Le Rouge et le Noir par HammerKlavier
et voilà, j'ai lu le rouge et le noir de stendhal, livre tres rennomé et comment il aurait pu en être autrement, un titre comme ça, ça claque ! : "Le rouge et le noir".
Mais il y'a 5 semaines donc, j'étais certainement comme une grande majorité des gens, je n'en connaissait que le titre et l'auteur. D'ailleurs pour tout dire, je pensais même que stendhal était ... anglais...
Qu'elle fut pas ma surprise de découvrir que cela se passait en France, et plus particulièrement pendant la restauration (1830). Une première partie se passe en province dans le village de Verrière, dont la pricnipale activité et la découpe du bois. Une seconde partie plonge le lecteur dans les mondanités parisiènnes, faite d'apparences, de faux semblant, bref, la vie en société quoi.
Le livre dresse au fil de ses pages le portrait de Julien Sorel, habitant de vérrière, venant d'une condition basse, et qui par sa grande culture (il connait l'ancien et le nouveau testament par coeur et en latin, signe de grande intelligence a l'époque) va pénétrer la classe des gens bien née, d'abord comme précépteur ches les De Renal à Verrière puis comme secrétaire à Paris chez le De la molle.
C'est que Julien déborde d'énergie, d'ambition, a de grande idée pour son avenir et par chance, une intelligence qui lui permettra de vite appréhender la complexité des rapports humains et le sortir de la naiveté de l'enfance. Cela plaira aux femmes, de hautes lignées même, les femmmes des Comte et Marquis pour lesquelles julien travailles, elle tomberont amoureuse et julien se prendra même a ce jeu, car il a carrure de celui qui peut mener sa vie comme il l'entend, sur tout els front a la fois, de l'amour au presitge, des passions aux ambitions...
[SPOIL]
A cause de ce talent hors du commun, et parcque le destin de Julien Sorel était de vivre a cette époque particulière, celle ou les gens de bonne naissance tentaient de restaurer la monarchie, il ne trouvera pas l'issue à son salut. on énergie le pousse a commettre un acte criminel, et quans bien même il avait la possiblité d'acquitter sa condamation devant le tribunal, il se "suicidera" en déclarant aux les juges : "
"je vois des hommes qui, sans s’arrêter à ce que ma jeunesse peut mériter de pitié, voudront punir en moi et décourager à jamais cette classe de jeunes gens qui, nés dans une classe inférieure, et en quelque sorte opprimés par la pauvreté, ont le bonheur de se procurer une bonne éducation, et l’audace de se mêler à ce que l’orgueil des gens riches appelle la société
Voilà mon crime, messieurs, et il sera puni avec d’autant plus de sévérité, que, dans le fait, je ne suis point jugé par mes pairs. Je ne vois point sur les bancs des jurés quelque paysan enrichi, mais uniquement des bourgeois indignés… "