet.
-quel poète !
-JE SAIS QUI A COMMIS LES MEURTRES DE L'ILE DE ROKKENJIMA
-QUI ? QUI ?
-Kiki la petite sorcière ah ah !
-non, Béatrice.
-nous voilà bien avancés.
-ohhoohh anima effimera
-il va nous spoiler la chanson de fin, abattez-le !
-c'est une honte ! Où va le monde ?
-DING DONG
-quelqu'un sonne, c'est encore qu'il n'y a personne.
-oh mais si, c'est Dark Vador !
-bonjour Monsieur Vador !
-Charles ! Je suis ton père.
-non c'est impossible !!!
-mais il est noir ?!
-charlot aussi est noir, tout s'explique !
-non, lui, il a été dans la cheminée, il est plein de suie ça compte pas.
-mais taisez-vous !
-tuturu !
-excusez-moi, qui suis-je ?
-ton père.
-!!!
-n'étions nous pas réunis pour débattre d'un sujet sérieux ?
-bien sûr, il s'agissait de la Cantatrice au chapeau jaune, rouge et vert et aussi bleu.
-très bon jeu.
-c'est un film.
-what do you think, my beloved pêche ?
-j'ai trouvé le saint-Graal !
-où est-il ?

                                    FIN

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                         Die the death
                      Sentence to death
                Great equalizer is the death

Et n'oubliez pas : le papier c'est pour écrire, le chat c'est pour le rat. Le fromage c'est pour griffer.
Merci Ionesco.