Un style très onirique mais sans vrai fond. Moorcock nous plonge toujours dans cette fantasy étrange qui traduit un spleen adolescent. Normal puisqu'il avait moins de 18 ans lorsqu'il a commencé à écrire ces romans sur Elric. Ça se lit donc plutôt bien, mais n'a ni queue ni tête. Comme un scénario de jeu de rôle que l'on crée à 16 ans. C'est cependant très bien écrit et on se doit de le lire pour parfaire sa culture fantastique. Le concept des mondes parallèles qui se percutent et font se rencontrer des personnages issus de différentes réalités est cependant intéressante.
Créée
le 5 févr. 2017
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