Vision pessimiste du progrès scientifique, si ce titre pouvait faire rire ses premiers lecteurs (en tout cas c’est que d’indique la post-face de cette édition), Le meilleur des mondes est aujourd'hui troublant de réalisme et, en conséquence, glaçant. Dans cette société aseptisée à l’extrême et déshumanisée, le mot d’ordre est la stabilité. Et pour se faire, quoi de mieux que contrôler les humains dès leur « production » en les conditionnant à devenir des petits êtres parfaitement adaptés à la société et au destin qui sera le leur en fonction de leur caste, choisie dès le stade embryonnaire. Charmant, n’est-ce pas? Cette vision [...]
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