Une enquête dans laquelle on est vite plongée.
J. Dicker nous plonge dans la vie de plusieurs personnages qu’on pense totalement indépendants, jusqu’à découvrir le lien qui les réunit.
On change de coupable toutes les 70 pages, et il nous est impossible d’établir la vérité. Tout reste crédible (ce coup-ci ! # « L’énigme de la chambre 622 »)
Une intrigue à la fois addictive et posée.
On appréciera ces 800 pages d’écriture dans un style simple et clair. Ce n’est pas de la grande littérature mais ça repose !
Quelques passages un peu long malgré tout, où le suspens n’est pas à 100%, et des rebondissements pas assez prenants.
La ville d’Orphea, les descriptions et l’ambiance ne font pas autant rêver que la plage et la maison de Sommerdale (cf « La vérité sur l’affaire Harry Quebert »)