Et là, je me demande si toute les envies sont bonnes à satisfaire. J'avais entendu parler de "La Liste de mes envies" comme de quelque chose de "frais" et - oui il y a un peu de ça, mais pas tant que cela - je me retrouve à lire un truc qui me fait diablement penser à du Pancol, en mieux certes, mais tout de même. L'idée de base n'a rien d'original, ici point de rêve à vendre, rien que du vrai, du quotidien, encore une fois.
Ce n'est en aucun cas gênant, je suis adepte du réalisme, mais pourquoi G. Delacourt, qui écrit assez joliment, ne met t'-il pas ce talent au service de quelque chose de plus ambitieux ? Voilà donc, un petit arrière goût de gâchis, de vite fait/bien fait juste pour faire.
Et ne venez pas me parlez de "On ne voyait que le bonheur", je suis en train de le finir et j'y reviendrai.
La Morale de l'histoire : Un livre qui se lit en un quart d'heure n'est pas passionnant pour autant. Il peut aussi être simpliste.